Commentaire Article 121

sur Internet N° de clause Clause correcte (O/N) Commentaires 1 – Acceptation Oui Le client aura pris connaissance du contrat grâce à – Transparence de l’offre : - Nom, coordonnées, adresse et tel - Modalité de paiement - Durée de validité de l’offre - Description précise des produits et services • Frais de livraison • Disponibilités - Coordonnées de l’éditeur du site 2 – Les produits Non Les photographies doivent correspondre aux articles vendus (ou variations minimes ne portant pas sur

Commentaire d’arrêt : Cass. crim., 14 décembre 2010 Faits : Le 17 septembre 2005 vers minuit M.Y. circulait sous l’empire de l’alcool et est décédé après avoir perdu le contrôle du véhicule qu’il conduisait sans permis. Il était auparavant à une soirée organisée par M.X. où il a bu et emrpunté la voiture de M.X. Procédure : -En première instance, il n’est pas indiqué qui se saisit du tribunal mais M.X est déclaré coupable et est condamné pour homicide involontaire et complicité de conduite

alors, selon le moyen, qu'en estimant que la présomption de non-commercialité attachée à l'inscription du conjoint au registre du commerce et des sociétés en qualité de collaborateur revêtait un caractère irréfragable, la cour d'appel a violé les articles 1er et 4 du Code de commerce ; Mais attendu que, selon l'article 65, alinéa 1er, du décret du 30 mai 1984 devenu l'article L. 123-8 de Code de commerce, la personne assujettie à immatriculation au registre du commerce et des sociétés en vertu de

domaines et sera capable d' acquérir une place importante dans la société future en concurrençant, par exemple, la presse papier. Grâce à ce moyen, tout le monde peut s' exprimer en toute liberté, par exemple les journalistes peuvent publier leurs articles sans aucune censure. Les règlementations imposées par les sites hébergeant des blogs (skyblog, u-blog...) ne sont pas, dans certains cas, suffisamment respectées et donc laissent parfois place à des déviances. Certains bloggeurs utilisent ce moyen

 COMMENTAIRE D’ARRET DE DROIT PENAL Arrêt de la chambre criminelle de la Cour de cassation du 8 janvier 2003 La chambre criminelle de la Cour de cassation a dû se prononcer dans un arrêt du 8 janvier 2003 sur la nature du lien juridique unissant l’auteur d’une infraction principale à son complice. En effet, la question fut de savoir si la relaxe de l’auteur d’un fait principal punissable pouvait exclure la culpabilité de son complice ? En l’espèce, Yannick Y… et Ali X… furent poursuivis,

beaucoup utilisés par les premières années. Les encyclopédies juridiques : très vastes. Deux principales, l’une de Dalloz (60 volumes), l’autre est celle du juriste classeur : certains fascicules respectent les articles du Code civil et sont donc très intéressants pour les commentaires de textes. Les formulaires donnent les modèles d’acte juridique. Les livres de méthodologie et d’exercices : recherche de conseils. Il peut être intéressent en complément des TD. (annales de droit) Les ouvrages

Commentaire d'arrêt - Chambre criminelle, 24 octobre 1956 "L'auteur principal et le complice sont cousus dans le même sac", cette citation du Doyen Carbonnier laisse entendre que l'auteur principal et le complice suivent le même sort. Mr Guillemin et Mr Wagner ont ordonné à Mr Lepont de reprendre la route avec son camion alors que celui-ci avait un système d'éclairage défectueux, par conséquent, Mr Lepont,le chauffeur, aurait pu mettre en danger la vie d'autrui. Guillemin et Wagner sont poursuivis

Commentaire arrêt 1ère civ 4 novembre 2011 La première chambre civile de la Cour de cassation a rendu le 4 novembre 2011 un arrêt relatif à la licéité de la cause du contrat de courtage matrimonial. En l'espèce, une personne mariée a conclu une convention de courtage matrimonial. L'agence matrimoniale en demande ensuite l'annulation pour cause illicite. La Cour d'appel de Nîmes accueille cette demande considérant que le contrat a une « cause illicite comme contraire à l'ordre public de

la Consommation par une loi du 18 Janvier 1992 sur la protection des consommateurs; et ce sont les articles L. 121-8 à L. 121-14 qui fixent les conditions de légalité de ces messages publicitaires. Ainsi, en plus de l'interdiction de tirer profit de la notoriété d'un concurrent et de l'interdiction de créer une confusion entre concurrents, se trouve l'interdiction de dénigrer; en effet l'article 121-9-2 pose que la publicité comparative ne doit pas (entre autres) entraîner "le discrédit ou le dénigrement

est prévue par un texte Contraventions : Le silence du législateur semble commander qu'elle soit exclue 1) L'infraction tentée Art 121-5 CP : « La tentative est constituée dès lors que, manifestée par un commencement d'exécution, elle n'a été suspendue ou n'a manqué son effet qu'en raison de circonstances indépendantes de la volonté de son auteur» Le commentaire est naturellement dicté par cette double condition. a) Le commencement d'exécution Faute de définition législative, l'expression