Commentaire Composé La Fortune Et Le Jeune Enfant

à jamais, sa passion l'égara jusqu'au point de reprendre la main de Julien, que, dans sa distraction, il avait laissée appuyée sur le dossier d'une chaise. Cette action réveilla ce jeune ambitieux : il eût voulu qu'elle eût pour témoins tous ces nobles si fiers qui, à table, lorsqu'il était au bas bout avec les enfants, le regardaient avec un sourire si protecteur. Cette femme ne peut plus me mépriser : dans ce cas, se dit-il, je dois être sensible à sa beauté ; je me dois à moi-même d'être son amant

milieux mondains[->6] et libertins parisiens. Sa vie entière oscille entre succès mondains et littéraires, exils en Angleterre[->7] et en Prusse[->8] et séjours à la Bastille[->9]. En effet, derrière l'habile dramaturge[->10] et l'homme d'affaires fortuné[->11], travaillait le philosophe épris[->12] de tolérance qui lutta avec détermination et humour[->13] contre l'intolérance et le fanatisme[->14] religieux. Les écrits de Voltaire[->15], comme le fameux 'Candide[->16]', ont influencé les Lumières[->17]

célébrité et fortune. Cependant, vers la fin des années 1880, sa santé se détériore. Après 1890, Maupassant est atteint de syphilis et meurt le 6 juillet 1893 dans la démence.  II - Présentation de l’ouvrage : A - Résumé chapitre par chapitre. Donnez un titre à chaque chapitre. Chapitre I Une partie de pêche en barque, au large du Havre, réunit Monsieur Roland, sa femme et leurs deux fils, Pierre et Jean, qui rivalisent à la rame devant la jeune, belle et

Commentaire : Comédie en cinq actes et en prose de Molière, pseudonyme de Jean-Baptiste Poquelin (1622-1673), L’Avare fut créé à Paris au théâtre du Palais-Royal le 9 septembre 1668, et publié à Paris chez Jean Ribou en 1669. Les sources de l’Avare étaient trop «classiques» ou apparentes pour que la pièce pût espérer un succès de scandale. Molière s’inspire largement de l’Aulularia [la Marmite] de Plaute, dont il avait déjà imité l’Amphitruo quelques mois auparavant. Au dramaturge latin, il demande

toujours glacé de sa présence, toujours courbé sous son poids ! Autrefois, car il me semble qu'il y a plutôt des années que des semaines, j'étais un homme comme un autre homme. Chaque jour, chaque heure, chaque minute avait son idée. Mon esprit, jeune et riche, était plein de fantaisies. Il s'amusait à me les dérouler les unes après les autres, sans ordre et sans fin, brodant d'inépuisables arabesques cette rude et mince étoffe de la vie. C'étaient des jeunes filles, de splendides chapes2 d'évêque

(14 points) : Sujet I: Commentaire Vous ferez le commentaire littéraire du texte de Camus (texte D) en vous appuyant sur le parcours de lecture suivant : a) Montrez comment le texte suggère la monotonie de la vie du prisonnier. b) Comment le texte fait-il sentir que le prisonnier tente de s'adapter à sa situation ? Sujet II: Dissertation Préférez-vous les romans dont le héros est un personnage positif ? Vous répondrez à cette question dans un développement composé, en prenant appui sur les

universitaire : 2007/2008 Plan du travail : I. Biographie de l’auteur ; II. Bibliographie de l’auteur; III. Présentation de l’œuvre ; IV. Etudes de titre ; V. Personnages (principaux) du roman ; VI. Résumé ; VII. Commentaire. VIII. Extrait dans l’œuvre ; IX. Intérêt académique ; I/ La bibliographie de l’auteur : Jacques-Henri Bernardin de Saint Pierre naît au Havre le 10 janvier 1737. Il obtient en 1758 un brevet d’ingénieur militaire et participe à

points) 1. Commentaire Vous ferez le commentaire littéraire du texte de Camus (texte D) en vous appuyant sur le parcours de lecture suivant : a) Montrez comment le texte suggère la monotonie de la vie du prisonnier b) Comment le texte fait-il sentir que le prisonnier tente de s'adapter à sa situation ? 2. Dissertation Préférez-vous les romans dont le héros est un personnage positif ? Vous répondrez à cette question dans un développement composé, en prenant

à jamais, sa passion l'égara jusqu'au point de reprendre la main de Julien, que, dans sa distraction, il avait laissée appuyée sur le dossier d'une chaise. Cette action réveilla ce jeune ambitieux : il eût voulu qu'elle eût pour témoins tous ces nobles si fiers qui, à table, lorsqu'il était au bas bout avec les enfants, le regardaient avec un sourire si protecteur. Cette femme ne peut plus me mépriser : dans ce cas, se dit-il, je dois être sensible à sa beauté ; je me dois à moi-même d'être son amant

projets de grands travaux, parfois très audacieux (docks, port, canaux d’irrigation, etc.). Il vint même à Paris pour y présenter un plan de fortifications par forts isolés et non par ligne continue de remparts. Il y épousa, en 1839, Émilie Aubert, une jeune femme tendre, sensible et nerveuse, qui, fille de petits artisans beaucerons, était née à Dourdan (Seine et Oise) en 1820. Ainsi, le 2 avril 1840, naquit à Paris, 10 bis rue Saint-Joseph, dans un quartier populaire, Émile Zola. En 1843, la famille