Commentaire Les Gangarides

Plan de commentaire : La Princesse de Babylone Voltaire 1) Une utopie --Un pays imaginaire : un e région à l’écart de tout ; un cadre spatio-temporel qui reste indéterminé(« la rive orientale du Gange »), un nom qui fait cependant rêver et qui renvoie à l’Orient, source de rêverie pour les Européens du XVIIIe (noter aussi le nom d’Amazan…) --Luxuriance et profusion . une nature prodigue : « les prés [sont] éternellement fleuris » ; les moutons « innombrables » ; leur laine est

deuxième texte est un écrit de Voltaire, La Princesse de Babylone. Cet extrait nous raconte le dialogue entre la princesse de Babylone et un oiseau, ils parlent des mœurs Gangarides. Nous étudierons les principales caractéristiques de ces deux sociétés et dans un deuxièmes temps nous expliquerons comment l’éloge des Gangarides et d’Utopia est une critique en creux des autres sociétés. Dans un premier temps étudions l’exercice du pouvoir dans ces deux sociétés. On peut penser que dans Utopia il y

Commentaire de texte n°2 Le XVIIIe siècle, est le siècle où apparaît le mouvement des lumières. Ce terme désigne un mouvement culturel et philosophique qui a majoritairement dominé en Europe, et plus particulièrement en France. Les éléments déclencheurs de ce mouvement, sont la mort de Louis XIV et le coup d’état d’état de Bonaparte, qui mettrons fin à la période révolutionnaire et engendrerons des transformations sociales, économiques et politiques. Mais le mouvement des lumières remettront

fonctions que l'apologue qui est de plaire, avec la mise en place d'un monde idyllique et imaginaire, mais aussi celui d'instruire. On peut donner l'exemple de Voltaire dans la Princesse de Babylone. En effet, l'auteur, en décrivant le pays des Gangarides comme « peuple vertueux et invincible » avec ses « licornes » qui ont « leur laine plus fine et brillante que la plus belle soie », ou ces bergers « nés tous égaux, sont les maîtres des troupeaux innombrables qui couvrent leurs prés éternellement

Zadig, de Voltaire Chapitre XII Le Souper (1er partie) Commentaire : Dans ce commentaire, nous analyserons un extrait de Zadig écrit par Voltaire en 1748. Rappelons que celui-ci appartient au courant des Lumières qui réunit les plus grands philosophes de son époque faisant ainsi des réflexions sur l’homme et la société. C’est donc à travers un récit sous forme de conte philosophique que Voltaire passera son message et sa critique de la société. Zadig, personnage principal, est un Babylonien

COMMENTAIRE CHAPITRE 12 • Nous sommes ici dans le chapitre douze, mettant en scène Zadig, Sétoc ainsi que de nombreux représentants de différents religions, installés autour d’une table afin de partager, et même de confronter leur opinion sur leur propre religion. • Essayons d’étudier dans cette scène vivante, le caractère du personnage principal, Zadig et de mettre en évidence le point de vue de Voltaire dans cette confrontation religieuse. • Grande diversité des personnages :

servie de guide incomparable, j’ai beaucoup apprécié son dynamisme et ses commentaires positifs. Quant à Mr Kerslake, mon premier conseiller, il m’a soigneusement orientée tout au long de mon trajet. Cette thèse doit beaucoup à ses lectures attentives, ses corrections minutieuses et ses remarques rigoureuses. Je remercie également Professeur Georges Bérubé, qui a accepté avec générosité de participer à mon comité, ses commentaires et ses suggestions m’ont beaucoup enrichie. Je tiens à exprimer ma reconnaissance

échapperainsi aux griffes de la censure. Derrière les monde utopiques imaginésse cachent en effet souvent une critique virulente du mondecontemporain.• Une fonction morale : l’apologue propose le plus souvent unemorale, qui prend la forme d’un commentaire explicatif dans laparabole ou le conte philosophique, une moralité explicite ou implicitedans les fables. Cette fonction morale se veut moins prescriptive quepréventive : la morale de l’apologue est davantage une mise en garde,une incitation à la

l’Index. Montesquieu meurt à Paris le 10 février 1755 avec les sacrements de l’Eglise, mais sans renier ses écrits. Voltaire, d’abord séduit par L’Esprit des lois, a porté sur l’ouvrage un regard de plus en plus critique. En 1778, il a publié un Commentaire sur l’Esprit des lois. 3) Des Lettres persanes à L’Esprit des lois Les Lettres sont publiées en 1721 à Amsterdam, sous la fausse adresse de Cologne et sans nom d’auteur, mais l’anonymat est vite percé. Le succès est immédiat. En 1754, Montesquieu

l'étranger quand il est ennemi et quand il ne l'est plus. Au livre 10, 3-5, les dernières paroles prononcées par le conquérant sur son lit de mort ne contiennent pas le mot « barbare », mais ce dernier réapparaît pourtant, en 10, 5, 9, dans un commentaire de l'auteur, qui reprend la distinction entre les Macédoniens et les autres : Macedones pariter barbarique concurrunt ; nec poterant uicti a uictoribus in communi dolore discerni ; tant Macédoniens que barbares [ = /étrangers/(/ennemis/)/vaincus/]