Commentaire Acte Iii La Machine Infernale

qu'ils lui ont attribué ? Bachelard, à ce sujet, évoque les « images sincères » 1(*). L'image sincère, c'est la représentation vraie, en l'occurrence ici, du monde souterrain, qui se tapisse derrière le style de l'écrivain, de cette « mythologie en acte », sorte d'inconscient collectif auquel n'échappent pas les romanciers. Autrement dit, la représentation du monde souterrain obéit à des règles communes, et ce, depuis que l'homme a la capacité d'imaginer. Cela étant dit, la particularité de notre

7) -l�int�r�t litt�raire (page 14) -l�int�r�t documentaire (page 21) -l�int�r�t psychologique (page 23) -l�int�r�t philosophique (page 32) -la destin�e de l��uvre (page 33) -l��tude de toutes les sc�nes (pages 39-94) R�SUM� Acte I: Sc�ne 1�: S�par�s par une temp�te, le roi d�Argos, Oreste, et son ami, Pylade, se retrouvent � Buthrote, capitale de l'�pire, � la cour de Pyrrhus, �le fils d'Achille et le vainqueur de Troie�. Oreste vient, au nom des Grecs qui sont

professeur et associés à la lecture d’œuvres intégrales. À titre d’exemple, voici cinq séquences possibles : • Objet d’étude : la mixité des genres et des registres Lecture d’une œuvre intégrale : Molière, Dom Juan ou Hugo, Ruy Blas ou Cocteau, La Machine infernale. Groupement de textes extraits du manuel : – Corneille, Le Cid, p. 108 – Hugo, Hernani, p. 115 – Koltès, Roberto Zucco, p. 130 • Objet d’étude : le théâtre dans le théâtre Œuvre intégrale : Corneille, L’Illusion comique ou Anouilh, La Répétition

roman » dans le manuel de français, page 252 Le thème de la culpabilité dans un vrai faux roman policier. 5) Apprentissages écrits : Fiche recherche CDI : biographie de Zola, mouvement littéraire, le projet des Rougon-Macquart. Apprentissage du commentaire à partir du travail effectué en lecture analytique, et début d’apprentissage de la dissertation. 6) Étude de l’image. Mise en perspective de l’œuvre avec l’adaptation cinématographique : Thérèse Raquin de Marcel Carné, 1953. Étude de 3 scènes :

absolue, le même état de néant amoureux auquel arrivent les grands contemplatifs. LI Phèdre meurt, non sans doute dans l'amour divin, dans la caritas, mais elle meurt désappropriée, dans la résignation totale à la volonté divine. Son acte suprême, unique, est un acte de parfait abandon : elle meurt esclave volontaire ", et non pas esclave de la mort -. Georges Poulet, 1949 La vertu du langage veut que Phèdre en exprimant son amour se dicte à elle-même sa destinée : le fatum est ici fidèle à son étymologie

intermédiaire que la critique occupe dans nimporte quel processus de communication (scientifique, esthétique, littéraire) a mené à diverses tentatives de circonscrire le concept. Ainsi, pour Georges Poulet, la critique est « un dédoublement mimétique dun acte de pensée » (La conscience critique), pour W. Brownell « lexpression du concret dans des termes abstraits » (Criticism. An Essay of Function, Form and Method), pour Arthur Nisin, un « examen des structures » (La littérature et le lecteur), pour Henri

ensuite. Moins de vingt lettres suffisent pour nous raconter comment l'Histoire va s'insinuer entre deux amis d'enfance pour les séparer et changer leur vie à jamais. Se bornant aux événements,Kathrine Kressmann Taylor n'apporte aucune analyse ou commentaire à l'histoire. Elle nous livre des faits bruts et nous laisse le soin de les analyser nous-mêmes, de les comprendre, de les jauger. Les premières lettres sont chaleureuses, passionnées. Puis l'Histoire s'immisce entre Max et Martin et la fracture

..........................................7 Acte premier........................................................................................8 Acte deuxième...................................................................................23 Acte troisième....................................................................................39 Acte quatrième...................................................................................53 Acte cinquième...................................

Professeur Nathalie Dauvois Soutenue publiquement Le 17 décembre 2007 Devant un jury composé de Mesdames et Messieurs les Professeurs: E. Berriot-Salvadore (Université P. Valéry Montpellier III) N. Dauvois (Université de Toulouse le Mirail) R. Esclapez (Université de Toulouse le Mirail) M-M. Fragonard (Université de Paris III) J.-N. Pascal (Université de Toulouse le Mirail) tel-00272376, version 1 - 11 Apr 2008 2 Université de Toulouse-Le Mirail-UFR Lettres philosophie Musique Ecole doctorale Lettres

sur des œuvres intégrales et en histoire des arts, et exercices d’approfondissement de la partie I ; exercices d’ouverture de fiche, puis d’application de la partie II ; questions sur des éléments de cours, et exercices d’entraînement de la partie III. Des études de textes graduelles Le corrigé des lectures analytiques et des analyses d’images de la partie I valorise la progressivité des questionnaires : l’approche systématique sous forme de relevés ou de questions thématiques de la rubrique