Comparaison Keynes Et Friedman

ultralibéralisme Texte pédagogique Mise à jour : 24/03/2009 Définitions politique et économique du libéralisme. Analyse des transitions vers le keynésianisme puis le monétarisme. Définitions et critiques du néolibéralisme et de l'ultralibéralisme ; comparaisons avec le socialisme et le communisme. Cas particulier de la France. Ce texte constitue une initiation à l'économie de marché. Table des matières 1. Libéralisme ................................................................................

Editions Hatier La flexibilité du travail peut-elle permettre de lutter efficacement contre le chômage? BIEN COMPRENDRE LES DOCUMENTS Document 1 • Mots-clés - emploi - taux de chômage • Comment exploiter le document ? L'intérêt des comparaisons internationales est parfois modéré par la différence des critères retenus pour mesurer le chômage. Par exemple, aux États-Unis, les chômeurs découragés sont mal pris en compte. Comme le document mentionne l'emploi et le chômage en 1985 et 1995, le candidat

jusqu’à l’entre-deux-guerres aux fonctions régaliennes ( justice, police , armée), les fonctions de l’Etat ont connu une profonde évolution à la suite de la crise économique de 1929, du développement de l’Etat-providence et l’influence des idées de Keynes . 1.3.1.1 L’économiste américain Richard Musgrave ( 1910-2007) a proposé une typologie pour définir les trois principales fonctions de l’Etat La fonction de répartition. ou de répartition des revenus qui vise à réduire les inégalités économiques

bénéfices mal partagés ! Intégration : Les migrations sont le facteur principal d’intégration dans la mondialisation pour les SUD (plus fort que les IDE, la finance et la technologie) bien qu’elles soient limitées par pour les pays pauvres en comparaison aux pays intermédiaires. Mais en même temps, les SUD fournissent un facteur travail stable alors que les NORD envoient des flux d’IDE beaucoup plus volatiles. D’ailleurs on peut parler d’une insertion biaisée, dans la mesure ou les transferts

classique et introduisent la notion de marge, c’est la théorie marginaliste, selon eux l’homme est rationnelle est son calcul lui permet toujours d’atteindre l’équilibre. 3- Le courant keynésien John Maynard Keynes (1883-1946), Joan Robinson (1903-1983), Nicolas Kaldor (1908-1986). Keynes est connu pour avoir dit « à long terme on sera tous mort » donc vaut mieux étudier le moment présent, et à court terme les prix sont fixes. Il reprend la théorie smithienne et va essayer de la critiquer et il

rigidité des salaires réels et le chômage d’exclusion c’est-à-dire celui des individus qui ont une productivité inférieure au salaire proposé et qui sont considérés par les entreprises comme inemployables. 3. Les explications du chômage par Keynes : Pour Keynes, le niveau de l’emploi dépend du niveau de production, pour un niveau de productivité et une durée annuelle du travail donnés, qui lui-même dépend du niveau de la « demande effective » des entrepreneurs. Cette "demande effective" correspond

macro-économique néoclassique 26 A- Les hypothèses 26 B- Le marché du travail 27 C- Le marché du capital ou marché des fonds traitables 28 Section 2 : L'approche keynésienne de l'équilibre macro-économique 28 I- Les prédécesseurs 29 II- Le système de Keynes 30 Chapitre 4 : le modèle IS/LM 33 Section 1 : Politique économique et rôle des anticipations 33 I- Les différents types d'anticipation 33 A- Les anticipations extrapolative 33 B- Les anticipations adaptative 34 C- Les anticipations rationnelles

barrières) Homogénéité des produits Transparence des marchés Mobilité des facteurs de production (K : capital ; L : travail) L’hypothèse de concurrence pure et parfaite suppose donc la flexibilité des prix. IV) L’analyse Keynésienne Contexte : Keynes (1883 † 1945) observe la crise des années 1930 et analyse l’échec du « laisser faire, laisser passer ». Il montre les défaillances du marché et justifie l’intervention de l’état. Il ne raisonne plus en termes de marchés mais sous l’angle de circuits

besoin de sécurité, besoin d’appartenance, besoin de reconnaissance, besoin d’accomplissement personnel.  Classique : A. Smith, D. Ricardo, J.B. Say, J.S. Mill, T. Malthus  Néo-Classiques : L. Walras, V. Pareto, Arrow et Debreu, Friedman, F. Hayek  Keynésiens : J.M. Keynes  Synthèse : J. Stiglitz, P. Krugman Capitalisme : C’est la recherche du profit, l’accumulation des capitaux privés investis. Se caractérise par : Le salariat : c’est l’exploitation de l’homme par l’homme. Karl Marx : Rémunération

emploi-ressources suivant : PIB = C + FBCF + variations des stocks (comptabilité nationale) Cette équation sera le point de départ de la macro-économie. Cette macro-économie ne peut pas se passer des travaux de KEYNES. Pour lui, l’équation de base est : Y = C + I soit revenu = conso + investissement. KEYNES introduit dans la théorie générale la notion de capital liquide (= la production prête à être vendue, par exemple : des voitures fabriquées en décembre 2012 et vendues en 2013 appartiendront au capital