Comorbidité

manifester tard dans le développement. – La résilience psychologique peux être démontrée pour les enfants et adolescents qui ont étaient victime d'agressions sexuelles. • Les jeunes agressés sexuellement pendant leur enfance présente une plus grande comorbidité et de stress post-traumatique complexe que de leurs pairs non agressés. Des études ont démontrés que l'enfant victime serait prédit à du stress post-traumatique, des consultations médicales régulières et de l'hospitalisation pour des problèmes mentaux

population délinquante de 29 à 95% ! Comorbidités psychiatriques et non psychiatriques Un même individu va avoir deux ou plusieurs troubles puisque les catégories sont grandes et donc le trouble des conduites est souvent combiné à l’hyperactivité, au trouble oppositionnel avec provocation (qui est d’ailleurs inclus dans le trouble des conduites pour la CIM-X), aux troubles anxieux, aux troubles liés à l’usage de substances psychoactives, etc. (comorbidités psychiatriques) mais aussi aux conduites

développement est multi déterminé (organique, affectif, social…) La symptomatologie varie avec l’âge La structure mentale n’a pas la même netteté que chez l’adulte (évolutions parfois rapides) Le pronostic est difficile à établir Il existe une comorbidité (coexistence de plusieurs troubles simultanément) des troubles. Ecueils : Trois types de réductionnisme à éviter en psychologie clinique Réductionnismes neurologique : Dysfonctionnement psychologie= dysfonctionnement cérébral. Réductionnisme

des troubles du sommeil, un fléchissement scolaire, un comportement auto- ou hétéro-agressif… La forme clinique type est proche du tableau des vétérans du Viet Nam avec des particularités liées à l’âge. La sémiologie est caractéristique. La comorbidité est fréquente, de même que l’évolution vers d’autres troubles mentaux, comme la dépression. Le risque de passages à l’acte hétéro-agressif, de tentative de suicide, de conduites addictives, en particulier à l’adolescence, est important. 17

qui est actuellement le plus souvent diagnostiquée chez l’adolescent ou chez l’adulte jeune. * Le début est plus précoce chez l’homme (pic entre 15 et 25 ans) que chez la femme (pic entre 25 et 35 ans). * Il est fréquent d’observer une comorbidité (coexistence de deux pathologies) : schizophrénie et abus de substances (cannabis, alcool…). * Enfin, il existe une surmortalité chez les patients atteints de schizophrénie par rapport à la population générale. * La principale cause de surmortalité

la souffrance comme étant plutôt liée aux conditions de vie associées à l’usage ou qui sont aggravées par celui-ci : marginalité, exclusion, précarisation, traumatisme, etc. D’un autre côté, il existe chez une partie des usagers de drogues, une comorbidité psychiatrique sévère et souvent plus durable que la souffrance psychique (INSERM, 1998). MEYER (1986), suggère six relations possibles entre abus de drogue et psychopathologie : - le trouble psychiatrique est un facteur de risque pour l’abus ou

.................................................................................... 10 Définitions et critères d’évaluation ......................................................................................... 11 2.3.1. 2.3.2. 3. 4. Comorbidité et prévalence des syndromes sportifs chez les adolescents sportifs de haut-niveau ....... 13 Facteurs dispositionnels et epuisement des athletes ............................................................................. 14 4.1. 4.2. La personnalité

des heures entières à une activité ou un objet qui les fascine. C’est pourquoi ils s’investissent souvent avec intensité dans leurs passions, qu’ils développent avec enthousiasme dans la durée (SIGMAN et CAPPS, 2000, p.84 sqq.). 2.3 Causes et comorbidité Dans les années 60 et 70, on considérait les autistes comme des personnes souffrant de troubles émotionnels et l’on estimait alors que la froideur de la mère était la cause de l’autisme chez l’enfant. Aujourd’hui, on sait que ce handicap a une

etc. Plan de soins et d’aides Le plan de soins et d’aides comprend en fonction de la clinique et de la situation sociale : · la mise en place de l’ALD · les soins médicamenteux spécifiques et non médicamenteux · la prise en charge des comorbidités et des facteurs de risque · la surveillance nutritionnelle · la carte d’information « Maladie d’Alzheimer » proposée au patient · une orientation vers un psychologue et/ou un psychiatre (soutien du patient et/ou de son entourage) · l’orientation

inhibiteurs de l'enzyme de conversion (IEC), les antagonistes des récepteurs de l'angiotensine II (ARA II). Le choix de l’hypertenseur dépend de plusieurs critères comme les situations cliniques particulières, l’efficacité et la tolérance, les comorbidités associées. - L'hypertension artérielle favorise le développement de l'athérome, en particulier l'athérosclérose coronaire et cérébrale. Elle est surtout un facteur de complications. Les complications cardiaques, neurologiques ou rénales sont