Commentaire Preface Dernier Jour Condamné Hugo

que les éditeurs connaissent. Ainsi ce groupe peu prioritaire, grâce à la Belgique, va devenir un groupe assez dominant dans le monde littéraire. Ce groupe sait qu’il doit son passage dominé> dominant à leurs alliés, éditeurs et auteurs belges. Le jour où ces gens bénéficient d’une grande édition française, et une place dans les revues, on s’y intéresse et ont accès aux meilleures maisons d’édition. Donc il y a dans le champ du centre des alliances possibles qui peuvent être bénéfice pour ceux de

l’être humain, se libérer de la matière par l’effort spirituel. _________________________________________________________________________________ “Cantiques des colonnes” Douces colonnes, aux Chapeaux garnis de jour, Ornés de vrais oiseaux Qui marchent sur le tour, Douces colonnes, ô L'orchestre de fuseaux ! Chacun immole son Silence à l'unisson. «Que portez-vous si haut, 10 Égales radieuses? - Au désir

qui ne peut, comme le fait l’être humain, se libérer de la matière par l’effort spirituel. _________________________________________________________________________________ “Cantiques des colonnes” Douces colonnes, aux Chapeaux garnis de jour, Ornés de vrais oiseaux Qui marchent sur le tour, Douces colonnes, ô L'orchestre de fuseaux ! Chacun immole son Silence à l'unisson. «Que portez-vous si haut, 10 Égales radieuses? - Au désir sans défaut

................................................................................................. 46 2. Reconnaissance par les pairs et légitimation....................................................................................... 53 A. Des préfaces…........................................................................................................................................ 54 B. … Aux manifestes .....................................................................................

l’emprise de la déchéance et de la mort. Outre cela Stendhal nous peint une société dans laquelle les bourgeois tyrannisent sans cesse et sans relâche les prolétaires tout en abusant de leurs titres attribués au gré des caprices sociaux, et ces derniers ne sont pas sans défaut. En effet, une lutte acharnée faite de calomnies et de traîtrise les secoue. C’est pourquoi nous avons choisi ces deux romans pour illustrer notre étude portant sur la représentation du héros déchu. Il importe ainsi de présenter

En discourant ces mienx piteux escrits, Car mes helas, et mes soupirants cris Descouvriront la douleur, que je porte. Il me verra craindre, et puis esperer, En desir croitre, et soudain empirer, Changer cent fois le jour de passion. Il me verra alors, qu’Amour se joue De mon malheur, sur l’amoureuse roue Souffrir le mal d’un dolent Ixion. (Pontus de Tyard, Les Erreurs amoureuses, 1549, sonnet II). * Qui voudra voir le plus précieux

l’emprise de la déchéance et de la mort. Outre cela Stendhal nous peint une société dans laquelle les bourgeois tyrannisent sans cesse et sans relâche les prolétaires tout en abusant de leurs titres attribués au gré des caprices sociaux, et ces derniers ne sont pas sans défaut. En effet, une lutte acharnée faite de calomnies et de traîtrise les secoue. C’est pourquoi nous avons choisi ces deux romans pour illustrer notre étude portant sur la représentation du héros déchu. Il importe ainsi de présenter

volonté d’opérer constamment la confusion ou le mélange des genres. L’épisode de l’ours constitue une infraction par rapport au genre théâtral. En effet, si l’on entend respecter les conventions de la mimésis re- 4 UBU ROI mises au goût du jour par l’esthétique naturaliste, l’ours pose évidemment une difficulté de représentation. La scène soulève aussi le problème de sa crédibilité et de sa motivation. L’arrivée (inopinée) de l’ours n’est pas justifiée dramatiquement, elle est sans rapport

n’y a de vrais biens sur la terre que dans l’exercice de la vertu. » Commentaire Ce drame bourgeois, ce mélodrame emphatique et moralisant fut inspiré, avec un bonheur relatif, des drames bourgeois de Diderot, le pathétique familial bridant le talent de Beaumarchais qui était fait pour la gaieté et la démesure. Il n'annonçait nullement sa verve comique. Dans l’”Essai sur le genre dramatique sérieux” qui servait de préface à la pièce, véritable manifeste où il reprenait et précisait les idées

J'AVDBOUND AT THE UNIVERSITY OF TOUl IVTn ~ LA COULEUR. LA LUMIÈRE ET L'OMBRE DANS LES MÉTAPHORES Dl VICTOR HUGO METAPHORES Ils DANS L'ŒUVRE LA ET DE LES COMPARAISONS HUGO VICTOR COULEUR LA LUMIÈRE ET L'OMBRE DANS LES MÉTAPHORES DE VICTOR HUGO PAR EDMOND HUGUET : Il R A LA FACULTÉ DES LETTRES DE l'uNIVERSJTE DE CAEN ^^-^ PARIS BRA1RIE HACHETTE 7m. ET boulevard saint-germain, 79 1905 C lff 16 U 19 i AVANT-PROPOS Ce volume, comme le précédent', est fait pour