Commémorer Son Passé

soit possible de pouvoir prendre le contrôle de la vie, des émotions, de la volonté, des mouvements d’une autre personne.  Schoelcher commenta dans le journal républicain La Réforme de 28 juillet 1846: « C’est donc toujours la même chose. Le temps passe, les idées s’épurent, la civilisation agrandit son empire, les peuples s’éclairent, les moeurs s’adoucissent ; les colons seuls, immobiles, n’oublient rien et n’apprennent rien. N’osant plus toutefois soutenir l’esclavage en principe, ils disent qu’il

Thème 1 : Le rapport des sociétés à leur passé. Les mémoires : lecture historique. Intro : Réflexion sur les notions clés : L'histoire et la mémoire sont deux approches différents du passé. -Histoire et mémoire : L'histoire est une science humaine et sociale qui travaille à partir de sources diverses faisant l'objet d'un travail critique. Plus subjective, la mémoire relève d'un rapport affectif aux événements passés. Elle peut donc être plurielle (allemands et français durant la guerre) et entrer

Cette problématique a pourtant fait l’objet de grandes discussions lors de la première commémoration en 2006 de l’abolition de l’esclavage. Qu’est ce que vous remettez en cause ? JPO : En fait, depuis le vote de la Loi Taubira en 2001, il s’est passé beaucoup de choses. Premièrement, la procédure découlant de cette loi a été immédiatement « formolée ». Deuxièmement, on a tout de suite validé médiatiquement contre les descendants des victimes, le discours argumentaire des « criminels » (négriers

souvent sanglants, qui se donnaient principalement dans les amphithéâtres, et plus spécialement, à Rome, dans le Colisée (ou amphithéâtre flavien) qui pouvait contenir plus de 50 000 personnes. Ces jeux étaient l'occasion pour les empereurs de commémorer leurs victoires, leur avènement, un anniversaire ou un mariage, et ainsi de se rendre plus populaires Plusieurs jeux y étaient donc pratiqués. On va donc voir comment ces jeux étaient organisés. 1° Courses de chars (cursus).   Les courses

Guerre Mondiale sont marquées par la profondeur des traumatismes qui ont affecté la population. Les « années noires » définies par Azema se poursuivent malgré l'arrêt des combats en 1944 en France et la fin de la guerre en Europe en 1945. Face à ce passé douloureux, l'historien doit analyser avec objectivité cette période tourmentée de l'Histoire de France, qui a été confrontée à des nombreuses épreuves : défaite de 1940, régime de Vichy et collaboration avec l'occupant,participation à la Shoah. Il

acceptable, car le législateur, en édictant des vérités officielles, opère une sanctuarisation juridique de certains pans entiers de l’histoire, et condamne le travail des historiens. Selon un grand nombre de chercheurs, cette « judiciarisation du passé » fait tomber la discipline dans le piège totalitaire de l’histoire officielle, et condamne la liberté d’expression. En ce sens, la loi Gayssot est souvent présentée comme source de confusion entre droit et morale, et interdit certaines personnes d’exprimer

Introduction Un héros est un personnage réel ou fictif de l'Histoire, de la mythologie humaine ou des arts. On peut cependant noter que la notion « héro » est à la fois évidente et problématique. En effet, toutes les cultures, présentes ou passées, utilise cette notion. Néanmoins elle semble avoir perdue de sa force et de son évidence. C’est pourquoi il est intéressant de se demander quelle est la valeur de cette notion traditionnelle et d’analyser ses métamorphoses depuis la mythologie jusqu’à

point commun est de travailler sur un temps passé, écoulé : la mémoire c’est le vécu tel qu’on se le remémore, fortement chargé en émotion. Elle est reliée au présent dans un rapport subjectif au passé qui procède par sélection des événements. Elle est individuelle et donc passée au prisme de la construction de celui qui se rappelle ; elle peut aussi être collective et donc permet de forger une identité de groupe en perpétuant une certaine vision du passé. Elle est, par définition, au pluriel. L’histoire

toute cette violence vécue entraina une forte expression du pacifisme qui se manifesta dans les expressions « plus jamais ça », « maudite soit la guerre », etc. Après la Première Guerre mondiale, il y eu un immense désir de commémorer car on ne voulait pas oublier ce qui s’était passé et on espérait que cette guerre soit la « der des der » (ex en France : érection de monuments aux morts dans chaque commune, célébration du 11 novembre, commémoration du soldat inconnu, construction de l’Ossuaire de Douaumont

qui est une révolte armée, organisée et menée par la population juive du ghetto de Varsovie contre les forces d'occupation allemandes entre le 19 avril et le 16 mai 1943. C'est l'acte de résistance juive pendant la Shoah le plus connu et le plus commémoré. La pièce est donc un témoignage de l’un des moments les plus marquants pour la population juive au cours de la deuxième guerre mondiale. Et enfin, le metteur en scène ne doit pas se substituer à l’auteur. Mais bien souvent, il n’est pas un simple