Commentaire Composé De Illusions Perdues

regard de la rigueur des sciences, la philosophie fait figure de savoir archaïque au discours confus. On la classe dans la catégorie des systèmes a priori ou on lui reproche d'être un tintamarre cérébral entaché de subjectivité. On dit aussi qu'elle a perdu son sceptre et un peu de sa dignité le jour où les savants ont secoué sa tutelle. Comme le remarquait Paul Valéry dans Variété V, « toute connaissance non mesurée s'est vue frappée d'un jugement de dépréciation ». Cette destitution de la philosophie

il composa, avec Beaurain : _________________________________________________________________________________ ‘’L'Énéide travestie’’ (1648-1649) Traduction en vers burlesques C’était la traduction du sixième livre de l'’’Énéide’’ de Virgile. Commentaire Le texte demeura inédit jusqu'en 1901. _________________________________________________________________________________ Charles Perrault prépara des examens de droit, obtint sa licence à Orléans et s’inscrivit au barreau de Paris en 1651. Puis

16 ÉVALUATION Tester ses connaissances sur le roman. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 18 VERS LE BAC Question sur un corpus : Duras, Échenoz, Chevillard . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 20 Commentaire • Dissertation • Écriture d’invention . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 22-27 Le texte théâtral et sa représentation, du XVIIe siècle à nos jours 8 9 10 11 12 13 Le texte et la scène . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

« Profil Textes philosophiques » Collection dirigée par Laurence Hansen-Løve Pascal Pensées (sur la religion) Introduction et commentaire par Bernard Sève, agrégé de philosophie (1ère édition : 1992) PhiloSophie Texte soumis à copyright © octobre 2008 Table des matières Avertissement ........................................................................... 3 Introduction : Pascal ou l’apologétique contre la philosophie . 5 L’apologétique d’un converti ........................

 lui ou elle?  ­ elle vivra mais que grace a la Sempervive, le poeme + “tant que vivront les plumes et le livre” → grace a  son art: Ronsard sera immortel et sa bien aimee aussi  ­ parallele au mythe d’orphee: faire vivre la memoire d’une personne perdue a travers l’art  ­ parle de lui a la 3ieme personne, sorte d’orgueil  → trait caracteristique de poesie lyrique de la renaissance: devenir immortel grace au poeme    ­​  reference a petrarque qui eleve la femme:  ­ comparee a Laure: l’aimee de Petrarque devenue le symbole de l’amour 

elle le méprisait, le ridiculisait même, le considérant comme un raté. Aussi commencèrent vite les cris et les scènes violentes. Elle lui fit une vie impossible. En fait, en dehors de leur couche, ils n’avaient rien de commun. Mais, s’il était sans illusions sur ce «tigre adoré» (‘’Le Léthé’’), il se soumettait à elle en connaissant les charmes et les amertumes de la passion, en ressentant amour et haine pour celle qui était à la fois ange et démon, en subissant la honte de cette liaison avilissante

d'émotions violentes, sont surpris et rapportés par un témoin indiscret, ou bien la correspondance où ils se confient est interceptée et diffusée... Boileau s'est copieusement moqué de cette panoplie de procédés dans son Dialogue des héros de romans, composé de 1666 à 1672 et qui ne fut publié qu'en 1713, après la mort de Madeleine de Scudéry, "pour ne pas chagriner une fille qui, après tout, avait beaucoup de mérite". Pourtant, Mme de Lafayette les retient presque tous dans La Princesse de Clèves : l'histoire

« désolation », « tout seul », « ma devise de délaissé et de solitaire » -situation d’énonciation : je, moi, je > insistance sur la solitude -rythme binaire : « dans cet abandon, cette désolation » désolation : État d'une personne qui se découvre seule, perdue, à qui il manque quelqu'un ou quelque chose >progression d’  « abandon » à « désolation », la seconde étant le résultat du premier. -construction en parallélisme antithétique (par la conjonction « et ») • Jamais / jamais • Jour et nuit / toujours

qu’ils sont dans le tourbillon de leurs danses et de leur agitation. Il semble à ce propos que la jouissance soit ici davantage de l’ordre du toucher : énumération des tissus dans les descriptions, évocation de la sueur (l. 135, 197 : la Sphinx, commentaires de Pellerin : « Poissarde », « la grosse », « rien que des rondeurs », « s’épatent », « tout est gras, fondu, copieux, tranquille et soleillant » (l. 94 à 97). Cette jouissance sensible s’oppose à celle, visuelle, du spectacle, qui serait moins

nourriture de l’esprit. La lecture des textes de l’Antiquité est un « banquet » où l’auteur peut se « repaître » alors qu’il s’était jusque-là contenté de « miettes ». Au cours du Moyen Âge, une bonne part des connaissances de l’Antiquité ont été perdues, et sont progressivement redécouvertes au XVIe siècle après la chute de Constantinople. L’Antiquité gréco-romaine exerce encore une fascination toute-puissante sur l’esprit des hommes du XVIe siècle, dans la mesure où les langues du savoir et de