Commentaire Ronsard Continuation Des Amour

de! choses!se!jouent!dans!le!récit!de!l’aubergiste!:!les!branches!adventices!prolifèrent,!tandis! que!le!tronc!glisse!et!échappe).!Historiquement!parlant,!le!roman!a!beaucoup!à!voir!avec! le!goût!de!faire!long!:!c’est!le!genre!qui!permet!les!«!continuations!»!au!moyenEâge,!et!qui! se!délecte!ensuite!sans!complexe!des!allongements!et!rallongements,!tant!dans!le!roman! précieux!(historique!ou!galant)!que!dans!les!publications!en!feuilletons!(de!Marivaux!à! Zola!au!moins,!surtout!au!XIXe!siècle!où!le

Providence, un grand amour en Dieu. Nous avons dit qu’Alexandre Dumas avait cessé d’apprendre le violon ; il avait renoncé d’autant plus facilement aux leçons du père Hiraux qu’il avait commencé à prendre des leçons d’armes bien autrement attrayantes pour lui. Son premier professeur, dont Grisier devait plus tard être le continuateur, fut le père Mounier, un ancien maître d’armes qu’un accident de salle avait blessé à la luette en le rendant presque muet ; cet accident, joint à un grand amour de la bouteille

d’un bon Dieu ( 1968) ; Moi, l’aigre ( 1970) ; Le Déterreur (1973) ; Une odeur de mantèque (1976) ; Une vie, un rêve, un peuple toujours errants ( 1978) ; Légende et vie d’Agoun’chich (1984),… La Mémoire tatouée ( 1971) ; Le Livre du sang ( 1979) ; Amour bilingue (1982). A.Khatibi (1938- ) Abdelhak Serhane Messaouda (1983) ; Les Enfants des rues étroites (1986). ( 1950 - ) 7 II- LE MAROC ENTRE 1912 ET 1960 DATES EVENEMENTS 1912 1925 1930 1931-1934 1937 1943 1944 1953 1955 1956 1956-1958

dieu, le pas se trouve très vite franchi. De sorte que les païens – ils rendent un culte aux dieux de la campagne, l’étymologie confirme – passent pour des négateurs des dieux, puis de Dieu. Le jésuite Garasse fait de Luther un athée ( !), Ronsard de même avec les huguenots... Le mot vaut comme une insulte absolue, l’athée, c’est l’immoraliste, l’amoral, l’immonde personnage dont il devient coupable de vouloir en savoir plus ou d’étudier les livres une fois l’épithète tombée. Le mot suffit

avec lui-même pour savoir s'il devait se fâcher de ce mot : Je vous l'ordonne . Il fut assez sot pour penser : elle pourrait me dire je l'ordonne , s'il s'agissait de quelque chose de relatif à l'éducation des enfants, mais en répondant à mon amour, elle suppose l'égalité. On ne peut aimer sans égalité ... et tout son esprit se perdit à faire des lieux communs sur l'égalité. Il se répétait avec colère ce vers de Corneille, que Mme Derville lui avait appris quelques jours auparavant :

longtemps avec lui-même pour savoir s’il devait se fâcher de ce mot : Je vous l’ordonne. Il fut assez sot pour penser : elle pourrait me dire je l’ordonne, s’il s’agissait de quelque chose de relatif à l’éducation des enfants, mais en répondant à mon amour, elle suppose l’égalité. On ne peut aimer sans égalité… ; et tout son esprit se perdit à faire des lieux communs sur l’égalité. Il se répétait avec colère ce vers de Corneille, que Mme Derville lui avait appris quelques jours auparavant : … L’amour

longtemps avec lui-même pour savoir s'il devait se fâcher de ce mot : Je vous l'ordonne . Il fut assez sot pour penser : elle pourrait me dire je l'ordonne , s'il s'agissait de quelque chose de relatif à l'éducation des enfants, mais en répondant à mon amour, elle suppose l'égalité. On ne peut aimer sans égalité ... et tout son esprit se perdit à faire des lieux communs sur l'égalité. Il se répétait avec colère ce vers de Corneille, que Mme Derville lui avait appris quelques jours auparavant : .......

avec lui-même pour savoir s’il devait se fâcher de ce mot : Je vous l’ordonne. Il fut assez sot pour penser : elle pourrait me dire je l’ordonne, s’il s’agissait de 199 quelque chose de relatif à l’éducation des enfants, mais en répondant à mon amour, elle suppose l’égalité. On ne peut aimer sans égalité... ; et tout son esprit se perdit à faire des lieux communs sur l’égalité. Il se répétait avec colère ce vers de Corneille, que madame Derville lui avait appris quelques jours auparavant : ...

lui-même pour savoir s’il devait se fâcher de ce mot : Je vous l’ordonne. Il fut assez sot pour penser : elle pourrait me dire je l’ordonne, s’il s’agissait de 199 quelque chose de relatif à l’éducation des enfants, mais en répondant à mon amour, elle suppose l’égalité. On ne peut aimer sans égalité... ; et tout son esprit se perdit à faire des lieux communs sur l’égalité. Il se répétait avec colère ce vers de Corneille, que madame Derville lui avait appris quelques jours auparavant : ...

eue en aspirant de loin l’odeur salée de la mer ». « Je me lève à huit heures, je déjeune, je fume, je me baigne, je redéjeune, je fume, je m’étends au soleil, je dîne, je refume et je me recouche pour redîner, refumer, redéjeuner. […] Je lis du Ronsard, du Rabelais, de l’Horace, mais peu et rarement, comme l’on fait de truffes ». Flaubert se rend à Fécamp. Flaubert demande à Ernest Chevalier, qui part pour Marseille, de lui ramener « un bout d’ambre » et lui conseille de descendre à l’hôtel de Richelieu