Comme un chien enragé

Seul le présupposé de liberté peut autoriser la définition de l’homme comme sujet de droit et de devoirs, et donc fonder le principe de responsabilité qui légitimerait un jugement à l’endroit de la personne qui ferait un bon ou un mauvais usage de son libre-arbitre. Les sanctions pénales reposent alors sur cette même idée selon laquelle les hommes ont à rendre compte de leurs actes délictueux parce que ce qu’ils ont fait, ils pouvaient ne pas le faire. Remettre en cause l’idée de libre arbitre reviendrait

du feu avec « brûlait » , « feu » « ardente » et flamboiement des torches » . Ce feu est la représentation de leur agitation avec « ardent » et le bruit qu’ils font est représenté par le « claquement des fouets » et les « aboiements » comme des chiens enragés qui commencent à devenir fou.En second lieu, un thème tout aussi important est le thème du vice qui y sévit. En effet, dès les premiers mots relatif au peuple, Zola les appelle de façon péjorative par « la curée » on comprend qu’il ne vas

que son manque de connaissances. Il est ainsi capable d’énumérer sans classer des termes tels qu’ « enragé », « chien », « turc », et fait bien souvent preuve de réflexions qui vont à l’encontre du christianisme. C. Sa relation à Dom Juan Dès la scène d’exposition apparaissent les premiers indices sur la relation entre le valet et son maître. Il multiplie les critiques vis-à-vis de Dom Juan, comme nous le verrons dans une seconde partie, mais on voit surtout ici qu’il le connaît bien et que sa

Développement : I Le portrait critique du maître a Le portrait d'un séducteur sganarelle critique don Juan champs lexicaux : → mariage (epousé , passion , mariage , épouseur ) → chasse (piège , attraper) don Juan est vu comme un chasseur de femme ligne 66 67 68 69 70 le mariage est le cote de l'engagement alors que la séduction est du cote du détournement hyperboles « véritable bête brute » → champ lexical des animaux antithèse : il s’intéresse a toute la

de demoiselle de la reine avec pension de 4 000 livres et à Guillaume un poste dans la garde écossaise, avec pension de 6 000 livres. Dés cette nouvelle, Pauline se prépare à aller à la cour et décide d'y emmener son amie Cécile qu'elle présentera comme sa femme de chambre, cette dernière n'étant pas noble. Seulement Versailles est un palais en construction, Pauline et Cécile découvrent un nouvel univers dans lequel elles sont perdues. Un enfant facétieux indique à Pauline le mauvais chemin. Cette

paysannes", ... Il bafoue sans scrupule l'institution sacrée du mariage. "Un mariage ne lui coute rien à contracter". Il souille l'honneur des femmes. Sganarelle voit en son maître un homme qui suit ses instincts les plus bas, il est comparé à "un chien, un pourceau d'épicure, une bête brute" et même au diable. b. L'impie Pire qu'un débauché peut-être, il est hérétique. Il ne croit "ni Ciel, ni Enfer, ni loup-garou". Cette attitude, à l'époque où le catholicisme était en vigueur, passait pour une

scandale : perso libertin respectant pas autorité et bafoue religion. Pièce s'éloignant du classicisme alors en vigueur : règle 3 unités pas respectée car 48h & multiplie lieu d'act°. Mélange des registres rend comédie irrégulière, considérée comme pièce + réussie. Extrait : scène1-acte1 : exposition. Sganarelle répond quest° Gusman, valet Elvire, dresse portrait Dom Juan peu reluisant. Nous nous demanderons dans quelle mesure cette scène remplit sa fct d'exposition. Le portrait

entendre quel type de vie mène Dom Juan. Il reste néanmoins évasif, utilise des euphémismes (« J’ai peur qu’elle ne soit mal payée de son amour, que son voyage en cette ville produise peu de fruit, et que vous eussiez autant gagné à ne bouger de là ») comme si ses actions ne pouvaient s’expliquer. Mais il ne s’agit pas des actes mais de l’homme « Eh ! mon pauvre Gusman, mon ami, tu ne sais pas encore, crois-moi, quel homme est Dom Juan ». Il dresse à cette occasion le portrait. Cette scène d’exposition

1 : Libertinage de pensée Idée secondaire 1 : Dom Juan est détesté de Sganarelle et des autres à cause de sa façon d’agir. Preuve 1 : «Scélérat», «enragé», «chien», «Diable», «Turc», «un hérétique», «bête brute», «pourceau d’Épicure», «vrai Sardanapale» Explication 1 : Champ lexical des mots utilisés par Sganarelle pour décrire Dom Juan comme étant un libertin. Preuve 2 : «…la crainte en moi fait l’office du zèle, bride mes sentiments, et me réduit d’applaudir bien souvent à ce que mon âme

il redoute de l’utiliser sur l’homme. Mais lorsqu’un jeune alsacien mordu par un chien enragé frappe à la porte de son laboratoire, Pasteur prend le risque et l’enfant est sauvé.De ce succès phénoménale naîtra l’institut Pasteur, inauguré en 1888 et dédié aux recherches contre la rage et autres maladies. Parmi tous les services qu’il a rendu à la médecine, Louis Pasteur reste avant tout ancré dans les esprits comme le père du vaccin contre la rage. « Il y a plus de philosophie dans une bouteille