Commentaire Oeuvres 1665 Guy Coquille

bonnes lois. Par l’éducation, les enfants vont apprendre à respecter les lois. Il considère que si les citoyens ont reçu une bonne éducation, il est utile d’étudier beaucoup de lois puisque les ordres vertueux vont trouver les lois eux-mêmes. Ces 3 œuvres sont : -La république : le but de l’état. Platon dit que nous fondons l’état pour que l’état tout entier soit aussi heureux que possible. Dans la république, il expose les conditions nécessaires à cet état heureux : l’existence d’une élite dans

2- Des textes sans auteurs Jusqu'au XIIIe siècle, les notions d'œuvre et d'auteur au sens moderne n'existent pas. Les textes sont très souvent anonymes, et toutes les œuvres, mêmes lorsqu'elles sont associées au nom d'un auteur, sont en partie anonymes. Même lorsqu'un nom d'auteur apparaît, ce n'est le plus souvent qu'une coquille vide : on ne connaît quasiment de Marie de France ou de Chrétien de Troyes que leur nom. Encore ce nom est-il en général un simple prénom, fluctuant selon qu'il s'énonce

Hotman les monarchomaques proposent ainsi une véritable théorie de la monarchie tempérée. On retrouve de semblables idées chez Théodore de Bèze. Théodore de Bèze est le successeur de Calvin à Genève et le chef des églises réformées de France. Son œuvre principale est intitulée « Du droit des magistrats sur leurs sujets ». Selon Théodore de Bèze, le monarque est le lieutenant de Dieu, c’est-à-dire à la fois son représentant et son serviteur. A ce titre, le roi doit donner l’exemple. Il est certes

Sophistes. On va apprendre à respecter les lois par le biais de l’éducation. Il considère que si les citoyens ont reçu une bonne éducation, il est inutile de promulguer beaucoup de lois vue que les hommes vertueux vont trouver les lois eux-mêmes. Ses œuvres : La République, Le Politique, Les Lois. Dans la République il dis quel est le bus de l’Etat => nous fondons un Etat non pas pour que n’importe quelle classe soit heureuse mais pour que l’Etat tout entier soit aussi heureux que possible : l’existence

Universités Mme Sophie Lawson, Maître de conférences M. Stéphane Macé, Maître de conférences M. Gilles Magniont, Maître de conférences Mme Cécile Narjoux, Maître de conférences M. Laurent Susisni, Maître de conférences Correcteurs de la version latine : M. Guy Berset de Vaufleury, Professeur agrégé Mme Dominique Brunet, Professeur agrégé M. Olivier Devillers, Professeur des Universités Mme Sylvie Laigneau-Fontaine, Professeur des Universités Mme Sophie Malick-Prunier, Professeur de classes préparatoires M

rouage fondamental de la hiérarchie. Chaque évêque dirige un diocèse ou il est souverain. Il existe aussi un clergé inférieur. 2) Eglise et droit Le droit de l’église servira aussi de modèle. Il se fera dés le 1er siècle. Il apparait comme une œuvre de synthèse entre les règles juridiques contenues dans l’ancien testament et tout les écrits qui ont suivi. Le droit de l’église des 1ers temps était coutumier par actes écrits notamment (décisions émanant de l’autorité du pape, ou décisions prises

hiérarchie ecclésiastique avec les évêques qui sont souverains de leur diocèse puis le clergé. Eglise hiérarchisée mais avec un pouvoir centralisé. 2/ Eglise et droit. Le droit de l’Eglise se forme dès le 1er siècle. Il apparaît comme une œuvre de synthèse entre le droit romain, les règles juridiques contenues dans l’ancien testament et puis tous les écrits des pères de l’Eglise. Le droit de l’Eglise des premiers temps étaient coutumier mais il va très vite s’exprimer par des actes écrits

construire un ordre juridique cohérent. Dans leur réflexion les juristes de l’ancienne France vont d’une part aspirer à l’unité juridique et d’autre part, à rechercher l’ordre juridique. A partir de ces deux considérations principales, vont être crées des œuvres doctrinales majeures qui ont inspiré nos codificateurs au XIXème siècle car c’étaient leurs manuels de droit. I) Unifier le droit L’idée d’un droit commun « jus commune » est recherché par les juristes de l’ancienne France mais ils avancent

droit privé PERSISTANCE DE LA COUTUME EN DROIT CIVIL (UN PARALLELE AVEC LE DROIT COMMERCIAL). Nicolas GRAS, doctorant en droit privé, ED 245 Page 2 sur 148 II - L'appréciation de la coutume : le rôle du juge et du commentateur LE COMMENTAIRE DE COUTUMES : ROLE ET PORTEE. (L’EXEMPLE DE L’AUVERGNE, XVIe – XVIIIe SIECLES). Jacqueline VENDRAND-VOYER, Professeur émérite d'histoire du droit LA COUTUME : UNE REFERENCE "AMBIGUË" EN DROIT CIVIL POUR LE JUGE JUDICIAIRE. Alain LE POMMELEC

créancier                                                § 1. La fraude contre les créanciers                                                                A.- Les conditions de mise en oeuvre de la répression                                                                B.- Les sanctions mises en oeuvre                                                § 2. L'action paulienne                                                                A.- L'action paulienne en droit romain