Comparaison Entre Marx Nietzsche

l'évidence sur laquelle repose la société marchande. Tout, qu'il s'agisse de biens ou de services, pourrait s'acheter, pour peu qu'on consente à y mettre le prix. Or le principe de l'achat et de la vente est celui de l'équivalence entre les choses échangées. On entre dans la société marchande lorsque, du fait de la division du travail, chaque homme ne peut subsister que par un système d'échanges, et devient ainsi, de fait, une sorte de commerçant. Or l'échange n'a de sens économique que si

indifférent l’acte de tuer, l’analyse absurde, dans la plus importante de ses conséquences, finit par le condamner. La conclusion dernière du raisonnement absurde est, en effet, le rejet du suicide et le maintient de cette confrontation désespérée entre l’interrogation humaine et le silence du monde[i]. Le suicide signifierait la fin de cette confrontation et le raisonnement absurde considère qu’il ne pourrait y souscrire qu’en niant ses propres prémisses. Une telle conclusion, selon lui, serait fuite

à l’observateur. Elle englobe d’une part tout le savoir et tout le savoir-faire que les hommes ont acquis afin de dominer les forces de la nature [...] et d’autre part, tous les dispositifs qui sont nécessaires pour régler les relations des hommes entre eux et en particulier la répartition des biens accessibles. » EXTERIEUR / INTERIEUR * Cette intériorité donne naissance à la loi (tout d’abord incarnée par la religion) Fait culturel : travail sur soi et sur l’extérieur qui est permanent

qu'avec tous ses semblables, ils créent une unité d'ensemble 2. Une société sans travail, laissant place uniquement aux plages de loisirs, est bénéfique pour l'homme 3. Le bon fonctionnement de la société ne peut résulter que d'une alliance entre le travail et les loisirs Extrait du document: En travaillant l'homme s'intègre dans un groupe d'individus et possède ce que l'on appelle une vie sociale. Sans travail, il s'isole et se coupe de la vie active. Le travail est en sorte un

plus le radicalisme de la révolution française a aggravé la division entre les citoyens.La république française a du se fonder dans la violence car elle s’est fondée contre la tradition qui est la monarchie. Selon Benjamin Constant le «despotisme populaire» a succédé au «despotisme héréditaire». Le «despotisme populaire » conduit selon Constant soit à une anarchie, soit au pouvoir de tous sur tous. Il propose une synthèse entre la monarchie et le principe démocratique. Il suggère en effet une instance

il ne serait pas parfait, donc, il existe. « Mais moi, qui suis-je ? ... Je ne suis qu'une chose qui pense. » Selon Descartes, l'âme seule pense et le corps assume, seul, les fonctions vitales. Descartes établit une division radicale (dualisme) entre l'âme et le corps. — À l'image d'un automate, l'homme en tant que corps obéit aux règles de la mécanique. Tout ce que produit le corps : émotions, sentiments, images, peut être expliqué mécaniquement de la même manière que nous le ferions pour une

suis-je », ainsi que sur la question du désir de reconnaissance ? 6) Qu’est ce que la chosification ? Quel philosophe a développé cette idée ? La chosification développée par Sartre dans L’Être et le néant désigne un processus de reconnaissance entre moi et autrui : en effet, je n’existe que sous le regard de l’autre, et ce regard n’est pas dénué de jugement. Lorsqu’autrui me regarde, il me fait exister mais il me juge, et lorsqu’il me juge, c’est tout comme si mon existence était réduite qu’à

ressemblances d’ordre physiologique (biologique) ainsi que celles d’ordre psychologique (social). Dans le premier cas, le cours d’éducation physique, soit santé et activité physique nous a permis de mettre de l’avant la composition physique des hommes en comparaison avec celle des femmes. Nous avons vu que bien que nous étions tous des êtres humains, les hommes et les femmes ne se développaient pas de la même façon et ne possédaient pas tous les mêmes atouts physiques. Par exemple, certains muscles sont beaucoup

L’Histoire universelle ne se résume-t-elle point, en définitive, à une succession de rapports de force entre individus, nations, idées, où les notions du bien et du mal ont toujours été des notions mutables ? On aimerait pouvoir définir le bien et le mal avec suffisamment de précision pour œuvrer à une amélioration de l’humanité entière. Très rapidement cependant, on achoppe sur des intérêts divergents entre individus, communautés ou nations, qui ne donnent pas le même sens aux mots, aux valeurs, à l’Histoire

des réalités comme les autres ? Sujet 3 Un texte d'Aristote sur la responsabilit individuelle (la morale, la liberté Série ES Sujet 1 Peut-on en finir avec les préjugés ? Sujet 2 Que gagnons-nous à travailler ? Sujet 3 Un texte de Nietzsche sur la mauvaise action (la morale, la libert Série S Sujet 1 Le désir peut-il se satisfaire de la réalité ? Sujet 2 Que vaut l'opposition du travail manuel et du travail intellectuel ? Sujet 3 Un texte de Hume sur la justice Séries