Comparaison Bel Ami Et Le Rouge Et Le Noir

tard Constantin Guys, peintre et graveur, auquel il dédie l’avant- dernier poème des Tableaux parisiens : 2 « Rêve parisien ». Il lui consacre également un essai intitulé : Le peintre de la vie moderne. Il reste à distance du réalisme et de son ami Gustave Courbet pour des raisons autant idéologiques qu’esthétiques. Après la révolution de 1848, Baudelaire se replie dans la solitude, il méprise sinon l’humanité souffrante, du moins « la canaille ». En effet, si Baudelaire participe à la révolution

Octave. OCTAVE .mdash ; Comment se porte, mon bon Monsieur, cette gracieuse mélancolie ? COELIO .mdash ; Octave ! Ô fou que tu es ! Tu as un pied de rouge sur les joues ! - D’où te vient cet accoutrement ? N’as-tu pas de honte en plein jour ? OCTAVE .mdash ; Ô Coelio ! Fou que tu es ! Tu as un pied de blanc sur les joues ! - D’où te vient ce large habit noir ? N’as-tu pas de honte en plein carnaval ? COELIO .mdash ; Quelle vie que la tienne ! Ou tu es gris, ou je le suis moi-même. OCTAVE .mdash ; Ou tu

(Entre Octave.) OCTAVE. – Comment se porte, mon bon Monsieur, cette gracieuse mélancolie ? COELIO. – Octave ! ô fou que tu es ! tu as un pied de rouge sur les joues ! – D’où te vient cet accoutrement ? N’as-tu pas de honte en plein jour ? OCTAVE. – Ô Coelio ! fou que tu es ! tu as un pied de blanc sur les joues ! – D’où te vient ce large habit noir ? N’as-tu pas de honte en plein carnaval ? COELIO. – Quelle vie que la tienne ! Ou tu es gris, ou je le suis moi-même. 9 OCTAVE. – Ou tu

quelqu'un m'a aimée Comme les enfants qui s'aiment Simplement savent aimer Aimer aimer... Pourquoi me questionner Je suis là pour vous plaire Et n'y puis rien changer. Ce poème est en vers libre, il contient une figure de styles: la comparaison. 2.a Ce poème évoque le bistro. ET LA FETE CONTINUE Debout devant le zinc Sur le cou pde dix heures Un grand plombier Zingueur Habillé en dimanche et pourtant

Entre Octave. OCTAVE.—  Comment se porte, mon bon Monsieur, cette gracieuse mélancolie ? COELIO.—  Octave ! Ô fou que tu es ! Tu as un pied de rouge sur les joues ! - D’où te vient cet accoutrement ? N’as-tu pas de honte en plein jour ? OCTAVE.—  Ô Coelio ! Fou que tu es ! Tu as un pied de blanc sur les joues ! - D’où te vient ce large habit noir ? N’as-tu pas de honte en plein carnaval ? COELIO.—  Quelle vie que la tienne ! Ou tu es gris, ou je le suis moi-même. OCTAVE.—  Ou tu es amoureux

? (Entre Octave.) OCTAVE. − Comment se porte, mon bon Monsieur, cette gracieuse mélancolie ? COELIO. − Octave ! ô fou que tu es ! tu as un pied de rouge sur les joues ! − D'où te vient cet accoutrement ? N'as−tu pas de honte en plein jour ? OCTAVE. − O Coelio ! fou que tu es ! tu as un pied de blanc sur les joues ! − D'où te vient ce large habit noir ? N'as−tu pas de honte en plein carnaval ? COELIO. − Quelle vie que la tienne ! Ou tu es gris, ou je le suis moi−même. OCTAVE. − Ou tu es amoureux,

Octave. OCTAVE .mdash ; Comment se porte, mon bon Monsieur, cette gracieuse mélancolie ? COELIO .mdash ; Octave ! Ô fou que tu es ! Tu as un pied de rouge sur les joues ! - D’où te vient cet accoutrement ? N’as-tu pas de honte en plein jour ? OCTAVE .mdash ; Ô Coelio ! Fou que tu es ! Tu as un pied de blanc sur les joues ! - D’où te vient ce large habit noir ? N’as-tu pas de honte en plein carnaval ? COELIO .mdash ; Quelle vie que la tienne ! Ou tu es gris, ou je le suis moi-même. OCTAVE .mdash ; Ou tu

exploration personnelle -> romantisme, réalisme, naturalisme. On considéra le romancier comme un témoin de son époque. ← Chateaubriand : René ← Stendal : Le rouge et le noir ; La chartreuse de Parme ← Victor Hugo : Les misérables ; Le dernier jour d’un condamné ← de Balzac : Le père Goriot ; Peau de chagga ← Maupassant : Bel ami ; Pierre et Jean ; Une vie. C’est l’auteur le plus proche du roman moderne, ses visions ne sont pas sentimentales mais réalistes voire cyniques. ← Flaubert : Madame

existence, il écrit ses mémoires, Sa vie à ses enfants (Constant, Marie et Louise), pour leur montrer « sa gloire » et « ses fautes » et leur être par là-même un exemple profitable. [pic] J’aime ce poème, la comparaison entre lui et un squelette « décharné, dénervé, démusclé, dépulpé ». Cette comparaison donne de la gravité et de la réalité a ce poème. Je n’ai plus que les os Je n’ai plus que les os, un squelette je semble, Décharné, dénervé, démusclé, dépulpé, Que le trait de la mort sans pardon

=> Guerre civile enclenchée jusqu’en 1939 où Franco l’emporte et instaure une dictature. Description & Explication http://sylvain.weisse.pagesperso-orange.fr/guernica/comprendref.htm => excellent lien -Guernica est en noir et blanc (monochrome) => Le noir symbolise le mal, la souffrance, la mort, le blanc symbolise l’espoir / Monochromie => Presse ou austérité, gravité du sujet -A gauche une femme porte son enfant mort. Les femmes + l’enfant = souffrance de la population civile