Compagnie britannique des Indes orientales

pendant vingt ans, un temps d’arrêt. Les opérations décisives eurent lieu à partir de 1900. On prit possession des oasis du Touat(1901), puis de celles du Hoggar, en plein cœur du désert saharien. La police du désert fut assurée par l’organisation de compagnies indigènes de « méharistes ». La situation du Maroc, qui flanque l’Algérie à l’ouest comme la Tunisie le fait à l’est, explique que tôt ou tard les Français devaient chercher à y établir leur influence. Envisagée à plusieurs reprises depuis 1840

l’apartheid. I. À l'origine de l'apartheid : la colonisation de l'Afrique du Sud A. La quête des frontières B. La création d’une Nation : une mosaïque démographique et géographique C. Colonisation hollandaise et reconquête britannique : Du Grand Trek à la Guerre des Boers (1835-1910) D. 1912-1948: vers l'apartheid II. L'Apartheid et le mythe Nelson Mandela (1948-1989) A. Les Afrikaners au pouvoir, la mise en place de l'apartheid B. La résistance à l’apartheid et les

divisées en e d’une part, du part, de L’étude de l traite comporte deux rands volets. Le volet qualitatif concerne l a a description du commerce trian ulaire, des ormes locales d’esclavage,des grandes étapes t de l traite e l rôle des dif érentes compagnies, des principaux ports français e de a t e chaque nation négrière,en lien avec l’histoire européenne. Pour l Gabon,ce volet étudie e aussi les circuits intérieurs de l traite e son lien avec l’histoire des tribus gabonaises.Le a t volet quantitatif

les marchands en provenance de la péninsule Arabique, du Golfe Persique et d’Inde que les relations ont été les plus fortes. Les navires, les fameux boutres, poussés par les vents de la mousson, parvenaient à Zanzibar vers décembre en provenance des Indes et de la péninsule arabique. En mars-avril, ils repartaient grâce aux alizés soufflant du sud-est. Les commerçants ont très tôt compris l’intérêt que pouvait présenter cette côte africaine pour s’approvisionner en or, en ivoire, en bois précieux,

interdit la marseillaise : obligation de suivre les processions publiques (après que Napo a signé le concordat). Les Français commencent à regretter l’Empereur. Le retour de l’Empereur. Pas une goutte de sang. Le vol de l’Aigle. Fin février, fausse compagnie à ses geôliers d’Elbe. En 10 jours, retrouve son trône. Mais l’Europe est à Viennes. Encore sous les armes, toujours un million d’hommes prêts à se battre. La Grande Armée n’a plus de chevaux, démobilisée. Trouve tout de même 200 000 hommes mais

payaient les coutumes, c'est-à-dire des taxes d'ancrage et de commerce. Puis les deux parties se mettaient d'accord sur la valeur de base d'un captif. Ce marchandage était âprement discuté. Les modalités d'embarquement Si le bateau appartenait à une compagnie, il se rendait aux comptoirs appartenant à leur nation. Là, des captifs étaient entreposés en vue de leur déportation. Avec le commerce libre, l'armateur fixait les lieux de cabotage du navire : dans le meilleur des cas, le navire cabotait dans une

conquête européenne, débute avec les portugais en 1508, puis s’accélère avec l’arrivée des français, des néerlandais, et des britanniques. C’est d’ailleurs ces derniers qui jugulairent le pouvoir afin de s’assurer le contrôle quasi-total du pays. En effet, l’armée britannique triomphe de leurs rivaux et assoie leur économie grâce à la compagnie anglaise des Indes orientales, nous sommes alors à la moitié du XIXe siècle et l’Inde est sous administration coloniale. Carte de l’histoire de l’Inde

bouleversements liés 4 Première révolution industrielle 4.1 Importance des brevets 4.2 Secteurs clés 4.2.1 Énergie : la vapeur 4.2.2 Moyen de transport : le bateau 4.2.3 Textile 4.2.4 Métallurgie 4.3 Suprématie de la Grande-Bretagne dès 1750 4.3.1 Empire britannique 4.3.2 Spécialisation industrielle précoce dès 1750 4.3.3 Suprématie financière 4.4 Singularité du cas de la France 4.4.1 Contexte historique 4.4.2 Importance de l'État 4.4.3 Puissance agricole et industrielle 4.4.4 Puissance financière 5 Seconde

pays développe son économie, la rivalité économique entre l'Allemagne et la France s'accroît à partir de 1912[11]. La grande puissance industrielle allemande inquiète les États européens, car les produits allemands inondent les marchés français et britanniques[12]. Cette rivalité économique « (a) contribué à alourdir le climat général entre les deux États et, par là même, à faciliter la rupture[13] ». Quant aux Allemands, ils s’inquiètent de la croissance économique et démographique de la puissance russe

devoir des castes les unes à l’égard des autres, devoirs des dominés par rapport aux dominants et devoirs des dominants à l’égard des dominés. La vigueur de ce « système de castes » a poussé les observateurs britanniques du début du XIXe siècle, époque où l’administration de la Compagnie des Indes cherchait à définir ce que serait son système d’impôt foncier, à parler de « petite république villageoise ». C’était un peu réducteur, car bien des villages n’étaient pas aussi repliés sur eux-mêmes, pas