Commentaire Rimbaud Ville

Illuminations, 1873-1875 RIMBAUD « Les ponts » Intro : Rimbaud né en 1954 et mort en 1981 fut une figure à part de la littérature. Il constitua de 15 à 20 ans une œuvre très dense qui en fit le génie de l'adolescent révolté contre une mère très autoritaire et contre la société Bourgeoise de Charleville-Mézières. Cela le mènera à faire les « fugues rimbaldiennes » qui caractérisent son voyage, son errance et sa recherche de poésie. C'est un poète voyant qui valorise la quintessence, le dérèglement

PLAN 1-La marche de la liberté 2-Un bonheur simple 3-L'obsession amoureuse des adolescents Commentaire rédigé "Au cabaret vert" est avec "La Maline", "Rêvé pour l'hiver" un des poèmes recopiées à Douai, rassemblés dans un premier recueil adressé à Paul Demeny dans l'espoir d'être imprimé à Paris et qui relate la fugue en Belgique, la liberté adolescente d'un jeune poète de 16 ans. C'est un sonnet en alexandrins. 1-La marche de la liberté Le titre est explicite "Au cabaret-vert", mais pourrait

pour se mettre en valeur. x Explicite L’Hirondelle et les petits oiseaux Les oiseaux refusent de croire la prédiction de l’hirondelle, qui leur annonce un grand danger : ils se retrouvent capturés par les hommes. x Explicite Le Rat de ville et le Rat des champs Le rat des villes invite le rat des champs à manger, mais leur repas est troublé par une visite : le rat des champs préfère, la prochaine fois, inviter le rat des villes. x Implicite (dial) Le Loup et l’Agneau Un loup dévore

"blond" et "argentés" décrivent les jeux de la lumière dans les parties supérieures du paysage. De même ligne 11, l'aube fuit "parmi les clochers et les dômes" : la lutte d'influence entre le jour et la nuit se dessine d'abord sur les toits de la ville.  • Autre champ lexical significatif, celui de l'éveil de la vie : la nuit est comparée à la mort ("l'eau était morte") tandis que les pas du narrateur réveillent "les haleines vives et tièdes" (on remarquera l'opposition morte/vives).  •

XIXème siècle Arthur Rimbaud - Aube Texte : 1. J'ai embrassé l'aube d'été. 2. Rien ne bougeait encore au front des palais. L'eau était morte. Les 3. camps d'ombre ne quittaient pas la route du bois. J'ai marché, réveillant 4. les haleines vives et tièdes, et les pierreries regardèrent, et les ailes se 5. levèrent sans bruit. 6. La première entreprise fut, dans le sentier déjà empli de frais et 7. blêmes éclats, une fleur qui me dit son nom. 8. Je ris au wasserfall qui s'échevela à travers

Illuminations de Rimbaud « Parade » 1. Le texte du poème. Parade Des drôles très solides. Plusieurs ont exploité vos mondes. Sans besoins, et peu pressés de mettre en œuvre leurs brillantes facultés et leur expérience de vos consciences. Quels hommes mûrs ! Des yeux hébétés à la façon d’une nuit d’été, rouges et noirs, tricolores, d’acier piqué d’étoiles d’or ; des faciès déformés, plombés, blêmis, incendiés, des enrouements folâtres ! La démarche cruelle des oripeaux ! – Il y a quelques

rappels de base : · Même structure que le commentaire  : intro avec accroche, / développement en 2 parties mini avec 2 sous-parties mini dans chaque partie, max 5/6 sous-parties en principe, une conclusion avec ouverture . Le tout avec alinéas sans saut de lignes pour les sous-parties, mais saut de 2 lignes mini entre chaque grande étape. Objectif 4 pages minimum. · Comme pour le commentaire, rédiger avec connecteurs logiques en début de sous-partie

Baudelaire : de justesse ! Cette année-là, il passa ses vacances d'été chez Élisa, et essaya à cette occasion de reconquérir son cœur. En vain. Après ses études, devenu un homme grand, au front haut, et à la barbe folle, il fut expéditionnaire à l'Hôtel de Ville de Paris, emploi peu absorbant qui lui permit de cultiver ses dons poétiques, de fréquenter les cafés littéraires, et de participer aux mouvements de l’époque. Il se mit à boire, peut-être pour échapper à une tristesse anxieuse, et avait les yeux toujours

quelle ville de la Bible !Le gaz flambe et nage et les enseignes sont vermeilles.Et les maisons dans leur ratatinement terribleEpouvantent comme un sénat de petites vieilles.Tout l'affreux passé saute, piaule, miaule et glapitDans le brouillard rose et jaune et sale des SohosAvec des "indeeds" et des "all rights" et des "haôs".Non vraiment c'est trop un martyre sans espérance,Non vraiment cela finit trop mal, vraiment c'est tristeO le feu du ciel sur cette ville de la Bible ! Rimbaud (« Nocturne

RIMBAUD : Au cabaret-vert, cinq heures du soir (oct. 1870) | Au Cabaret-Vert, cinq heures du soir Depuis huit jours j'avais déchiré mes bottines Aux cailloux des chemins. J'entrais à Charleroi. - Au Cabaret-Vert : je demandais des tartines Du beurre et du jambon qui fût à moitié froid. Bienheureux, j'allongeai les jambes sous la table Verte : je contemplai les sujets très naïfs De la tapisserie. - Et ce fut adorable, Quand la fille aux tétons énormes, aux yeux vifs, - Celle-là, ce n'est