Commandeur

acte (scène XVIII). LE COMMANDEUR Donne-moi la main en gage. GIOV ANNI La voilà ! – Hé là !... LE COMMANDEUR Qu’as-tu ? GIOV ANNI Que cette main est glacée ! LE COMMANDEUR Repens-toi, change de vie : C’est l’instant suprême. GIOVANNI, cherchant en vain à se dégager. Non, non, je ne me repens pas, Va-t’en loin de moi. Petits Classiques Larousse - 3 - Dom Juan de Molière  LE COMMANDEUR Repens-toi, criminel ! GIOV ANNI Non, vieux bouffi de toi-même ! LE COMMANDEUR Repens-toi ! GIOV ANNI

cette fois car DJ à sauver la vie à Dom Carlos. | Scène 5 | Dom Juan Sganarelle | Dans une forêt | DJ et Sganarelle poursuivent leur chemin et arrivent devant le tombeau du commandeur que Dom Juan a tué. Tous deux s’approchent de la statue et DJ exige de Sganarelle qu’il invite le commandeur à souper. | Acte IV, scène 1 | Dom Juan Sganarelle | Chez DJ, dans une salle pour manger | DJ rentré chez lui, repensent a l'évènement de la scène précédente. Sganarelle

externe : 5 actes. Acte (lever/coucher de rideau): ok Scène (changements de personnages): ok Pas d’entracte Action : 1, progressive et complète (Dom Juan court à sa perte malgré avertissements) mais pas vraisemblable (Statue du commandeur parle et bouge) o Structure interne Schéma quinaire  Situation initiale : Dom Juan « part à la conquête » d’une autre femme. Elément perturbateur : Done Elvire lui rappelle ses engagements (mariage)

provoquer la Statue du Commandeur jusqu'au châtiment final « Si le Ciel me donne un avis, il faut qu'il parle un peu plus clairement, s'il veut que je l'entende » ( Acte V, scène 4, l.11-12 ). De plus il fait preuve de courage face à la mort. Notamment lorsqu'il répond à la Statue du Commandeur et accepte son invitation alors qu'il sait que si il la suit il risque de mourir. C'est une attitude digne du héros tragique. A la fin de la pièce de théâtre, la Statue du Commandeur et le Spectre font leur

de l'auteur espagnol Tirso de Molina. Dom Juan y est un séducteur cynique et un sacrilège. D'autres versions italiennes et françaises existent, mais demeurent sans grand intérêt. Molière reprend donc ces éléments (personnages de Dom Juan et du Commandeur, rapport avec la religion). Cependant, il actualise la pièce : Dom Juan devient un grand seigneur du 17ème et un libertin : esprit rationaliste, qui ne croît que ce qu'on lui prouve et s'oppose donc à la religion (libertinage d'esprit). Il est aussi

du commandeur, mais Dom Juan ne porte pas intérêt à ses avertissements. Figure de style : L’ironie est la figure de style que nous avons repérer dans cette extrait puisque Dom Juan se moque de la statue du commandeur qu’il a tué en l’invitant à souper et il n’a aucun respect envers les conseils de Sganarelle. Les thèmes : l’un des thèmes qui domine le roman et l’extrait de l’acte est que dom juan agit contre les principes religieux. Puisqu’il va rendre visite à la statue du commandeur qu’il

c’est à dire qu’il va être châtié d’une manière rapide. Il aimait le changement et la rapidité, il va donc subir le châtiment rapide du divin. 4) Une morale concise et rapide - Le dénouement est représentatif d’une morale : Pour la statue du Commandeur : « l’endurcissement au péché traîne une mort funeste, et les grâces du Ciel … » la morale est religieuse. De même il faut craindre le châtiment du divin et chercher le salut. - Molière utilise un « on » de généralisation et du présent de vérité

peindre sous des images trop sombres, et sa vie à venir et ses rapports avec les hommes. Quelle que fût la cause de sa profonde mélancolie, Octave semblait misanthrope avant l'âge. Le commandeur de Soubirane, son oncle, dit un jour devant lui qu'il était effrayé de ce caractère. __ Et fort content de sa phrase le commandeur quitta le salon en courant. Octave regarda sa mère avec tendresse, elle savait si cette âme était glacée. On pouvait dire de Mme de Malivert qu'elle était restée jeune quoiqu'elle

valent certaines inimitiés et certains duels auxquels il ne se dérobe pas. Il affiche un certain cynisme dans les relations avec ses proches, remet en question les dogmes religieux. Il aime les défis, jusqu'au défi final : le repas avec la Statue du Commandeur qui l'emportera dans l'au-delà. Anne-Marie et Henri Marel voient dans les cinq actes de la pièce, l'exposition de cinq facettes de Dom Juan : l'infidèle (acte I), le séducteur (acte II), le libertin grand seigneur (acte III), l'inhumain (acte IV)

vengeance contre un homme qui vient si généreusement de lui sauver la vie. Dom Juan promet à Dom Carlos d'être à ses ordres quand il le souhaitera. Demeurés seuls, Dom Juan et Sganarelle aperçoivent, entre les arbres, le tombeau d'un Commandeur. Il s’agit du commandeur que Dom Juan a tué en duel six mois auparavant. Celui-ci, par bravade, invite la statue du défunt à dîner. La statue incline la tête et indique ainsi qu’elle accepte l’invitation. ACTE IV Le soir même, Dom Juan, rentre chez lui,