Comment Vivre Andre Gide

www.comptoirlitteraire.com André Durand présente ‘’Thérèse Desqueyroux’’ (1927) roman de François MAURIAC (180 pages) pour lequel on trouve un résumé puis successivement l’examen de : la genèse (page 3) l’intérêt de l’action (page 3) l’intérêt littéraire (page 5) l’intérêt documentaire (page 9) l’intérêt psychologique (page 13)

www.comptoirlitteraire.com André Durand présente Prosper MÉRIMÉE (France) (1803-1870) Au fil de sa biographie s’inscrivent ses œuvres qui sont résumées et commentées (surtout ‘’La Vénus d’Ille’’, ‘’Carmen’’ et ‘’Colomba’’). Bonne lecture ! Né à Paris, le 27 septembre 1803, il fut élevé dans un milieu cultivé de tradition voltairienne, mais passionné depuis l'âge de seize ans par les sciences occultes et les expériences de magie. Il fit toutes ses études secondaires au lycée

trahison toujours présent à sa conscience. La relative indifférence du peuple lors de cet épisode est pour une grande part responsable du mépris dont il accablera plus tard les « culs-terreux » de son Irlande natale. Une scène de Dedalus nous rapporte comment, à l'occasion d'un repas de réveillon, put s'intégrer en une seule vision la triple découverte de la trahison de Parnell, de l'action temporelle de l'Église catholique et du rôle contraignant joué par la famille. Cette fin d'année 1891, déjà marquée

laisser l’extrême droite tirer profit de l’idéologie coloniale, il faut expliquer ce paradoxe de la République : invention des droits de l’homme et leur négation dans les colonies (NB L’Habeas corpus est anglais, la question est en fait politique, comment passer de l’idéal à la réalité) Le paradoxe du républicain Il s'inscrit dans un contexte plus général, celui de l'Europe dominant le monde par l'esclavage et la colonisation, contraires au principe d'humanisme produit par l'Europe même. La IIIe

l'organisation de la cité dans son sens le plus large et le moins fluctuant (par opposition à la politique, plus tacticienne et conjoncturelle). Or, sans qu'il soit besoin de définir la politique, la morale et le droit, mais en se contentant de les regarder vivre, en observant par conséquent le droit de tous les jours, celui que les juristes connaissent bien, en observant de même la politique et la morale tels qu'ils se pratiquent (ou ne se pratiquent pas toujours, pour ce qui concerne cette dernière), on parvient

préférait sa copie à elle-même, que cette copie était l'adorée, la préoccupation unique, la tendresse de toutes les heures. Il la tuait à la pose pour embellir l'autre, il ne tenait plus que de l'autre sa joie ou sa tristesse, selon qu'il la voyait vivre ou languir sous son pinceau. N'était-ce donc pas de l'amour, cela ? et quelle souffrance de prêter sa chair, pour que l'autre naquît, pour que le cauchemar de cette rivale les hantât, fût toujours entre eux, plus puissant que le réel, dans l'atelier

Résumé: La symphonie pastorale- André Gide 10 février 189. Il neige très fort donc Le pasteur d'un petit pays du Jura Suisse ne peut pas aller à la chapelle de La Brévine. Le pasteur visite depuis 15 ans deux fois par mois ‘R’. C’est une habitude et ils célèbrent le culte. Le pasteur entreprend d'écrire un journal retraçant l'histoire d'une jeune aveugle, Gertrude, "âme pieuse" (page 11), qu'il avait recueilli deux ans et six mois auparavant. Quand le pasteur était en train de démonter de

www.comptoirlitteraire.com André Durand présente Louis ARAGON (France) (1897-1982) [pic] Au fil de sa biographie s’inscrivent ses œuvres (poèmes et romans) qui sont résumées et commentées. Bonne lecture ! Il est né à Paris, le 3 octobre 1897. Il était un enfant naturel. Sa mère, Marguerite Toucas, avait vingt-quatre ans ; son père, Louis Andrieux, en avait cinquante-sept, était marié et poursuivait une carrière de préfet de police et de député. Aussi ne reconnut-il pas l’enfant

 www.comptoirlitteraire.com André Durand présente Louis ARAGON (France) (1897-1982) Au fil de sa biographie s’inscrivent ses œuvres (poèmes et romans) qui sont résumées et commentées. Bonne lecture ! Il est né à Paris, le 3 octobre 1897. Il était un enfant naturel. Sa mère, Marguerite Toucas, avait vingt-quatre ans ; son père, Louis Andrieux, en avait cinquante-sept, était marié et poursuivait une carrière de préfet de police et de député. Aussi ne reconnut-il pas l’enfant, mais devint

sont, qui ne paraissaient pas importantes, ou qu'on ne savait même pas exister. L'amas sur notre esprit de toutes connaissances acquises s'écaille comme un fard et, par places, laisse voir à nu la chair même, l'être authentique qui se cachait ». André Gide Remerciements Je voudrais tout d’abord remercier Mr. Hani ZGHEIB, qui, en tant que Directeur du mémoire, s’est toujours montré à l’écoute et très disponible tout au long de la réalisation de ce mémoire ainsi que pour son attention, sa patience