Comparaison De Bardamu Et De Robinson

l’usage de la langue française dans ses œuvres. Son premier roman « voyage au bout de la nuit » connait un grand succès. Il s’inspire de la guerre qu’il a vécue et dont il a tiré une expérience. Ce roman nous raconte les années d’errances de Ferdinand Bardamu, l’anti héros par excellence. Au sein de son œuvre, il renouvelle les codes du récit romanesque traditionnel. Problématique : Comment le personnage de Céline dans ce texte dégage l’image parfaite de l’anti héros au XXème siècle ? Nous verrons

enclenchement d'une accumulation , gradation d'idée. 8. A partir du vers 30 : champ lexical de la folie (la « Furie » désigne aussi la déesse qui poursuit les gens responsable de crimes horribles). 9. Allitération en [f] : donne un effet de balayage. Comparaison de la France à un poulain. 1. Poulain : animal jeune, qui n'est pas éduqué. France comparée a un poulain → nation rebelle et jeune qui a besoin d'éducation. 2. Message d'espoir car le poulain est domptable. 3. Argumentation efficace car il s’appuie

Ferdinand Bardamu, dans Voyage au bout de la nuit, se décrit lui de façon péjorative avec beaucoup de ponctuation et de courtes phrases («D’abord pour endurer davantage j’étais plus prêt non plus !... Et cependant j’avais même pas été aussi loin que Robinson moi dans la vie !... J’avais pas réussi en définitive.», l. 6-8), ce qui reflète son manque d’éducation. Robinson, que le narrateur évoque plusieurs fois dans l’extrait, est en quelque sorte son double, ce qui lui permet de faire la comparaison entre

l'indifférence (Albertine disparue). Mais il est un autre point qui permet de le comparer à Swann: il s'agit de ses goûts artistiques. Comme lui, il est passionné par Elstir, l'église de Balbec, les romans de Bergotte et les œuvres de Vinteuil. Pourtant, la comparaison s'arrête là. En effet, comme Charlus, Swann est et reste un dilettante: jamais il ne fait paraître son étude sur Vermeer pour la bonne raison qu'il n'a jamais repris son travail . A leur différence, le narrateur devient un créateur à partir du moment

Progrès et la confiance en la Raison qui avaient guidé le XIXème siècle. C'est pourquoi, sans doute, l'évolution intellectuelle de l'époque fut marquée par un scepticisme généralisé et une crainte profonde pour l'avenir. On notera, d'ailleurs, que Bardamu, dans Voyage au bout de la nuit devait suivre le même parcours : partant de la guerre, qui faisait office d'épreuve initiatique, il perdait toute foi en la rationalité et laissait s'insinuer en lui une révolte qui condamnait son époque, pur fruit

Progrès et la confiance en la Raison qui avaient guidé le XIXème siècle. C'est pourquoi, sans doute, l'évolution intellectuelle de l'époque fut marquée par un scepticisme généralisé et une crainte profonde pour l'avenir. On notera, d'ailleurs, que Bardamu, dans Voyage au bout de la nuit devait suivre le même parcours : partant de la guerre, qui faisait office d'épreuve initiatique, il perdait toute foi en la rationalité et laissait s'insinuer en lui une révolte qui condamnait son époque, pur fruit

Toute infraction à ce modèle (par exemple une situation finale qui reste déséquilibrée) est particulièrement significative. Un "processus de transformation" fait donc passer le personnage d'un "état initial" à un "état final" (T.F.1 p. 33-4). La comparaison entre la première et la dernière page d'un roman (ou d'une nouvelle) permet de mesurer la "transformation" accomplie. III Les récits encadrés : le récit enchâssé et la mise en abyme 1° Le "récit enchâssé" : Le récit peut être encadré

de la tradition épique? Mais dans cette hypothèse, quid des personnages de comédie, des prolétaires naturalistes et de tant de protagonistes « sans qualités » (Robert Musil, L'Homme sans qualités, 1930-1943), pour ne rien dire des anti-héros – de Bardamu à Molloy ? Si ce sont des héros malgré tout, en fonction de quels critères peut-on les identifier en tant que tels? Y aurait-il plusieurs manières d'être un héros? Si ce dernier n'est plus un homme d'exception, comme nous le verrons pour commencer

chassieux, puceux, transis, qui ont échoué ici poursuivis par la faim, la peste, les tumeurs et le froid, venus vaincus des quatre coins du monde. Ils ne pouvaient pas aller plus loin à cause de la mer. C’est ça la France et puis c’est ça les Français. – Bardamu, qu’il me fait alors gravement et un peu triste, nos pères nous valaient bien, n’en dis pas de mal !… Et d’ailleurs le jour où la patrie me demandera de verser mon sang pour elle, elle me trouvera moi bien sûr, et pas fainéant, prêt à la donner. »

Sartre dit ce qui répugne Genet chez juif est la preuve des qualités chez ce peuple. Littérature globalement de réprouvés, s’attache à travailler sur le thème du bannissement. Textes qui relèvent du forçat. Littérature des réprouvés, des bannis. Comparaison entre Céline et Genet = revendication du bannissement, identité qui se constitue dans bannissement. Perso de Princhard chez Céline (professeur mais banni car a volé = revendique cette indignité pour se soustraire à la guerre, au combat, et il fait