Commentaire Article 16 3 Code Civil

TD 3 DROIT CIVIL DES PERSONNESLA PERSONNALITÉ JURIDIQUE 1) Introduction du commentaire de l’arrêt rendu par la premiere chambre civile de la Cour de cassation le 6 février 2008 Le 20 mars 1996, Madame Y, épouse X, enceinte de 21 semaines, accouche d’un fœtus sans vie d’un poids de 400 grammes.Le 13 mai 2003, les époux X décident de saisir le tribunal de grande instance pour ordonner a l’officier de l’état civil d’établir un acte d’enfant sans vie, prénommant l’enfant Z et

tenant lieu d’un journal intime, ou encore des blogues professionnels. On compte notamment de nombreux blogues juridiques, permettant de suivre l’actualité du droit dans les domaines choisis, alliant la réflexion, l’étude, et le débat grâce aux commentaires des visiteurs. L’intérêt de ces blogues est reconnu d’un point de vue pédagogique dans le monde universitaire mais aussi devant les Cours ; en 2005, la Cour suprême américaine cite un blogue pour la première fois dans sa décision2, plaçant le blogue

Dans chaque baillage concerné, on réunit l’assemblé des états c'est-à-dire l’assemblé des 3 ordres des assemblés du baillage. Cette assemblé réunit plus de 100 personnes et devant cette assemblé le projet est lu et est discuté article par article et les commissaires du roi défendent l’intérêt général. Après chaque lecture d’article si il est accepté par les 3 ordres est dit accordé. L’adoption d’un article chaque ordre et l’unanimité des trois ordres. A priori c’est un processus très démocratique

Commentaire d’arrêt « En mariage comme en affaire, nul ne doit s'engager à la légère. » Citation de Pierre-Claude-Victor Boiste Un mariage c’est lien civil qui unit deux personnes et entraine des devoirs de chacun d’entre eux , le devoir de fidélité par exemple. Dans cet arrêt , le 20 juillet 1991, Madame Y épouse Monsieur Z. Le 9 décembre 1995 , elle se marie avec Monsieur A grâce à un acte de naissance falsifié, alors qu'elle est toujours mariée avec Monsieur Z. Le 29 octobre 1999, elle divorce

Montaigne-La Boétie) évoque Aristote et la philia, relation civique aussi vite remarquée qu’oubliée par les juristes ou politistes. Pourtant qui comprend la Politique et l’Ethique à Nicomaque voit s’installer la relation d’amitié aux fondations de toute cité[3]. Mais ceux qui se réclament indéfiniment de ces textes ne bâtissent pas sur cette base. Le politiste sourira devant le mot philia, le juriste restera embarrassé par les cas qui se présentent à lui (plus souvent en droit privé qu’en libertés publiques)

Commentaire d’arrêt: Cass. com, 10 juillet 2007, arrêt Fromont Sujet: La bonne foi dans l’exécution du contrat En droit des contrats, le code civil consacre deux principes que sont d’une part la force obligatoire du contrat, d’autre part l’exigence de bonne foi. Si la loi reste muette à propos du souci de leur conjugaison, c’est aux hommes qu’ils revient d’en traiter le problème. Dans son arrêt Fromont du 10 juillet 2007, la chambre commerciale de la Cour de cassation nous apporte une solution

notion de législation. Mais en plus, les juristes ont crées la doctrine qui consistes à écrire des livres et des essaie de réflexion du droit qui peuvent contenir des critiques ou des demandes d’amélioration : il est nait la doctrine. Ainsi nous avons 3 facteurs de création du droit français : La coutume, peu à peu rédigé de façon savante et finalement transformé en loi au moyen d’une rédaction à caractère officiel Le droit savant qui est devenu la doctrine, l’étude de la décision des

méthodologie du commentaire d’arrêt et du cas pratique. • Percevoir les grandes évolutions des différents thèmes de la fiche. Consignes 1. Approfondissez sur les évolutions et les questions qui se posent encore actuellement concernant les trois thèmes suivants : - La force majeure (doc. 1, 2, 5 et 6) - Le changement de circonstances (doc. 3, 7 et 9) - La caducité du contrat (doc. 4 et 8) 2. Faire le commentaire d’arrêt (introduction et plan détaillé du document 3) 3. Rédigez les fiches

LA FORCE OBLIGATOIRE DU CONTRAT Commentaire : Cass. Civ. 1ère, 16 mars 2004 Dans sa décision du 16 mars 2004, la 1ère Chambre civile de la Cour de Cassation s'est prononcée sur une question dont les juges ont souvent à connaître : celle de l’immutabilité du contrat, malgré des déséquilibres financiers entre les parties. En l'espèce, la commune de Cluses, la société Les Repas Parisiens (LRP) et l'association Foyer des jeunes travailleurs (AFJT) avaient conclu une convention tripartite

Commentaire d’article Introduction Depuis la Révolution française, afin de préserver les droits et libertés de chacun, les sources de droit ne sont plus, en principe, rétroactives. Toutefois, si ce principe semble aujourd’hui clair, il fait encore souvent débat, notamment dans le cadre des lois dites de validation. Dès l’élaboration du Code civil, en 1804, le législateur a dû définir le principe