Comment Wang Fo Fut Sauvé De Marguerite Yourcenar

I) Biographie de l’auteur : Marguerite Yourcenar est née le 8 juin 1903 à Bruxelles. Première femme à intégrer l'Académie française en 1980, Marguerite Yourcenar est une grande femme de la littérature francophone, auteur de romans biographiques et historiques majeurs. D'origine belge, de son véritable nom Marguerite de Crayencour, la jeune fille reçoit une éducation humaniste et extrêmement riche par son père, une figure dont l'influence sera fondamentale pour sa production littéraire. C'est

Le texte est un extrait d’une nouvelle, écrite par Marguerite Youcernar, appartenant au recueil des Nouvelles orientales qui s’intitule « Comment Wang Fô fut sauvé ». Cette nouvelle parue aux éditions Gallimard en 1978, évoque le genre du conte. L’histoire se déroulant en Chine au Moyen-Age, est celle de Ling, un jeune homme aisé, qui rencontre un vieux peintre emplit de sagesse, Wang Fô. L’auteur a été l’une des premières femmes à entrer à l’Académie française et sait donc ce qu’est l’art

Marguerite yourcenar auteur du 20ième siècle Pour commencer , je vous présenterais Marguerite Yourcenar , de sa naissance à sa mort , puis un sur-volage de quelques œuvres de chaque genre d’écriture , puis une exposition de la disposition geospatiale de Marguerite , où a-t-elle vécu , voyageait , est-ce qu'elle a était influencer par cela , et le contexte historiale-socio-culturel , et pour finir son style littéraire , a qu'elle courant appartient elle ou prolonge-t-elle s'en un , et quels

Nouvelles orientales Marguerite Yourcenar Nouvelles orientales Auteur Marguerite Yourcenar Genre Recueil de nouvelles Pays d'origine France Éditeur Gallimard Collection La Renaissance de la nouvelle Date de parution 1938 Nombre de pages 195 Nouvelles orientales est un recueil de nouvelles de Marguerite Yourcenar publié chez Gallimard en 1938. Il regroupe dix nouvelles publiées précédemment dans des revues littéraires. Publiées d'abord séparément, les dix nouvelles ont été retravaillées pour

ANALYSE L’auteur, Marguerite Yourcenar, de ce passage de la nouvelle « comment Wang-Fô fut sauvé », tiré du recueil des « Nouvelles Orientales » datant de 1963, a été une des premières femmes à entrer à l’Académie Française et sait donc mieux que quiconque ce qu’est l’art. Ce texte se situe en Chine aux temps des dynasties où l’art est omniprésent. L’art a du pouvoir pour celui qui le créé et/ou sur celui qui en est spectateur. Nous nous attacherons à déterminer quel est ce pouvoir sur ceux qui

fort que le pouvoir politique ou celui de l’argent, plus fort même que la mort. Marguerite Yourcenar a le talent extraordinaire d’exprimer beaucoup avec un minimum de mots. Ses «nouvelles orientales» sont courtes mais très profondes. On ressent comme ne jamais le pouvoir des mots, comme le pouvoir de l’amour ou celui de l’art, de la beauté ou de l’amitié.  De son vrai nom Cleenewerk de Crayencour, Marguerite Yourcenar est née à Bruxelles le 8 juin 1903. Elle s’éteint aux Etats-Unis le 19 décembre

COMMENT WANG-FO FUT SAUVE Issu des nouvelles orientales : 8 éditions successives de 1936 à 1982 ; décrit ses nouvelles comme des « contes ou des apologues » (tradition orale, merveilleux, récit initiatique) I – Le récit de l’initiation de Ling. 1) Une rencontre qui s’inscrit dans un contexte particulier. • Le temps : « une nuit » « ce soir-là » atmosphère particulière. __ : démonstratif qui insiste sur un moment particulier. • Le lieu : « une taverne » lieu commun, trivial, lieu

rencontre. Chacun peut appréhender une œuvre d’art à sa manière : en consommateur,  en rêveur, en philosophe … L’art peut-il nous emprisonner, fausser notre vision du monde ? Marguerite Yourcenar dans son ouvrage intitulé Nouvelles orientales et notamment dans sa nouvelle « Comment Wang-Fô fut sauvé » nous livre sa perception de l’art, la définition qu’elle en établit conduit le lecteur, au fil des pages, à trouver des réponses, à se forger ses réponses. Dans l’extrait que nous allons

1963 par Marguerite Yourcenar, première femme académicienne. Il est extrait de « Nouvelles Orientales », « Comment Wang-Fô fut sauvé », une nouvelle donc, qui relate l’histoire d’un peintre chinois de génie, Wang-Fô, dont les oeuvres donnent à voir un monde noble, grand et beau, et de son disciple Ling ; déçu par la réalité, trahi, dit-il, par Wang-Fô. Avant de lui faire subir son châtiment, l’Empereur ordonne au peintre d’achever son chef-d’œuvre, un paysage de montagne et de mer. Et Wang-Fô s’y consacre

et le voyage. Le premier thème fait écho à la première nouvelle du livre, mais ici, l'art n'est non plus une passion (comme pour Wang-Fô) mais un moyen de gagner sa vie. De plus, il n'arrive pas à sauver Cornélius de son grand désespoir alors qu'il a épargné la mort à Wang-Fô. Les deux derniers thèmes marquent un lien direct avec l'auteure. En effet, Marguerite Yourcenar a beaucoup voyagé et longtemps vécu dans la solitude. Mais elle le vivait bien car, pour elle, la solitude était très précieuse