Commentaire Ovide Un Monde En Mouvement

Ovide L’EPIPHANIE D’APOLLON Vers 493-512 Haec ego cum canerem, subito manifestus Apollo Mouit inauratae pollice fila lyrae. In manibus laurus, sacris inducta capillis Laurus erat; uates ille uidendus adit. Is mihi 'Lasciui' dixit 'praeceptor Amoris, Duc, age, discipulos ad mea templa tuos, Est ubi diuersum fama celebrata per orbem Littera, cognosci quae sibi quemque iubet. Qui sibi notus erit, solus sapienter amabit, Atque opus ad uires exiget omne suas. Cui faciem natura dedit,

Sorry.La nostalgie du passé est fréquente dans la littérature romaine (l’âge d’or, par exemple,  a été largement célébré par les poètes élégiaques, Tibulle, Properce et Ovide lui-même, dans les Métamorphoses). Ici, le texte est encadré par deux adresses directes à Romulus, vers 101 et 130: « Romule » . Il s’agit bien pour le poète d’évoquer un moment essentiel de la fondation de Rome, ainsi que l’indique l’adjectif « primus » qui ouvre le texte.   Les adverbes de temps « Tunc » (vers 103)et vers

l’Europe, inépuisable répertoire d’aventures et de tableaux, montrant les dieux et leurs interventions, sur les lisières, d’une part, du monde humain, de la nature animale, végétale et minérale, aux frontières, d’autre part, de l’élégie, de l’idylle, de l’épopée, de la tragédie. - « Musée imaginaire », Les Métamorphoses sont dans tous les musées du monde, les arts décoratifs y ont puisé, comme la pensée allégorique ; en témoigne cette allusion de Balzac décrivant du mobilier dans l’une de

Commentaire du texte de Virgile Le mythe de l’âge d’or fut initié par Hésiode qui dans Les Travaux et les jours imagine sous le règne de Saturne, père de Jupiter, une période de bonheur et de prospérité où la nature dispensait aux hommes ses richesses avec la plus grande générosité. C’est Jupiter qui mit fin à cette époque idéale en créant l’âge d’argent, auquel succéda l’âge de bronze puis de fer. Cette alchimie à l’envers où l’or se change en fer traduit la décadence de la société, c’est-à-dire

Sommaire SOMMAIRE Du programme au manuel ................................................................................................................................................ p. 7 Les mouvements majeurs de l’histoire littéraire et culturelle ....................................................................... p. 21 Liste des ressources numériques ............................................................................................................................ p. 26

 commentaire Tibulle :  Commentaire Elégie 3, vers 35-56 On peut consulter aussi :   http://membres.lycos.fr/tibullus/index.htm Ou encore : Tibulle Elégies, livre 1 de J.M Mondoloni, dans la collection 40/4 chez Ellipses (Etudes antiques), dont je me suis largement inspirée. Il serait bon aussi de relire Virgile, bucolique 4, pour comparer et opposer ces textes. Introduction : -Situer Tibulle et son époque. -son œuvre (essentiellement les 10 élégies du premier livre, puisqu’il n’est pas certain

l’eau des flaques ; le bric-brac) la Grèce antique (Andromaque, Ovide, Pyrrus) . Des souvenirs réels se mêlent à des motifs littéraires, des héros modernes –des éxilés (la négresse malade ; les matelots oubliés sur une île, tous ceux qui ont perdu ce qui ne se retrouve jamais) apparaissent à côté de personnages mythiques (veuve Andromaque, Ovide, Romulus et Remus). Le voyage à travers le temps crée un sentiment de changement, de mouvement, de profondeur du sentiment de la perte de ce qui est irrécupérable

comme le tiltre au dessus pretendoit. (G., p. 6)2 2 Je cite le texte de Rabelais dans l’édition de Mireille Huchon (1994). 265 www.revue-analyses.org, vol. 3, nº 3, automne 2008 Appel à une exégèse qui prendrait modèle sur le commentaire des textes sacrés, ou parfois profanes, comme il se pratique à l’époque : il faut « à plus hault sens interpreter » le Gargantua. Telle est la lecture commune, scolaire, du prologue. Le développement sur la « sustantificque mouelle » la confirme

nettement : les sonnets 5 et 89, qui font la satire du pétrarquisme pour le premier et celle des poètes imitateurs des héros de l’Arioste pour le second, sont également des sonnets élégiaques. Du Bellay emploie le terme de « commentaires » (sonnet 1) pour définir ses poèmes. Le commentaire est à la fois le récit pour mémoire de faits passés qui constituent un moment de la vie de l’auteur et les réflexions qu’avec une certaine distance l’auteur porte sur ces faits. Du Bellay expose la vie d’un homme privé

Bilan Séance 12. Mettre en œuvre les connaissances et savoir-faire acquis 11 LES CORRIGÉS DES EXERCICES ET DES SUJETS DU BAC ■ Sujet d’écrit 1 Questions sur le corpus 13 Commentaire – Dissertation 13 Écriture d’invention 14 ■ Sujet d’écrit 2 Questions sur le corpus 15 Commentaire 15 Dissertation – Écriture d’invention 16 ■ Sujet d’oral 1 17 ■ Sujet d’oral 2 17 ■ Sujet d’oral 3 17 ■ Sujet d’oral 4 18 ■ Lectures