Communauté religieuse

des annales ,est une enquête historique portant sur les sociétés indiennes d'Amérique notamment sur celle du Pérou,qui nous avance et relate comment fessant partie d'un système global possédant ses structures politiques ,économiques ,mentales , religieuses celles-ci ont vécu le choc de ce que l'on appelle « la découverte de l'Amérique. » qui ne fut finalement que le début d'une gigantesque entreprise coloniale déstructurant ces sociétés mais apportant également des formes de résistances. Ce livre

les filles sont livrées aux hommes par des marchés entre pères de famille. Les hommes pensent qu’il est bénéfique pour eux d’épouser de jeunes filles naïves et insouciantes car ils peuvent ainsi avoir une meilleure autorité sur elles. Les communautés religieuses se chargent de les rendre les plus innocentes possible. Au moment de leur mariage, elles savent le plus souvent à peine lire et écrire ; de la sorte elles peuvent être soumises et obéissantes à leur mari. Celui-ci fait ainsi office de second

Vous pouvez vous inspirez des parties du tableau suivant : Raisons p ersonnel les ou psychologique s Raisons m atérie l l es ou économique s Raisons religieuses ou t radition nel les Raisons m oderne s ou sociétal es 1. - À cause du poids des traditions dans certaines communautés : mariages arrangés. 2. – Pour a cquérir une position sociale plus élevée, plus riche ou plus sécurisante . 3. - C’est un des fondements de la société : héritage du patrimoine

idées, répartissez-les en quatre grandes parties. Vous pouvez vous inspirez des parties du tableau suivant : Raisons personnelles ou psychologiques Raisons matérielles ou économiques Raisons religieuses ou traditionnelles Raisons modernes ou sociétales 1. - À cause du poids des traditions dans certaines communautés : mariages arrangés. 2. – Pour acquérir une position sociale plus élevée, plus riche ou plus sécurisante. 3. - C’est un des fondements de la société : héritage du patrimoine, des biens,…

Les études de la socialisation politique tendent à repérer les mécanismes d’apprentissage et d’entretien des croyances et des attitudes communes à tous les membres d’une même société, ce qui crée la possibilité d’une comparaison des diverses communautés politiques, de leur agence de socialisation, de leurs « cultures » spécifiques. La culture politique est constituée d’un ensemble de connaissances et de croyances permettant aux individus de donner sens à l’expérience routinière de leurs rapports

auréole (périurbaine), on peut distinguer: ‐ Les terrains communaux, “los ejidos” ‐ Les propriétés foncières des communautés religieuses ‐ Les quartiers indigènes avec leurs ateliers textiles, “los obrajes” ‐ Les petites exploitations agricoles des citadins,”las chacras” La seconde auréole (périphérique) voyait coexister : ‐ Les grands domaines,” las haciendas” ‐ Les terres des communautés indigènes nommées “ayllus” Depuis les années 1570, l’administration espagnole, soucieuse de renforcer son contrôle

au cours du temps à de plus grandes variations sans filiation. Dans le cinquième chapitre l’auteur montre comment la communauté arménienne de Décines a reconstruit le rituel ancien des sorts de l’Ascension. Il montre que cette reconstruction s’est faite suite à la prise de conscience des jeunes générations arméniennes à cause des évènements récents survenus dans les communautés arméniennes à l’étranger (persécution et tremblement de terre), un besoin de revenir à la culture d’origine par le biais

conscience et le niveau de la division du travail diffère selon le type de société. 1. Les Sociétés traditionnelles Dans les sociétés traditionnelles, les individus d’un groupe sont semblables, leur similitude constitue les fondements d’une communauté soudée ou tous partagent une même conscience collective [mêmes croyances, valeurs qui n’évoluent pas cours des différentes générations]. La diversité des activités de chaque individu ne l’empêche pas de faire comme les autres, ainsi le degré de

structures politiques et sociales ne respectent pas l’individu. SECTION 1 : le moule communautaire d’Ancien Régime : Au Moyen-âge, l’homme est pensé comme la partie d’un tout et non comme un individu autonome. Le tout dont il fait parti c’est un communauté ; l’individu n’existe pas en soi, mais à travers d’un groupe (famille, groupe professionnel,…) ; le groupe absorbe l’individu qui se défini par le collectif. L’individu doit se plier à certaines règles. L’individu appartient à un ordre. I- les

connaître dans le cadre de groupes divers et d’institutions. La relation d’amitié et la relation amoureuse sont des liens de participation élective, mais il en existe d’autres, comme les relations de voisinage, les relations au sein des communautés locales, religieuses ou culturelles. Au cours de ses apprentissages sociaux, l’individu est à la fois contraint par cette nécessité de s’intégrer, mais en même temps, il reste en partie autonome dans le sens où il peut construire lui-même son réseau d’appartenances