Comparaison Keynes Et Friedman

nombreux changements dans les dispositifs de soutien au bas revenu et en particulier des réformes de protection sociale. Ces réformes mis en œuvre pour favoriser le retour à l’emploi s’inspire du principe de l’impôt négatif qui a été introduit par Friedman (1962). Ces dispositifs renvoient à un changement logique des systèmes de protections sociales marquées notamment par le rejet des politiques traditionnels d’assistance qualifiée de Welfare) à celle de Worfare. L’idée de base de ce concept est

cela des économistes classiques qui vont fonder le libéralisme. Si le rapport théorique n’est pas décisif, leur politique économique violemment condamnée depuis le courant libéral à fait recette et on reconnait certains termes mercantilistes chez Keynes. 1) Les Physiocrates : la richesse vient de la terre, liberté du commerce. Les auteurs Physiocrates sont : ⁃ François Quesnay (1694-1774) : Economiste français. Il fait publier un tableau économique où il y représente l’économie comme un

d’autres paiements contractuels ; * fixation du taux d’imposition ; * calcul de la PPA. La conversion du prix d’un produit libellé en monnaie domestique(FCFA) en une devise fait intervenir le taux de change bilatéral. Pour effectuer des comparaisons internationales sans risque de se tromper, on utilise la Parité du Pouvoir d’Achat (PPA) qui de nos jour retrouve un regain d’intérêt. Deux versions de la PPA existent : la PPA absolue et la PPA relative. L’idée de base dans la forme absolue de

de budget pour la valeur du taux d'intérêt affiché par le marché indique la richesse du consommateur : W = R1 + R2 (1+r)-1 = 10 000 + (5000 / 1,05) = 14 762 Cette notion de richesse ainsi définie en termes d'actualisation est celle qu'utilise M. Friedman dans sa théorie du revenu permanent. Signalons également que le point de coordonnées (10 000 ; 5 000) délimite deux portions de la droite de budget : à droite se trouve l'espace d'emprunt (puisque C1 > R1) et à gauche se trouve l'espace d'épargne

% 10,990 La différence : 10,4 – 3,5 = 6,9 % représente l’effet de l’inflation. Le calcul des taux de croissance sert à : ∗ Comparer les performances d’une nation durant une période donnée : comparaison temporelle. ∗ Comparer les performances des pays les uns par rapport aux autres : Comparaison spatiale. Cas de la Tunisie En Millions de Dinars Année 2000 Année 2001 PIB aux prix courants 26685,3 28737 PIB aux prix constants de 1990 17181,2 18020,2 Taux de croissance aux prix courants

forme de discours volontaristes bien que quelques mesures contraignantes, nous le verrons, commencent à voir le jour. Face à ce constat quelque peu alarmiste, d’aucuns n’hésitent pas à annoncer la fin de l’autorégulation des marchés, la « Revanche de Keynes »12 voire la chute du « mur de Berlin du capitalisme »13. Quoi qu’il en soit, le monde est à la recherche d’une alternative à l’ultralibéralisme et interroge pour se faire le rôle de l’entreprise et notamment des multinationales. « La globalisation

allocation des ressources en éliminant ou en diminuant les défaillances du marché. Mais beaucoup d’économistes contestent que les pouvoirs publics puissent effectivement améliorer cette allocation. Les économistes libéraux ou néoclassiques (Milton Friedmann ou James Buchanan), avancent même que l’Etat à plus de chance d’aboutir à une moins bonne allocation des ressources que ne le ferait le marché. Dans un premier temps nous analyserons les arguments en faveur de la supériorité du marché, et dans un

calcul de l’utilité à la fois des offreurs et des demandeurs qui, à l’équilibre détermine le niveau de plein emploi qui est la situation où toute la population active occupe un emploi. Puis, nous avons la macroéconomie de l’emploi par l’apport de Keynes qui considère ce marché comme différent des autres. Cette différence repose, d’une part, sur un fonctionnement de marché basé sur des contrats entre l’employeur et l’employé portant sur un salaire rigide à la baisse et non réel. D’autre part, l’équilibre

Les dépenses : il faut répartir ses dépenses car le budget est limité. C’est vrai pour les ménages mais aussi pour les entreprises et pour l’Etat (bien que ces trois acteurs économiques aient de nombreuses divergences et qu’il faille se méfier des comparaisons). La science économique devient donc bien plus large que la simple gestion des richesses et touche des problèmes également politiques et sociaux. 1.2– Les grands courants de la pensée économiques : Les conclusions auxquelles on parvient dépendent

économique 6 a. La naissance de l'économie avec Adam Smith 6 b. L'économie pour les classiques: de Say à Ricardo 7 c. L'économie selon Marx 8 d. L'économie marginaliste ou néoclassique 8 e. L'économie selon Keynes 9 f. L'économie pour les monétaristes 9 g. L'économie des déséquilibres 10 h. La microéconomie et la macroéconomie 10 III. Le capitalisme 11 a. Les fondements du capitalisme 11 b. Histoire du capitalisme