Comment Le Poète Peut Il Exprimer Sa Douleur

« Le Pont Mirabeau » Apollinaire (alcools) OE4 séquence V-Texte2- Biographie de l'auteur : Guillaume Apollinaire poète et écrivain français 1880-1918 né en Italie (XIXème siècle). Il est l’auteur du recueil de poèmes « alcools » publié en 1913 qui mit environ 15 ans à être écrit. Son premier travail est d'être précepteur d'une jeune aristocrate en Rhénanie (des poèmes s'appelleront Rhénane. En 1907, il s'établit à Paris. Ce sera un ami très proche de Picasso Il a aussi bien une

Shakespeare de Stendhal: Exergue : Intelligenti pauca : peu de mots pour celui qui comprend Parallèle entre l’écrivain classique et l’esclave. Le vers est désuet, la prose indispensable. Le vers occulte le sens. Le vers classique est inapte à exprimer certaines réalités. Style de David est caractérisé par des lumières franches. Fragonard : couleurs effacées, ternes. Traits effacés. Parallèle entre la république romaine et française. Idée qu’il y a eu un changement esthétique en peinture, et

voulu poursuivre Le Corps, l'Esprit, le Sens et la Raison. 1. La douleur du poète: a. Opposition du corps et de l’esprit tout au long du poème qui symbolise la lutte intérieure du poète jusque le dernier vers où la lutte et l’opposition sont totales = Pétrarquisme. b. Allitération des sons V, S et R qui sont des consonnes durs = insistent sur la douleur. c. + oxymore ‹‹sans mourir et sans vivre›› qui insiste sur la douleur intense. Tous ses sens se rebellent. d. Alternance des rimes féminines

découler de ces poèmes. Ainsi, on peut prétendre que la douleur peut-être une forme dʼinspiration utilisée mais qui, malgré son aspect douloureux, rend pourtant la poésie plus belle, nostalgique mais surtout mélodieuse. Elle saura aussi touchée encore plus les lecteurs, quʼils soient habituellement sensibles aux poèmes ou non. Quant à ma vision de lʼamour, elle est encore très vague, je nʼai pas de recul par rapport à ce sentiment. Pour moi lʼAmour existe, peut-être pas de la façon dont je lʼimagine

choisi ce poème tout d'abord pour son titre ; Le thème de la mort est omniprésent dans ce texte. Elle agit en tout lieu et concerne tout le monde, elle domine, marque le territoire. Ce texte montre à l'homme qui croit être tout puissant que la mort ne peut être arrêtée . D'autre part, on remarque le mépris de la mort face aux hommes auxquels elle ôte la vie. 2. El Desdichado Je suis le ténébreux, - le veuf, - l'inconsolé,Le prince d'Aquitaine à la tour abolieMa seule étoile est morte, -

L’être tutélaire non nommé est emblématique = une figure qui obéit à une exigence d’honnêteté morale. L’exigence morale de Louis Haesler doit guider le poète. Ce quatrain se lit aussi comme une épitaphe : une inscription funéraire dressant le rapide portrait du mort à l’usage des vivants. Il s’agit de l’épitaphe de Louis Haesler, beaupère du poète, imprimeur et rédacteur en chef de la « Feuille d’avis de la Béroche », mort en 1966. Le texte poétique se construit sur la métaphore géométrique de la

l’existant : de fait, le poète appartient à l’histoire, à la société, aux idéologies. Son chant est par définition universel : il “parle pour tous”. Comme l’écrivait Juan Carlos Baeza Soto à propos du poète espagnol Emilio Prados, “l’essentiel de la poésie engagée réside alors dans l’action avec la réalité et dans la relégation au second plan de la voix individuelle, sinon, le poète se séparerait de la réalité.” Ce contact avec la réalité physique et matérielle rend le poète infiniment présent au monde

l'existant : de fait, le poète appartient à l'histoire, à la société, aux idéologies. Son chant est par définition universel : il "parle pour tous". Comme l'écrivait Juan Carlos Baeza Soto à propos du poète espagnol Emilio Prados, "l'essentiel de la poésie engagée réside alors dans l'action avec la réalité et dans la relégation au second plan de la voix individuelle, sinon, le poète se séparerait de la réalité." Ce contact avec la réalité physique et matérielle rend le poète infiniment présent au monde

interdiscursive. La notion d’isotopie est à la fois signe de la transparence et de l’inédit du texte. Définie comme étant un réseau sémantique constitué d’au moins deux éléments, disséminés dans le récit et qui partagent des sèmes communs, l’isotopie peut être manifeste, renvoyant à un ensemble de traits sémantiques permanents, non modifiables à travers plusieurs textes (sèmes nucléaires) ou bien métaphorique, indiquant une certaine vision de l’énonciateur immergé dans un espace socioculturel. L’isotopie

les doutes et les angoisses de ce poète du xxe siècle. Ainsi, le poème en vers libres « En cas d'arrêt même prolongé », extrait du recueil Courir les rues, se présente comme le récit d'une anecdote dérisoire – une panne de métro – qui débouche soudainement sur une vision cauchemardesque, avec une véritable invasion de fantômes se livrant à une danse macabre. Comment le poète métamorphose-t-il une scène banale en vision hallucinée ? Nous verrons tout d'abord comment Queneau présente cette expérience