Commentaire Du Citoyen De Thomas Hobbes

lacunes)          OUVRAGES CLASSIQUES   Aristote, Les Politiques, Ed. Flammarion, coll. « GF », n° 490 Benjamin Constant, De la liberté des anciens comparée à celle des modernes, in Écrits politiques, Folio Essais, 1997, pp. 589- 622, Thomas Hobbes, Le Léviathan, coll. «  Folio », Gallimard. Edmund Husserl, La Crise de l'humanité européenne et la philosophie, Hatier, coll. « Profil » n° 754 John Locke, Deuxième traité du gouvernement civil,  coll. « GF », n° 408 Emmanuel Kant, Vers la

homothétiques sur un même territoire, l’unité politique et l’unité culturelle ou linguistique, grâce à l’action d’un pouvoir central détenteur d’une souveraineté exclusive, support visible de l’intérêt de tous et représentant unique de l’ensemble des citoyens. Cette volonté d’unité conduit à poser l’Etat et la nation, la citoyenneté et la nationalité, comme des synonymes. Bien que le terme de « jacobinisme » fasse évidemment allusion à l’action menée à l’époque de la Révolution française par le Club des

prétentions de l’IRAK sur le Koweït. C’est le début de la fin de la bi polarité et le début de la justification de l’ingérence. Il y avait en parallèle de la souveraineté du peuple, l’affirmation des Droits de l’Homme. En posant l’égalité des citoyens , cela va fonder le suffrage universel, et après , la souveraineté du peuple. En 1948 c’est la même continuité. Lorsqu’en 1991, on glisse vers une mise en cause de la souveraineté, on le fait au nom d’une nouvelle approche des droits de l’homme :

Chapitre sixième Le citoyen ............................................................................................... 199 I. LES « PRINCIPES DU DROIT POLITIQUE » DE ROUSSEAU 200 La théorie du contrat social ............................................................ 201 La théorie de la loi ......................................................................... 204 La démocratie selon Rousseau ....................................................... 209 II. LA CITÉ ET LE CITOYEN ..............

XIIe siècle avant le Christ. Plusieurs peuples, par ailleurs laissèrent dans ce pays leurs traces archéologiques et épigraphiques, les Araméens apparus au XIe siècle av. J.-C. et aussi les Ammonites, Edomites, Moabites et Amalécites. L’Américain Thomas Thompson finit par proposer de considérer l’ensemble des récits des patriarches comme un recueil de mythes populaires, savamment développés et enjolivés ; avec une profusion de détails, de noms de lieux et de peuples, les récits bibliques étaient

Gracien, dans son œuvre, va confronter et rassembler les règles canoniques qu'il a pu trouver. On parle du corpus de Justinien, qui est le pendant de cette œuvre. Cette technique est professionnelle. Il rassemble les textes et leur donne un bref commentaire. L'œuvre de Gracien n'est pas une œuvre officielle. Il n'a pas été mandaté pour toutes les autorités de l'Église. Mais il aura une telle utilité que ce décret sera le 1 code de droit canonique. Gracien a tracé la voie, d'autant plus que les papes

garantit la conscience humaine contre le délire du solipsisme. Du coup, Descartes a du proposer une preuve de l’existence de Dieu pour fonder la validité du cogito, ce que les philosophes matérialistes de son temps lui ont reproché à l’image d’un Hobbes par exemple. Cependant, c’est indiscutablement Kant qui a apporté la critique la plus intéressante du cogito cartésien en insistant sur le saut logique qui consiste à passer de la pensée à l’existence. Pour Kant, Descartes a bien prouvé l’existence

compétente, législateur : personne habilitée à faire des lois. Coutume : usage qui par sa répétition acquiert force de loi. Usage vient des individus. Jurisprudence : constituée par les jugements des tribunaux ( arrêts) Doctrine : ensemble des commentaires, réflexion, analyse des praticiens ou des théoriciens de droit sur une loi, un arrêt ou des coutumes. Praticiens : juges, avocats. Théoriciens : enseignants. Le droit réagit à des idées, à des politiques et aux individus 1ère PARTIE : le

récit nous montre au départ Oreste qui est en fuite après ces meurtres car il est condamnés a mort et il est poursuivi par la justice privée de la famille de sa mère et de l'amant de sa mère. La vengeance privé apparaît comme un cercle vicieux. Thomas Hobbes, dans son œuvre dira que « l'homme est un loup pour l'homme ». Il est poursuivi donc par des Erynhies qui sont trois divinité des enfers (ce qui est à l’intérieur de la terre) et elles représentent le désir de vengeance. Dans sa fuite Oreste va

caractérise par un noyau de pouvoir, cœur de sa propre souveraineté. (absence de ce noyau : plus d'État) Quels sont ces pouvoirs ? (indisponible) Tout dépend du contexte (époque, point de vue) (Jean Godin, Thomas Hobbes) Hobbes : Le citoyen (de cive) Léviathan Ils sont en désaccords, Hobbes au contraire de Godin affirme que ce n'est pas un pouvoir disponible. Il faut s'intéresser à ce que dit le conseil constitutionnel français, reconnait t-il une fonction de souveraineté ? Pouvoirs Indisponibles