Commentaire Assommoir Mort Coupeau

Commentaire littéraire: Assommoir L’Assommoir est une oeuvre naturaliste du XVIIIème siècle dont le personnage principal est une femme, Gervaise. Trompée, battue, méprisée, Gervaise est une boîteuse, elle finira par se laisser aller, et plonger à son tour dans le vice et l’alcoolisme. Coupeau est un bon ouvrier couvreur au début, il a la hantise de remonter sur les toits suite à une chute. Il devient alcoolique. Auguste Lantier est un parasite qui dilapide l’héritage de Gervaise. Anna Coupeau est

L’AssommoirEmile ZolaNATURALISME XIXème siècle, Second Empire.Appliquer conception scientifique, observer milieux sociaux, influence sur destin.Contemporains : Shakespeare, Corneille, Honoré d’Urfé, Scudéry, Montaigne…Assommoir - la visite du Louvre (3)INTRODUCTION « J’ai voulu étudier des tempéraments et non des caractères, j’ai choisi des personnages souverainement dominés par leur chair et leur sang. » C’est ainsi que Zola décrit son projet de présenter

que l’on va étudier Annonce du plan de commentaire Partie I : Gervaise découvre le café-concert, l’alcool qui y est omniprésent et les femmes nues a)Gervaise s’essaie à l’alcool et à la pipe, elle a la tête qui tourne b)Gervaise un peu choquée observe Amanda, une femme nue qui fait son spectacle, et finit par admirer sa peau Partie II : Coupeau totalement alcoolisé et endormi, la chambre détruite a)Gervaise découvre avec horreur son mari Coupeau ivre mort et c’est avec un poids au cœur qu’elle

------------------------------------------------- L'Assommoir  Pour les articles homonymes, voir Assommoir (homonymie). L’Assommoir | | Auteur | Émile Zola | Genre | roman naturaliste | Pays d'origine |  France | Éditeur | G. Charpentier, Paris | Date de parution | 1877 | Série | Les Rougon-Macquart. Histoire naturelle et sociale d'une famille sous le second Empire | Chronologie | | | Son Excellence Eugène Rougon | | Une page d’amour | | | | | | L'Assommoir est

personne intéressée à éditer et enrichir Wikipédia. Consultez la liste. Fermer Cette page est semi-protégée. L'Assommoir Aller à : navigation, rechercher Page d'aide sur l'homonymie Pour les articles homonymes, voir Assommoir (homonymie). L’Assommoir Image illustrative de l'article L'Assommoir Auteur Émile Zola Genre roman naturaliste Pays d'origine Drapeau de la France France Éditeur G. Charpentier, Paris Date de parution 1876 en feuilleton

L’assomoir Explication des mots signalés par un * : Assommoir: dans son sens général, ce terme populaire désigne un cabaret de bas-étage où le client boit des alcools violents qui le laissent "assommé" et le tuent peu à peu. - Cheulards: soûlards, soiffards. - Un canon: un verre. - Roussin: agent de police en argot:appliqué ici au père Colombe supposé être un indicateur- de police. - Avoir un fichu grelot: avoir la langue bien pendue. L'étude de texte porte sur le passage dont les lignes

d’Émile Zola : prototype du roman « noir » urbain. Par Guy Talon (Toutes les citations extraites des Rougon-Macquart renvoient à l’édition du Livre de Poche et, en particulier à L’Assommoir, 534 p. avec une préface de Cavanna, des notes et des commentaires d’Auguste Dezalay.) L’Assommoir, roman du destin annoncé dès sa préface (« J’ai voulu peindre la déchéance fatale d’une famille ouvrière dans le milieu empesté de nos faubourgs »), du destin de Gervaise écrasée de toute façon, préfigure le roman

heures. Si elle est boiteuse, elle est jolie. Aussi Coupeau, un ouvrier zingueur, se sent-il attiré par elle. Il l'invite à boire un verre au cabaret du père Colombe, ''L’assommoir''. La vie paraît commencer pour tous deux ce jour-là. Se confiant à lui, elle dit rêver d’une vie simple où elle aurait toujours un toit sur la tête, de quoi manger, ne serait plus battue ; elle indique que l’alcoolisme est un problème récurrent dans sa famille. Coupeau lui avoue que, dans la sienne, il connait le même

ses cuisses de neige, le faisant tourner comme des femmes, chaque mois, font tourner le lait. Et c'était à la fin de l'article que se trouvait la comparaison de la mouche, une mouche couleur de soleil, envolée de l'ordure, une mouche qui prenait la mort sur les charognes tolérées le long des chemins, et qui, bourdonnante, dansante, jetant un éclat de pierreries, empoisonnait les hommes rien qu'à se poser sur eux, dans les palais où elle entrait par les fenêtres. Muffat leva la tête, les yeux fixes

d'une gueule plus ou moins gloutonne, selon la profondeur de l'accrochage où ils descendaient, mais sans un arrêt, toujours affamé, de boyaux géants capables de digérer un peuple. Cela s'emplissait, s'emplissait encore, et les ténèbres restaient mortes, la cage montait du vide dans le même silence vorace. ZOLA, Germinal (1885) « Les Halles Baltard à Paris » - Florent voit s’éveiller les Halles, lieu de toutes les débauches et de tous les excès… Le cadran lumineux de Saint-Eustache pâlissait, agonisait