Commentaire Raymond Carré De Malberg Souveraineté

faculté de droit « Il y a deux vérités qu’il ne faut jamais séparer en ce monde : la première est que la souveraineté réside dans le peuple ; la seconde est que le peuple ne doit jamais l’exercer » Antoine de Rivarol Journal politique national Le premier alinéa de l’article 3 de la Constitution de 1958 fait clairement du peuple le titulaire de la souveraineté en disposant que « La souveraineté nationale appartient au peuple français qui l’exerce par ses représentants et par la voie du référendum

respecter, être soumis au droit, c’est l’Etat de Droit. A. L’encadrement juridique des phénomènes politiques 1. La politique *sens strict : Paul Valéry : « la Politique c’est l’art d’empêcher les gens de se mêler de ce qui les regardent » *sens large : Raymond Aron (ami de Sartre, influencé par Hegel, Kant, Arendt) : « c’est le régime de la collectivité toute entière ou son mode d’organisation » 2. Statut de la politique *la politique repose sur des relations entre gouvernements et gouvernés encadrés par

existe et est a la base de toutes les pratiques des institutions politiques, c'est l'unité et la continuité des pouvoirs constitutionnels et de l'histoire d'un pays, la coutume est comme la culture : ce qui reste lorsqu'on a tout oublie. Rene carre de Malberg pense lui que la coutume est dangereuse b. Convention constitutionnelle C'est un juste milieu entre coutume et norme. Elle decoule de l'interpetation de la constitution, de la pratique. Ex : lorsqu'un membre du gouvernement est mis en

de l’homme derniere ligne la plus imporante lapparition de la justice constitutionnel élément fondamentale petit à petit ça se retrouve ailleurs, on est passer en France de la generalité a la protection de chacun dans son individualité. Raymond Carre De Malberg dit que  « Nous sommes passé de l’Etat légal battit autour du dogme de la suprematie de la loi expression de la volonté général a l’Etat de droit établit simplement et uniquement dans l’interet et pour la sauvegarde des citoyens. » C’est

sujets et qui s’imposent à toutes les autorités politiques y compris le roi. Le roi doit respecter un texte élémentaire qui est une sorte de pacte. Elle s’est développé tardivement en France car la France est un pays qui a développé la notion de souveraineté, de l’Etat. Qui à une tradition de centralisation, d’unité de pouvoir. La France est un Etat qui n’a pas connu durant cette période qui n’a pas connu de guerre civile. En Angleterre un certains nombre de texte et de coutumes sont apparus au 17ème

État (même cités grecques) et un gouvernement doté du pouvoir suprême. Ce pouvoir suprême est ce qu’on appelle la souveraineté. A partir du moment où il y a un droit constitutionnel, il y a une souveraineté. Titre 1 : Les manifestations de la souveraineté Qu’est ce que la souveraineté ? Et quelles sont ses manifestations ? Par définition c’est la suprématie. La souveraineté c’est en même temps un phénomène qui présente 2 faces, 2 définitions complémentaires qui ne sont pas toujours complètement

de la conception proposée par Montesquieu depuis 1748 dans De l’esprit des lois. L’article 3, qui attribue la souveraineté à la Nation, s’inspire des thèmes des remontrances des Parlements, portées par les nombreux membres du club des Amis de la Constitution, plus connu sous le nom de Club des Jacobins, mais aussi du célèbre pamphlet de l’abbé Sieyès, qui propose de confier la souveraineté à la Nation, entité abstraite et distincte de la personne physique qui la dirige. L’article 6, directement inspiré

recherche un droit commercial uniforme universel mais gouverné et imposé par un modèle commercial américain et cela ne peut que réveiller les volontés nationalistes. 2) souveraineté et ingérence 1945-1948 : après la guerre, il y a la Constitution de l’ONU, il y a l’affirmation de la souveraineté irréductible de chaque souveraineté . Dans la logique de l’ONU, seuls les Etats sont acteurs du droit . L’Etat est la personne juridique du droit international. Il y a une égalité des Etats quelle que

beaucoup plus anciens, par John Locke dans son traité du gouvernement civil (1690). L’article 3, qui attribue la souveraineté à la Nation, s’inspire des thèmes des remontrances des Parlements, portées par les nombreux membres du club des Amis de la Constitution, plus connu sous le nom de Club des Jacobins, mais aussi du célèbre pamphlet de l’abbé Sieyès, qui propose de confier la souveraineté à la Nation, entité abstraite et distincte de la personne physique qui la dirige. L’article 6, directement inspiré

plus anciens, par John Locke dans son traité du gouvernement civil (1690). L’article 3, qui attribue la souveraineté à la Nation, s’inspire des thèmes des remontrances des Parlements, portées par les nombreux membres du club des Amis de la Constitution, plus connu sous le nom de Club des Jacobins, mais aussi du célèbre pamphlet de l’abbé Sieyès, qui propose de confier la souveraineté à la Nation, entité abstraite et Tandis que le texte du sixième bureau se plaçait « en distincte de la personne