Commentaire Denouement Huis Clos

couches de peinture. La Joconde était en fait l'un des canulars ésotériques les plus sensationnels de toute l'histoire de l'art. L'accumulation des ambiguïtés, des sous-entendus et des clins d'œil dans ce tableau avait donné lieu à d'innombrables commentaires. Mais la plupart des visiteurs continuaient à trouver que tout le mystère résidait dans le sourire de Mona Lisa. Il n'y a là aucun mystère, songeait Langdon, qui commençait à distinguer le bord du tableau. Absolument aucun. La dernière fois qu'il

le roi portugais retourne à contre-cœur à Lisbonne, et laisse à Rio son fils aîné en qualité de prince-régent du Brésil, l’Amérique portugaise se trouve déjà à la veille de la complète émancipation, qui s’accomplit, en effet, l’année suivante. Ce dénouement serait aisément prévisible, même sans l’obstination de ceux qui, à Lisbonne, conspiraient contre le statut qui avait assuré au Brésil la condition de royaume uni et juridiquement équivalent à sa mère-patrie, en même temps qu’ils exigeaient publiquement

travaillait pour la C.I.A. Dès le début du mois, des organes de presse avaient affirmé que l'une de ses sources était Karl Rove, l'un des plus proches conseillers du président Bush. Judith Miller sera libérée le 29 septembre et témoignera le lendemain à huis clos devant la chambre d'accusation avec l'accord de son informateur. Le 19 juillet, le remplacement à la Cour suprême de Sandra Day O'Connor, démisionnaire, par John G. Roberts suscite un vif débat entre républicains et démocrates. Le 29 septembre,

signifie « genre de vie, conduite » et « relation (adultère) ». Dès 1537, il possède aussi le sens d’ « échange de propos familiers », qui s’imposera. Le mot désigne spécialement un entretien entre personnes responsables, en petit comité et souvent à huis clos. Prendre le temps de réfléchir, telle est la manière courtoise et vraie de commencer et de poursuivre une conversation (Luther Standing Bear). Convaincre Emprunté au latin convincere, juridiquement « prouver la culpabilité de » et « dénoncer

publics et les acteurs locaux dans le processus décisionnel. C’est sur cette « toile » tendue par ces oppositions que se jouent les « tragédies » de la gestion de la zone côtière. Le scénario est bien rodé, les acteurs affûtés, mais malheureusement le dénouement ne varie guère : au final les décisions relèvent toujours des pouvoirs publics et s’appliquent rarement dans une logique de gestion territoriale. La gouvernance est souvent brandie comme l’arme idéale pour instaurer une démocratie participative