Comment La Fontaine Rend T Il Ses Recits Vivant

SEQUENCE N°1 LA SATIRE SOCIALE AU XVIIIe SIECLE. Comment formuler une critique de la société sans en avoir l’air ? Objet d’étude principal : L’argumentation ( : Conte philosophique, Fable, Essai.) Objet d’étude secondaire : Un mouvement culturel & littéraire français & européen : Les Lumières. 1. Montesquieu, Lettres Persanes, « Rica à Rhédi », lettre XCIX (1721)

contradiction dans le compromis impossible entre son être intime primitif, ses pulsions, ses désirs et son rapport au monde à l’autre et aux règles, loi ou contrainte extérieure. Comment aborder ce déchirement entre sa nécessité d’exister, d’être en accord avec soi, et la soumission à ce qui nous est extérieur et imposée par l’autre ? Comment négocier cette dualité de l’être qui est propre à tout individu sociabilisé ? L’objectif est donc de mettre en avant la condition de l’être humain dans toute sa complexité

Les Fables de Jean de La Fontaine, Livre I (1668) À MONSEIGNEUR LE DAUPHIN. Je chante les Héros dont Ésope1 est le Père. Troupe de qui l’Histoire, encore que mensongère, Contient des vérités qui servent de leçons. Tout parle en mon ouvrage, et même les poissons. Ce qu’ils disent s'adresse à tous tant que nous sommes.

tenants de la méthode philologique le texte donné au départ est considéré comme "orphelin" : c'est un ensemble de traces matérielles auxquelles manque une date, un lieu d'apparition, une appartenance générique (s'agit-il d'un fragment de roman ? d'un récit historique ?...) pourquoi y a-t-il des contradictions entre les diverses versions ou à l'intérieur du même texte ? quelle était sa forme primitive ? quel en est l'auteur ?...Interrogations qui supposent un perpétuel va-et-vient entre le texte et son

réseaux lexicaux contribuent à l’exaltation des moments glorieux comme des difficultés rencontrées. Ainsi, le champ lexical des armes (v. 12 à 18) et celui de la lumière (v. 23 à 27) contribuent à l’amplification épique du récit. Analyse 4. L’intervention du narrateur qui commente l’action peut nous rappeler les conditions dans lesquelles le texte était chanté au Moyen Âge dans la grande salle des châteaux. Le troubadour semble ainsi accompagner naturellement de ses considérations – regrets, réflexions

langue est un dialecte français de Normandie, dont il est probablement originaire. L’auteur intervient deux fois, v1268 1790 il s’agit de faire référence à une source, écrite dans le second cas, qui assure la légitimité de son récit et qu’il suit au plus près (normand vivant en Angleterre) (auteur ou source de l’œuvre ? ) Légende arthurienne : Tristan est le fils de Rivalin, roi du Léonois et de Blanchefleur, sœur du roi Marc de Cornouailles, dès sa naissance voué au malheur. Son père perd sa

trahissant les siens, a partie liée avec lui, comme le comte Ganelon (v. 32). Enfin, l’immense masse des soldats, l’armée valeureuse et puissamment équipée, qui forme elle aussi le héros collectif de l’épopée. 3. L’intervention du narrateur qui commente l’action peut nous rappeler les conditions dans lesquelles le texte était chanté au Moyen Âge dans la grande salle des châteaux. Le troubadour semble ainsi accompagner naturellement de ses considérations – regrets, réflexions, encouragements, admiration

deux textes nous sont parvenus. Le schéma narratif de l’Odyssée est particulier. L’action en elle même s’étant sur quarante jours. Cependant, les analepses sont constantes et distendent la narration. La structure narrative du poème est complexe, les récits sont enchâssés. La construction du poème est importante pour comprendre le développement de l’iconographie grecque. L’Iliade et l’Odyssée constituent le fond culturel commun du monde grec antique. La question du rapport entre le texte et l’image

beauté des armes= richesse en or· Bataille merveilleuse c’est le narrateur et ses commentaires qui le montre-surnaturel-beauté-adj mélioratifSi vous usiez vu = guerre présentée comme un spectacle · Présent de narration (dans un récit au passé mettre en valeur les actions par une rupture dans les temps) = accumulation des coups, mettre sous les yeux du lecteur· Roman=langue ( langue quotidienne), ancien français n’est pas= au latin (savante)= trad. du latin vers le roman français·

dans l’objet d’étude « Au XXème siècle, l’homme et son rapport au monde à travers la littérature et les autres arts ». Elle apporte des réponses à deux questions qui accompagnent l’objet d’étude : « Comment la lecture d’œuvre permet-elle de s’interroger sur le rapport de l’homme au monde ? » et « Comment le XXème siècle a-t-il modelé l’homme moderne ? ». En ce qui concerne la modalité de lecture de l’œuvre, j’ai opté pour un parcours de lecture et j’ai donc sélectionné une série d’extraits en fonction