Comparaison Mussolini Staline Hitler

en Chine dans les années 1930 auraient fait au moins autant de victimes. Le totalitarisme se développe : En Italie Mussolini consolide son pouvoir, en Allemagne Hitler en devenant chancelier du Reich, mène le régime nazi vers la dictature (propagandes, ouverture de camps de concentration, invasions...), Franco prend le pouvoir à la suite de la Guerre civile espagnole, et Joseph Staline, élimine tous ses opposants lors des grandes Purges. Les politiques sont tournées vers le réarmement. Dans les colonies

l'estrade pour gueuler... à tous les échos, urbi et orbi : "Moi j'en suis !... moi j'en croque !... j'en avale tout cru !... que je m'en ferais mourir !..." Non ! Non ! Non ! J'ai jamais micronisé, macronisé dans les meetings !... Je vous adore mon Staline ! mon Litvinoff adoré ! mon Comintern !... Je vous dévore éperdument ! Moi j'ai jamais voté de ma vie !... Ma carte elle doit y être encore à la Mairie du "deuxième"... J'ai toujours su et compris que les cons sont la majorité, que c'est donc

d’avoir été abandonné. Il n’y a donc plus de preuves, mais la foi et le mystère, que les révoltés repoussent, et que les Grands Inquisiteurs bafouent. Tout est permis et les siècles du crime se sont préparés à cette minute bouleversée. De Paul à Staline les papes qui ont choisi César ont préparé la voie aux Césars qui ne choisissent qu’eux-mêmes. L’unité du monde qui ne s’est pas faite avec Dieu tentera désormais de se faire contre Dieu. Mais nous n’en sommes pas encore là. Pour le moment, Ivan

foudroyants de la guerre-éclair nazie en Europe 1. Un choix stratégique : la guerre-éclair Choix de Hitler : le Blitzkrieg. On utilise l'effet de surprise et la vitesse, et on fonce sur l'ennemi avec des divisions blindées (panzerdivisionen) appuyées par l'aviation (stukas). Une telle guerre repose sur la puissance industrielle et suppose une longue préparation : c'est ce qu'a fait Hitler à partir de 1934. En face, le choix français est celui de la défensive, symbolisé par la ligne Maginot

le temps nécessaire à l’opération de liquidation de la bourgeoisie et à ce stade, il faut bien constater qu’il n’y a pas de libertés réelles consenties au peuple mais qu’au contraire, c'est le temps de l’oppression et de la violence. Lénine meurt, Staline le remplace , et lui, constate que la théorie marxiste du dépérissement de l’état ne marche pas et qu’au contraire il faut procéder au renforcement de l’état pour permettre l’avènement définitif de la société socialiste et c'est ainsi que l’union

période un peu plus courte : des années 1930 aux trente glorieuses (début 1945-1947). Au début des années 1930, dans l’Europe entière (et même depuis les années 1920) on a la montée du fascisme (années 1920 en Italie arrivée de Mussolini ; années 1930 en Allemagne Hitler prend le pouvoir). On a dans l’ensemble de l’Europe (et en France aussi), une montée des fascismes, par le développement de « ligues ». Arrive ce moment clé pour l’histoire de France et du mouvement syndical, qu’est l’émeute du 6

j’étais un leader arabe, je ne signerais jamais un accord avec Israël. C’est normal, nous avons pris leur pays. C’est vrai que Dieu nous l’a promis, mais en quoi cela les concerne ? Notre dieu n’est pas le leur. Il y a eu l’antisémitisme, les nazis, Hitler, Auschwitz, mais était-ce de leur faute ? Ils ne voient qu’une seule chose : nous avons volé leur pays. Pourquoi devraient-ils l’accepter ?David Ben Gurion, le premier ministre israélien, cité par Nahum Goldman dans le paradoxe juif, p. 121. « Nous

tenté à tord de penser que Montesquieu a été le premier libéral de la pensée politique. Cela est faut puisque Aristote en fait les prémices. CHAPITRE 3 : La pensée politique romaine. Introduction La pensée romaine peut sembler pauvre en comparaison avec la pensée grecque. En effet, les romains étaient avant tout des hommes d’action et non de réflexion. La politique romaine était une politique de conquête. Cette volonté de conquête s’est accompagnée d’un vide culturel. En schématisant, il s’avère

proches ceux-là, et sans cesse ravivés par l'expérience présente, comme le seraient des blessures chaque jour rouvertes. Les bruits qui couraient au chantier, du débarquement en Normandie, de l'offensive russe et de l'attentat manqué contre Hitler, avaient fait jaillir en nous des espoirs violents mais éphémères Jour après jour, en chacun de nous, les forces diminuaient, la volonté de vivre s'effritait, l'esprit s'obscurcissait. Et puis la Normandie et la Russie étaient si loin et l'hiver si

cruels et proches ceux-là, et sans cesse ravivés par l'expérience présente, comme le seraient des blessures chaque jour rouvertes Les bruits qui couraient au chantier, du débarquement en Normandie, de l'offensive russe et de l'attentat manqué contre Hitler, avaient fait jaillir en nous des espoirs violents mais éphémères Jour après jour, en chacun de nous, les forces diminuaient, la volonté de vivre s'effritait, l'esprit s'obscurcissait Et puis la Normandie et la Russie étaient si loin et l'hiver si