Commentaire De Voyage Apollinaire

le sens profond de la société, avec ses rouages idéologiques, sociaux et économiques. 3Ibid., p. 9. 4Ibid. 5La seconde édition de La Peau de chagrin paraît sous ce titre et douze contes y sont ajoutés. 60abrielle Malandain, (<Préface et commentaires», Honoré de Balzac, La Peau de chagrin, Paris, Pocket, coll. Lire et voir les classiques, 1989, p. 358 reprenant l' «Introduction» aux Romans et contes philosophiques de Philarète Chasles publiée en 1833. 4 Balzac connaît bien, grâce à son expérience

à partir de l’année 1945. On a donc tous une idée différente de l’Europe. Au niveau des frontières, elles ont souvent changées, si on prend la ville de Landberg en Allemagne, à la fin des années 80, on a demandé à un citoyen s’il avait beaucoup voyagé il a répondu oui alors qu’il n’avait bougé : c’est parce que cette ville avait été russe, allemande, polonaise, ukrainienne…. Aussi la Pologne avant et après 45 fait la même superficie mais elle a été déplacée. Kaliningrad aussi, est la ville natale

littérature, histoire de l’humanité, géographie: Les questions sur ces thèmes relèvent de connaissances acquises en cours mais aussi et surtout dans le cadre des activités extrascolaires du candidat (lectures de romans, visites de musées et monuments, voyages…). Elles concernent notamment les œuvres d’art les plus connues, les ouvrages des auteurs classiques, les notions d’histoire ou de géographie traitées en classes de première et de terminale, éventuellement la musique et le cinéma. • Économie, société

coupable », aurait dit un jour Georgina Dufoix. Cette citation court aujourd’hui sur Internet ; elle apparaît en copiécollé sur les blogs, les forums de discussion et les sites en « encyclopédie libre et participative », souvent accompagnée de commentaires rageurs sur la lâcheté des politiques. Pour autant, les milliers de références qui propagent la rumeur n’en font pas un fait, car cette citation lapidaire est inexacte ; ou alors les guillemets n’ont plus aucun sens. De plus, citée hors contexte

BOUCHERET re Sous la direction de Guillaume BOUREL Professeur en classes préparatoires au lycée Auguste Blanqui à Saint-Ouen (93) Marielle CHEVALLIER Centre national de documentation pédagogique (75) Professeur au lycée Guillaume Apollinaire à Thiais (94) Anne DESCAMPS Professeur en classes préparatoires au lycée Jean Jaurès à Reims (51) Ivan DUFRESNOY Professeur au lycée Jean-Jacques Rousseau à Sarcelles (95) Jérémie FERRER-BARTOMEU Professeur au collège Clervoy à Franconville

siècle Sous la direction de Guillaume BOUREL Professeur en classes préparatoires au lycée Auguste Blanqui à Saint-Ouen (93) Marielle CHEVALLIER Centre national de documentation pédagogique (75) Marianne BOUCHERET Professeur au lycée Guillaume Apollinaire à Thiais (94) Anne DESCAMPS Professeur en classes préparatoires au lycée Jean Jaurès à Reims (51) Ivan DUFRESNOY Professeur au lycée Jean-Jacques Rousseau à Sarcelles (95) Jérémie FERRER-BARTOMEU Professeur au collège Clervoy à Franconville et

l’espalier, devant le curé de plâtre, considérant avec ébahissement toutes ces choses d’autrefois qu’elle connaissait si bien. Comme le bal déjà lui semblait loin ! Qui donc écartait, à tant de distance, le matin d’avant-hier et le soir d’aujourd’hui ? Son voyage à la Vaubyessard avait fait un trou dans sa vie, à la manière de ces grandes crevasses qu’un orage, en une seule nuit, creuse quelquefois dans les montagnes. Elle se résigna pourtant ; elle serra pieusement dans la commode sa belle toilette et jusqu’à

nous n’avons pas à en faire l’expérience ; nous restons inexpérimentés.  Jusqu’alors, la vie était une exploration, on devait aventureusement s’y former. Puisque l’effigie du monde est maintenant livrée à domicile, ceci est devenu superflu. Les voyages et le tourisme ne constituent pas une objection : on y recherche la rapidité, le confort, contraires à toute véritable expérience. 7. Le monde livré est d’abord « familiarisé ».  (NB : « entfremden [aliéner] ne devrait pas signifier « rendre étranger »

l’espalier, devant le curé de plâtre, considérant avec ébahissement toutes ces choses d’autrefois qu’elle connaissait si bien. Comme le bal déjà lui semblait loin ! Qui donc écartait, à tant de distance, le matin d’avant-hier et le soir d’aujourd’hui ? Son voyage à la Vaubyessard avait fait un trou dans sa vie, à la manière de ces grandes crevasses qu’un orage, en une seule nuit, creuse quelquefois dans les montagnes. Elle se résigna pourtant ; elle serra pieusement dans la commode sa belle toilette et jusqu’à

coûtent pas très cher à l’inscription. On peut voir alors 20% d’œuvres de femmes sur les cimaises des Salons (Salon des Indépendants, Salon d’Automne)1. Entre 1920 et 1940, quelques femmes fuient le conformisme de l’école des Beaux-Arts et partent voyager, grâce à la bourse coloniale des artistes français. Les femmes artistes des années vingt à Montparnasse sont à la marge de la société, et c’est ce qui leur permet la liberté des avant-gardes. Tamara de Lempicka2 est l’archétype de la femme émancipée