Commentaire Sur La Morte Amoureuse

de leur appel. Ils passent au-dessus des lacs, des marais fertiles... » Commentaire La revue ‘’Littérature’’ avait publié précédemment ce fragment. Ces lignes dont la fièvre glacée n'a rien perdu aujourd'hui de son pouvoir sur le lecteur semblent défier le commentaire. -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Commentaire sur le recueil L’ouvrage, exploration des «champs magnétiques» de l'inconscient

le monde. Comment s’appelaient-ils ? Que vous importe ?… ») pour briser l’illusion romanesque. En créant cette distanciation entre lecteur et la fiction, les deux auteurs entendent mettre en place une esthétique réaliste du roman. Commentaire Le commentaire du passage s’attachera à mettre en valeur la dimension théâtrale de la scène où les élèves pourront réinvestir certains éléments de réponse aux questions 1, 3, 4, 7, 9. La deuxième partie sur la présence joyeuse du conteur pourra souligner

être méchante, loin de là :) J'aimerais juste savoir pourquoi tu ne mets pas de commentaires sur ma fiction à chaque fois que je te préviens. Car j'ai mis en place un système : si on ne vient pas une fois je préviens toujours comme si de rien n'était, deux fois je préviens mais je laisse un commentaire comme celui que je te laisse, et trois fois je supprime de la liste. J'attends, bien sûr que tu répondes à mon commentaire avant de te prévenir. Si tu étais en vacances, il n'y a aucun problème :)Bisous

_________________________________________________________________________________ ‘’Die eindelose wee’’ (1960) Roman _________________________________________________________________________________ ‘’Caesar’’ (1961) Pièce de théâtre Commentaire La pièce valut à André Brink le prix Eugène-Marais, qui récompense un auteur pour une première œuvre, ou l'une de ses premières œuvres, rédigée en langue afrikaans. _________________________________________________________________________________

récita le Misereatur et l’Indulgentiam, trempa son pouce droit dans l’huile et commença les onctions : d’abord sur les yeux, qui avaient tant convoité toutes les somptuosités terrestres ; puis sur les narines, friandes de brises tièdes et de senteurs amoureuses ; puis sur la bouche, qui s’était ouverte pour le mensonge, qui avait gémi d’orgueil et crié dans la luxure ; puis sur les mains, qui se délectaient aux contacts suaves, et enfin sur la plante des pieds, si rapides autrefois quand elle courait à

lecteur une histoire comptemporraine autrement dit en 1942. 2ème partie .On remarque que l’auteur utilise le temps du discours orale. .2ème chose inhabituel c’est la synthèse. Nous avons une synthèse simple « Aujourd’hui maman est morte. OU peut-être hier ». Le début est répétitif simple et même simpliste. Le coup de génie de Camus c’est que ce style un peu répétitif ennuyeux, dépassionné entre en correspondance entre la nature et le caractère du personnage parce que le narrateur

conséquences sur Laurent qui est comparé à un fauve (p. 91). Son cou est évoqué (p. 91), comme par anticipation de la morsure de Camille. Dans la description qui est faite de Thérèse, la jeune femme ressemble à une noyée : « Cette tête blanche et morte, noyée dans les plis des jupons » (p. 92). Enfin, le narrateur semble faire une répétition générale du meurtre lorsque Laurent fait semblant d’écraser le visage de Camille à coups de talons : l’utilisation du passé simple (« leva le talon », « pâlit

lendemain matin, il se réveilla avec la femme dans son lit qui lui dit qu'il avait été réveillé par un coq et qu'il pouvait se rendormir. Un fils Deux vieux amis, l'un Sénateur, l'autre de l'académie française discutent de leurs rencontres amoureuses et des enfants qu'ils ont faits. Ils disent qu'ils ont bien dû rencontrer deux à trois-cents femmes et qu'ils ont dû avoir des enfants avec beaucoup d'entre elles. Le sénateur raconte qu'un jour, il avait dû rester dans un auberge bretonne plusieurs

sa narine » (v.12). Ainsi, les poèmes de Ronsard et de Victor Hugo sont lyriques dans leur thème et dans leur forme poétique, tandis que le sonnet de Rimbaud est pathétique et satirique du fait de l’évocation de la guerre. Ecriture / 16pts Commentaire : C’est en 1870, dans le contexte de la guerre franco-prussienne, qu’Arthur Rimbaud rédige « Le dormeur du val ». Ce sonnet, extrait du recueil Poésies, dépeint le spectacle du cadavre d’un jeune soldat, abandonné dans une nature luxuriante. Le

narine » (v.12). Ainsi, les poèmes de Ronsard et de Victor Hugo sont lyriques dans leur thème et dans leur forme poétique, tandis que le sonnet de Rimbaud est pathétique et satirique du fait de l’évocation de la guerre. Ecriture / 16pts Commentaire : C’est en 1870, dans le contexte de la guerre franco-prussienne, qu’Arthur Rimbaud rédige « Le dormeur du val ». Ce sonnet, extrait du recueil Poésies, dépeint le spectacle du cadavre d’un jeune soldat, abandonné dans une nature luxuriante