Commentaire Fin De Partie Denouement

Les Obsèques de la Lionne de Jean de La Fontaine A partir de la problématique suivante : « Comment le fabuliste déguise-t-il les cibles de sa critique ? » I. Cette fable sur le thème de l’hypocrisie à la Cour l’expose sous l’aspect d’une comédie. II. Mais la gravité du propos perce dans cette comédie. III. En fin de compte, on s’aperçoit que La Fontaine nous propose ici une vision pessimiste et amère de la vie en société. I UNE COMEDIE EXPRESSIVE ET VIVANTE 1. Une comédie vivante

Stendhal nous permet de poser concrètement le problème, au-delà des querelles théoriques sur le sujet. En 1832, Stendhal adresse un article à l'avocat Salvagnoli en vue de présenter Le Rouge et le Noir aux lecteurs italiens. Ce projet d'article (à la fin duquel Stendhal propose à son ami de le réécrire, celui-ci n'étant qu'une « ossatura ») se compose d'un bref aperçu des mœurs françaises de l'époque, de la situation du roman en France (de la prise en compte de sa production et de sa consommation)

INTRODUCTION Molière est un auteur reconnu et apprécié du roi Louis XIV quand, à l'occasion d'une fête à Versailles, il fait jouer, en 1664, sa comédie, Le Tartuffe. Mais le royaume est alors divisé autour des questions religieuses et le parti des dévots est puissant. Ils s'indignent face à la pièce, et leur cabale oblige le Roi à la faire interdire. Sa représentation ne sera autorisée qu'en 1669 après qu'elle aura été plusieurs fois remaniée. Présentation du texte : Les 2 premiers actes

rapportées p. 11 Dominante : langue Fiche élève 2 p. 12 Séance 8 › Expression écrite : « Félicité à Paris » p. 13 Dominante : expression écrite Séance 9 › La triste fin du conte p. 15 Dominante : lecture analytique Séance 10 › Le conte en images p. 17 Dominante : histoire des arts Séance 11 › Évaluation de fin de séquence p. 18 Séquence réalisée par Marguerite Laurent, professeure de lettres modernes à Épinay-sur-Seine. Édition de référence : Un cœur simple, Gustave Flaubert

roman de la famille Almaviva” I.A.2 Absence de description du personnage dramatique Caractère énigmatique du personnage Le perso n’existe que dans le dialogue, CLOV : A quoi est-ce que je sers ? HAMM : A me donner la réplique. (Beckett Fin de partie) Parfois, explication partielle avec un “récitant” (Brecht) ou un coryphée (théâtre antique) mais ce perso ne peut être objectif car il appartient à la pièce. Rareté des portraits “Le personnage, sur scène, est d’abord appréhendé à travers

historiques sur le genre de la nouvelle. Support : document dactylographié « Petite histoire de la nouvelle » Activités : - lecture du document et explication des éléments incompris. - énumération des caractéristiques générales de la nouvelle à partir de la définition du Petit Robert. À la maison pour le samedi septembre : lire « Le Reflet » et chercher le sens des mots inconnus. Module 1 : Travail d’écriture / Évaluation Objectif : évaluer le niveau de la classe (écriture et compréhension

utilisation dramatique de l’espace qui devient un élément indispensable à l’action et au sens de la pièce. Rester ou partir, retenir ou rejeter, deviennent les gestes essentiels qui vont décider d’une vie entière. Le temps est alors comme suspendu. Les spectateurs, inquiets comme Silvia, étonnés de cet étrange dénouement, regardent Dorante s’éloigner comme si la vie se retirait de la scène, et ne reprennent leur respiration que lorsqu’il revient. Un grand moment de théâtre où chaque dimension : le

FRANÇAIS Commentaire littéraire Introduction Cet extrait est la scène d’exposition d’Antigone écrite par le dramaturge Jean Anouilh en 1942. Anouilh reprend la structure de la pièce de Sophocle, qui s’est lui-même inspiré du mythe classique d’Antigone. Fille d'Œdipe et de Jocaste, la jeune Antigone est en révolte contre la loi humaine qui interdit d'enterrer le corps de son frère Polynice. Présentée sous l'Occupation, en 1944, l'Antigone d'Anouilh met en scène l'absolu d'un personnage en révolte

Commentaire composé : L’illusion Comique, Acte V, scène III La scène 3 du dernière acte de l’Illusion Comique de Pierre Corneille est située après une longue tragicomédie, mettant en scène Clindor et sa femme Isabelle, qui a fuit son rang et son père pour épouser Clindor, le valet de Matamore, alors que les autres prétendants de meilleure condition ne manquaient pas, et juste avant le dénouement final. La scène étant une joute argumentative entre Clindor qui fait l’éloge de l’adultère et Isabelle

certaines nouvelles de ses deux recueils : L’Amphitheatre sanglant4 et Les Spectacles d’horreur5, où l’évêque de Belley applique sa théorie psychologique et morale en dépeignant les mœurs de l’époque. D’autre part, en raison de sa tendance, dans le commentaire auctoriel, à 1 Voir par exemple M. Patin, Études sur les tragiques grecs, Paris, Hachette, t. I-IV, 2e éd., 1858 ; J. Frère, Philosophie des émotions, Paris, Eyrolles, 2009. 2 Voir W. K. Pietrzak, Le Tragique dans les nouvelles exmeplaires en