Compagnon Operatif Spéculatif

au travailleur spéculatif une méthode de travail symbolique précise, ou toutes paroles a été réfléchie, pesée et ce depuis très longtemps, créant une cohésion au sein de la Franc-maçonnerie. Les planches elles sont le présent, le vécu propre à chaque loge. Reflets de chaque frères. Immortalisées sur le poli de chacune de nos pierres. C’est pourquoi je pense que ces planches ont une importance capitale. A l’image des compagnons bâtisseurs, et des anciennes guildes de Maçons opératifs, qui ont un Chef

nouvelle voie s’offre ainsi à l’initié où a celui qui à soif et faim d’une recherche quand aux mystères de la vie, le symbole donne la possibilité d’accéder à la Connaissance. L’équerre est l'outil du compagnon de métier, du maçon opératif par excellence. Sur le plan symbolique ou spéculatif, l’équerre représente la régularité et la perfection des travaux d’un franc-maçon. L’équerre représentant l’honnêteté, la droiture et la vertu, elle est aussi l’insigne du Vénérable Maître. L’équerre doit

un inventeur divin et créateur d’objets magiques. On lui garde le souvenir ancestral d’un artiste sachant se protéger. Les symboles vestimentaires sont peu nombreux au premier degré, mais cependant riches de sens. En tenue, pour les travaux opératifs effectués à l’intérieur d’un chantier les apprentis mettent le tablier blanc autour de leur taille, à l’origine en peau d’agneau. Sa couleur est symbole de pureté et innocence. Elle permet de discerner l’intrusion colorée, et facilite son élimination

cœur même de la Loge dans l’axe Orient-Occident entre le plateau du Vénérable Maître et les deux Colonnes Boaz & Jakin qui entourent l’entrée de notre Temple. Entre la Colonne du Nord où siégent les Apprentis et la Colonne du Midi où siègent les Compagnons. C’est donc à la croisée entre l’Axe Solaire et l’Axe Polaire que se situent les Trois Piliers qui ainsi reçoivent la lumière de l’aurore au crépuscule. Le Pilier « Sagesse » de style ionique se trouve à l’angle Sud-Est… Il est symboliquement

Francs-Maçons ». Trois autres divulgations l’avaient précédée : « La Réception d’un Frey Maçons » en 1737, « La Réception Mystérieuse » en 1738 et « Le Secret des Francs-Maçons » en 1742. Nous reproduisons ici le premier tableau de loge au grade d’Apprentif-Compagnon probablement jamais révélé au grand public français. En n° 15, la légende de ce tableau porte : houppe dentellée. Voici donc la première référence, semble-t-il. Comme toujours, pour percer les mystères des sources françaises de la Franc-Maçonnerie

Avec l'érection des cathédrales au Moyen Age la Pierre est au centre du mythe fondateur de la franc-maçonnerie ; en effet , au Moyen Age , un peu partout en Europe , des ouvriers , apprentis et compagnons parfois devenus maîtres oeuvraient sur les chantiers des cathédrales ; c'étaient des maçons «  opératifs «  , ceux qui édifiaient avec leurs mains des temples matériels ; le soir , après le travail , pour préparer celui du lendemain et instruire les plus jeunes , ils s'assemblaient dans une baraque

l'héritier de ceux-là. Mais il a quitté le chantier opératif (de "operare" : travailler de ses mains) des cathédrales pour s'engager dans le chantier spéculatif (de "speculare" : travailler avec sa pensée) de l'humain. Aujourd'hui, la seule cathédrale à construire est l'homme lui-même, mais rien ne change quant aux méthodes, aux outils. Les tours de main d'antan deviennent des tours d'esprit et de cœur, voilà tout. Cette mutation de l'opératif au spéculatif a commencé dès les XVIIème siècle, et s'est parachevée

La prise de parole, outil du compagnon Ayant fait ma planche de passage d'apprenti au grade de compagnon sur le silence de l'apprenti et ayant été bien silencieuse depuis, puisque presque 4 ans ont passé, j'ai pensé approprier de parler de la prise en parole au grade de compagnon… J’ai voulu approfondir l’étude de cet outil car la prise de parole en Loge n’est pas une chose simple, et pour rappeler que nous sommes ici pour essayer de progresser sur le chemin de la connaissance grâce aux interventions

et de ses raisonnements. Ils symbolisent la pensée juste qui explore différentes possibilités clairement et précisément. Le compas qui sert à la mesure du cercle dévolu au maître est pour l’apprenti la sincérité et la confiance qu’il porte à ses compagnons et à son apprentissage. C’est aussi le respect des autres, de leur langage et de leur maîtrise. L’apprenti ignore l’usage du compas. L’équerre (latin exquadra, équarrir) sert à tracer des angles droits et réunit l’horizontale et la verticale pour

pas il me semble une incitation à tituber, bien que parfois en regagnant les voitures, certains qui ont eu tendance à abuser de nectars viticoles, brassicoles ou encore anisés ont beaucoup de mal à suivre une ligne droite mais ils ne sont pas tous Compagnons. Ce quatrième pas est peut être celui qui nous fait éviter un obstacle avant de reprendre le chemin, droit vers l’Orient. Je dis éviter car le pas étant glissé l’obstacle ne pourrait être surmonté. Ce pas de côté est-ce l’évocation du chancellement