Comorbidité

était globalement plus élevé lorsque le centre comportait moins de 60 patients et que le temps des soignants passé auprès du patient augmentait ». Annette Ravaud – RIM-Master 1 - UPMC 2012/2013. N° étudiant: 3265328 Page 4 of 11 - - - Les comorbidités fréquemment associées supposent une longue liste de traitements : on constate que le nombre de médicament est inversement proportionnel à l’observance. L’utilisation des combinaisons fixes, la caractéristique du traitement favorisent l’observance

secondaire des AVC potentiellement nuisible et inutile dans les cas de non-AIT, notamment auprès de la population âgée. 5. Critiques : La double pathologie comprenant l’accident vasculaire et la migraine n’est pas à exclure, il existe donc une comorbidité entre les deux en plus de partager une sensibilité génétique qui devrait être investiguée davantage. Enfin, le niveau de phosphène peut avoir été influencé par les différences en termes d’âge, d’hypertension et de fibrillation auriculaire. 6. Lien

capacités d’adaptation sont déficientes • Dépendants • Déments • Fragiles Hospitalo-dissolution • Pb nosocomiaux: infections, complications évolutives (excès / déficit hydratation), complications décubitus (TVP, EP), décompensation des comorbidités (confusion sur démence), dénutrition • Pb iatrogéniques: psychotropes, antalgiques palier II et III: confusion, sédation (pneumopathie d’inhalation), constipation • Dépendance indue: alitement indu, SAD, sarcopénie, déconditionnement, cardio-respiratoire

plusieurs comorbidités courantes, notamment les difficultés d’apprentissage ou l’anxiété. Où s’arrête le déficit de l’attention et où commencent les troubles d’anxiété et de difficulté d’apprentissage ? Troisièmement, bon nombre de termes font l’objet de sous-catégories du TDA/H. La nature ambivalente du terme lui-même – TDA/H – est significative. Certains enfants qu’on croyait être en déficit d’attention étaient hyperactifs, d’autres ne l’étaient pas. La prolifération des facteurs de « comorbidité » et

............................................................................. 32 2.6.1.2. Sujet âgé ..................................................................................................................................... 34 2.6.2. Comorbidités psychiatriques............................................................................................................. 36 2.6.2.1. Conduites addictives ......................................................................................

Baromètre santé 2010 de l’INPES (voir encadré méthodologique, page 8). L’insertion dans une enquête plus globale sur les comportements de santé est justifiée par l’intérêt de l’étude des liens entre l’addiction au jeu et les autres addictions et/ou la comorbidité psychiatrique dont l’analyse pourra ainsi être approfondie. En contrepartie, elle a imposé une certaine concision du volet « jeu ». Les questions sur le jeu ont été analysées chez les 18-75 ans, soit un effectif de 25 034 personnes. La taille importante

recommandation : grade C) ➢ Au-delà de l’absence de syndrome de prédisposition génétique au CCR, le rythme de surveillance par coloscopie sera fonction du résultat de la dernière coloscopie et de l’espérance de vie du patient du fait de son âge et/ou de comorbidités 2.9 – PROCESSUS TUMORAUX CM6 : CANCER COLO-RECTAL 10 CCR métastasique Chimio palliative ➢ Augmenta la survie globale et le confort ➢ XELODA, LV5FU2 ➢ FOLFOX ➢ FOLFIRI : diarrhées, alopécie possible, HDJ, pompe partable, 14 jours ➢ CT

surtout l’entourage (trouble de la personnalité borderline, psychopathie). En plus de la souffrance, il y a un impact social et financier à prendre en compte : coût important pour la société. Source d’invalidité importante (plus que le cancer). Comorbidité : personne atteinte de deux troubles. Une étude a été menée aux EU dans 5 états différents dans les 80’s, par l’institut national de santé mentale américain. Elle a porté sur 20 000 personnes. Elle a montré qu’un américain sur 3 (32%) a souffert

repérer les formes "mixtes" de névroses. De nombreux travaux ont en effet montré que l'existence d'un syndrome pur est rare et que les troubles d’anxiété généralisée, panique, obsessionnel-compulsif et phobique, coexistent fréquemment. De plus, la comorbidité anxiété-dépression semble importante. La mise en évidence de cette interdépendance des syndromes névrotiques a conduit certains auteurs à réhabiliter, en dehors de toute perspective étiopathogénique, le concept de névrose à travers la reconnaissance

évidents renvoyant vers une pathologie sous-jacente.  La bithérapie antihypertensive doit être synergique, elle sert à diminuer les doses et donc diminuer les effets indésirables de chaque classe.  Traitement privilégié : Hypertention + comorbidité. 1. Diabète : IEC / ARA2. 2. Migraine : Bêta-bloquants. 3. Sd de Raynaud : Inhibiteurs calciques. 4. Insuffisance cardiaque : IEC/ ARA2/ BB autorisés. 5. Angor d’effort : BB / IEC. 6. Sujet âgé : Diurétiques thiazidiques et Inhibiteurs calciques