Comparaison La Démocratie Et Le Totalitarisme

Eyrolles VII ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ SOMMAIRE INTRODUCTION .............................................................................................. THÈME 1 – LA DÉMOCRATIE 1. La démocratie dans le monde d’aujourd’hui ..................................... 2. Religion et politique ................................................................................ 3. Bonheur et politique ........................................

politique ». • Le XX° s : une histoire éclatée - l’enseignement primaire : une hist autre Tant que le débat politique restait limité aux notables, l’hist concernait l’élite cultivée et n’avait de place que dans l’enseignement secondaire # avec la démocratie, la politique devient l’affaire de tous, et la question se pose de l’hist dans le Primaire. ! les républicains comptent sur l’hist pour développer le patriotisme et l’adhésion aux institutions cf Lavisse : « l’amour de la patrie ne s’apprend ps

l’histoire ?  » revêt donc un enjeu de toute première importance, enjeu à la fois métaphysique, politique et éthique. Comment, en effet, penser le sens et le progrès historique sans tomber dans le nihilisme, le dogmatisme, le scientisme ou le totalitarisme ? I) LA CONNAISSANCE HISTORIQUE Pourquoi écrire l’histoire ? Pourquoi l’homme s’intéresse-t-il à son passé ? Pourquoi cherche-t-il à le connaître et pourquoi l’aime-t-il autant ? En qoui peut-on dire que l’histoire est-elle une science

militaires ont gains de cause alors que les bourreaux non) -les doctrines du D naturel seraient inutiles. Mais cependant il a servis à défendre les D des H dans les anciens temps. Le D supérieur peut autoriser le D naturel. Valeur différente égal démocratie autour duquel les H se mettent d’accord. Le D naturel n’est non seulement pas perçu de la même facon selon les individus et de plus le vocabulaire s’y rapportant n’est pas le même. §2 : Les positivismes Les positivismes naissent au 19e siècle

les instants qui suivent la fin de la guerre, toutes les rues sont envahies par la foule. A Manhattan, 2 millions de personnes se rassemblent à cet endroit. Il y a un écran géant avec écrit V-J Day. C’est le triomphe de l’armée américaine sur le totalitarisme et l’armée japonaise. La Deuxième Guerre mondiale devient la bonne guerre en opposition à la sale guerre (Vietnam). Pour la dernière fois de leur existence, les américains n’ont aucun doute sur leurs actions. Ils sont vus comme des libérateurs

de se généraliser au plus grand nombre dans le courant du XIXe siècle[53]. Pour Colette Guillaumin ce mode de perception se généralise au tournant des XVIIIe siècle et XIXe siècle[54]. Dans la première partie de son ouvrage Les origines du totalitarisme, Hannah Arendt date l’apparition de l’antisémitisme, qu’elle différencie de l’antijudaïsme, du début du XIXe siècle ; c’est aussi la date d’origine qu’assigne le philosophe Gilbert Varet aux « phénomènes racistes expressément dits »[55]. La

avant de se généraliser au plus grand nombre dans le courant du XIXe siècle57. Pour Colette Guillaumin ce mode de perception se généralise au tournant des XVIIIe siècle et XIXe siècle58. Dans la première partie de son ouvrage Les origines du totalitarisme, Hannah Arendt date l’apparition de l’antisémitisme, qu’elle différencie de l’antijudaïsme, du début du XIXe siècle ; c’est aussi la date d’origine qu’assigne le philosophe Gilbert Varet aux « phénomènes racistes expressément dits »59. La propagation

Molotov et Staline Dans les années 1930, la politique extérieure de Staline est à géométrie variable. Tout d’abord, lors du VIIe congrès du Komintern en août 1928, il impose la politique « classe contre classe » aux partis communistes. La social-démocratie, qu'il a qualifiée d'« aile modérée du fascisme », est considérée comme l'ennemi prioritaire, et toute entente même tactique avec elle est prohibée. Cette politique conduit le Parti communiste français à son pire isolement de l'Entre-deux-guerres

avant de se généraliser au plus grand nombre dans le courant du XIXe siècle[24]. Pour Colette Guillaumin ce mode de perception se généralise au tournant des XVIIIe siècle et XIXe siècle[25]. Dans la première partie de son ouvrage Les origines du totalitarisme, Hannah Arendt date l’apparition de l’antisémitisme, qu’elle différencie de l’antijudaïsme, du début du XIXe siècle ; c’est aussi la date d’origine qu’assigne le philosophe Gilbert Varet aux « phénomènes racistes expressément dits »[26]. La propagation

était au-dessus de la plupart des têtes, et entre quelques mains. Alors nous chercherons à préciser les enjeux du principe de laïcité, fondamental dans l’histoire sociale et politique de la démocratie en France. Par laïcité il faut entendre la mise en œuvre pratique de la souveraineté du Peuple. La démocratie pense les principes de cette souveraineté, la laïcité en construit les fondements. En France elle s’affirme par exemple par l’instruction publique. Nous verrons que la constitution de la laïcité