Comparaison Baudelaire Verlaine

jalouse le sort des plus vils animaux Qui peuvent se plonger dans un sommeil stupide, Tant l'écheveau du temps lentement se dévide! Charles Baudelaire C’est le premier poème que j’ai choisi d’incorporer dans cette anthologie car pour moi il représente très bien le spleen et surtout la vision baudelairienne de la chose. Le dit « tourmentée » Baudelaire évoque dans ce poème la mélancolie, l’ennui ainsi que la fuite du temps qui sont des thèmes apparaissant souvent dans ces auteurs du 19ème siècle

defaut………………………………………………………………….9 Paul FORT…………………………………………………………………………………………………...10 Ronde autour du monde…………………………………………….………………………..11 Paul VERLAINE……………………………………………………………………………………………12 Il pleure dans mon cœur………………………………………………………………….……13 Victor HUGO………………………………………………………………………………………………..14 Il dort. Quoique le sort fût pour lui bien étrange… » Les Misérables…………15 Charles BAUDELAIRE…………………………………………………………………………………..16 A une passante…………………………………………………………………………………….17 Arthur RIMBAUD…………………………………………………………………………………………

La Poésie comme tout autre genre a des fonctions bien précises : - émerveiller en jouant sur les sonorités et les rythmes. En utilisant des métaphores, des comparaisons et des hyperboles. Le choix du thème est ici important. (ex : Le thème du voyage dans Parfum Exotique - les Fleurs du Mal de Charles Baudelaire) - polémiquer en mettant un accent sur les valeurs qui motivent son œuvre, sur le vécu du poète (ex : L'appel à la résistance sous l'occupation dans La Rose et le Réséda - La Diane Française

émotions, la nature, l'individualisme et souvent l'aspect irrégulier et imprévisible de la vie. figures de style Métaphore : C'est une comparaison sans outil de comparaison (comme "comme" ou "tel"). Par exemple : "Ses yeux sont deux étoiles." Comparaison : Elle met en relation deux termes avec un outil de comparaison. Par exemple : "Il est courageux comme un lion." Personnification : Elle attribue des qualités humaines à un objet ou à un concept inanimé. Par exemple

quel point se servent-ils de leur différence afin de faire passer des messages aux hommes. Pour commencer, les poètes nous montrent de différentes façon la manière dont ils souffrent de leur différences, on peut d'abord noter la comparaison avec des animaux. Baudelaire se compare à l' « Albatros» car celui-ci subit les moqueries incessantes des hommes se trouvant sur le bateau ou il s'est posé, on peut en déduire qu'il ne peut pas se mêler à la société aisément. Nous avons aussi l'exemple du poème

Question de corpus : Comment se définit le poète maudit ? Nous allons étudier dans ce corpus l’extrait du texte de Baudelaire, Les Fleurs du Mal (1861) intitulé « L’albatros », « Le crapaud » de Tristan Corbière (extrait de Les Amours Jaunes écrit en 1873), un extrait de Poèsies (1845) de Edgar Allan Poe « Le corbeau » et finalement un extrait des Chants de Maldoror (1869) écrit par Lautréamont. Les poètes maudits sont des auteurs torturés, malheureux dans leur vie artistique et personnelle,

compter deux syllabes pour deux voyelles habituellement prononcées en une seule syllabe : c’est la diérèse (« division »). Dans le vers suivant, il faut prononcer vi-olon : - Le vi-olon frémit comme un cœur qu’on afflige. (Baudelaire) - L’ennui, fruit de la morne incuri-o-sité, (Baudelaire) Parfois, il faut lier deux voyelles que l’on prononce habituellement séparément : c’est la synérèse (« rapprochement ») : extasié[zje] : une syllabe = synérèse (extasié[zie] : deux syllabes = diérèse) ou bien : Et le

d’arts poétiques ont fixé l’ensemble des règles à suivre, comme Boileau, théoricien du classicisme au XVII°, dans son traité en alexandrins intitulé Art poétique, ou encore les principes, souvent novateurs, d’une possible création, comme le poème de Verlaine intitulé également « Art poétique » commençant par : « De la musique avant toute chose » pour se terminer sur le vers suivant, qui marque la spécificité du genre poétique : « Et tout le reste est littérature. » D’autres arts poétiques sont présentés

(Émaux et Camées, 1852), Nerval (Les Chimères, 1854) ou Baudelaire (Les Fleurs du mal, 1857) est celle du désenchantement : leurs glorieux prédécesseurs ont tout accompli, ils ont fait du romantisme le courant dominant, et il ne leur reste aucun combat à mener. La tonalité devient plus sombre, la sacralisation du poète est beaucoup moins évidente (on pourra ainsi comparer la « Fonction du Poète » de Hugo – fiche 1 – à « L’Albatros » de Baudelaire – fiche 2), et les poètes font évoluer leur art dans

Symbolisme (1870-1890) I. Contexte historique qui voit naître le mouvement. * Mouvement littéraire et artistique naissant d'une volonté de rupture avec le naturalisme et la poésie parnassienne. + née dans le prolongement de la poésie de Baudelaire (origine Les Fleurs du mal (1857)). * Une réaction contre le : * romantisme (Hugo, Musset, Lamartine, Alfred de Vigny), le culte du moi et l'effusion lyrique. * positivisme et le scientisme (Auguste Comte) : la connaissance