Commentaire Composé Fanatisme Voltaire

et Calvin, va les mettre en difficulté : obligés de choisir et répugnant à le faire, ils vont se trouver inquiétés, poursuivis et parfois condamnés à mort par les deux partis .Commencé dans l’enthousiasme, l’humanisme est alors obligé de composer avec les fanatismes. II.Elan passionné vers la connaissance :les modèles : -La redécouverte de l’Antiquité : Dès le XV°s en Italie, intérêt nouveau pour la période antique et l’Empire romain, quelques érudits recherchent et publient des œuvres latines

annonce du plan en deux ou trois parties ; petite introduction qui est le sous thème du I ; après il y a une transition qui est le bilan du I et l’annonce du II et enfin une conclusion qui fait le bilan du devoir et pose une ouverture. Le commentaire composé Lecture globale du texte (tenir compte du para texte : registre, versification, mouvement littéraire, figures de style, énonciation, renseignement sur l’auteur) puis faire une analyse linéaire. Oral du bac Le 18e siècle : Le siècle

VOLTAIRE (1756) ESSAI SUR LES MŒURS ET L’ESPRIT DES NATIONS Un document produit en version numérique par Jean-Marie Tremblay, professeur de sociologie au Cégep de Chicoutimi Courriel: jmt_sociologue@videotron.ca Site web: http://pages.infinit.net/sociojmt Dans le cadre de la collection: "Les classiques des sciences sociales" Site web: http://www.uqac.uquebec.ca/zone30/Classiques_des_sciences_sociales/index.html Une collection développée en collaboration avec la Bibliothèque Paul-Émile-Boulet

l'Europe tout entière. Toute éducation aristocratique complète doit comporter un voyage à Paris, les échos de la vie littéraire des gazettes sont attendus, les classiques français circulent, les souverains appellent les écrivains comme conseillers (Voltaire, Diderot), la langue aussi se diffuse : en 1714, le traité de Radstadt, avec l'Empereur d'Autriche n'est rédigé qu'en français, signe d'une langue des élites. C'est Maupertuis, un savant et philosophe français qui préside l'académie de Berlin. Les

.......1 I – QUELQUES ECRIVAINS, PHILOSOPHES, SAVANTS..................................2 ♦Montesquieu.............................................................................................................................................2 ♦Voltaire.....................................................................................................................................................3 ♦Victor Hugo...................................................................................

des religions pour l'individu : l'étouffement, l'aliénation, la soumission, la résignation, la léthargie intellectuelle…. Au niveau collectif, il n'y a qu'à regarder autour soi et dans les livres d'histoire : guerres de religions, inquisition, fanatisme, intolérance, misogynie, frein au progrès, confiscation du pouvoir politique… Le monothéisme, par sa conception même d'un Dieu unique, porte en lui le germe de l'intolérance. "Le bon (c'est-à-dire le vrai) Dieu, c'est le mien". Tout est dit. Comme

il va clairement poser les bases d'un nouveau type romanesque, s'inscrivant directement dans la lignée philosophique. De quel courant d'idées parle-t-on ? Diderot pose comme valeurs essentielles de l'homme à la fois le rejet de l'ignorance, du fanatisme religieux et des superstitions, mais également la tolérance, la raison, la science et le progrès. Par cette dernière notion, il faut comprendre : exercer le lecteur à acquérir un raisonnement autonome. Ce point nodal influence profondément l’œuvre

Fontenelle. (p.56) 15.Le roman au XVIIIème siècle : théories et réalisations. Montesquieu. Marivaux. Prévost. (p.58) 16.Le théâtre. Le sage. Marivaux. (p.61) 17.La crise de la poésie. Les idées esthétiques. La nouvelle sensibilité. (p.63) 18.Voltaire, théoricien, « philosophe » et écrivain. (p.64) 19.Un homme-clé du XVIIIéme siècle :Diderot. (p.68) 20.Rousseau et le préromantisme. (p.71) 21.Vers la Révolution. Le théâtre : Beaumarchais, Mercier. Le roman : Laclos, Sade. La poésie : Chénier

portant sur la réécriture des fables au XXème siècle par Anouilh et Queneau, commentaire de la fable « Le Chêne et le Roseau » de la Fontaine. SÉQUENCE N°3 «L’Ingénu de Voltaire ou comment faire la satire du fanatisme religieux et des abus de pouvoir. » Objet(s) d'étude : Argumenter : persuader, convaincre, délibérer Lectures analytiques : Œuvre intégrale : L’Ingénu de Voltaire. Textes expliqués en classe : 8 -Incipit, du début jusqu’à « et allait

publiquement et à faire rire. 164 n La fable combine un contenu (une histoire d’animaux) et une intention : la fable à l’origine, vise à se moquer. En tant que texte littéraire, c’est une variante de l’apologue. La fable est un petit texte en vers composé d’un récit et d’une morale. La morale peut être exprimée au début (prologue) ou à la fin (épilogue). n Les grands recueils de fables de l’Antiquité ont inspiré directement les auteurs français. Auteurs Titres Époque Origine Ésope