Compétition interspécifique

espèces. Potentiel = capacité de reproduction ; dissémination ; possibilités évolutives => facteurs intrasèques. On va avoir une sorte de filtre, réalisé par les facteurs du milieu (facteurs extrasèques). Co-actions entre les espèces, compétition entre les espèces, prédation, parasitisme. Si on tient compte juste des facteurs propres, et qu'on élimine tous les facteurs du milieu, on va avoir une distribution potentielle. Mais si on rajoute les facteurs du milieu, et qu'on rajoute les

être tués par des lions, des tigres, des crocodiles, des lycaons, voire par une troupe de babouins ou des chimpanzés. Les jeunes peuvent être tués par d'autres léopards32. À l'inverse, le léopard est une menace pour les lionceaux33. La compétition interspécifique est faible avec le lion, ce dernier s'attaquant à des proies plus grosses que le léopard29. La coexistence avec le tigre est plus difficile car ce dernier peut s'approprier les proies du léopard. Lorsque les tigres sont présents, le léopard

alimentation non continue : c’est une fonction très importante car elle permet de dissocier des phases d’activité phases de recherche et de collecte active dissociées des phases de digestions et les activités diurne et nocturne, permet d’éviter la compétition entre prédateurs. Certains on accès aux ressources ou abondance aléatoire comme les sangsues (animaux hématophages) elles ont des structure qui permettent de stocké le sang. En plus le sang est un aliment difficile à digérer et ces structures de

de Classe IE 80 70 60 50 40 30 20 10 0 10th Generation 20th Generation 40th Generation Generations samedi 29 mai 2010 Mais aussi... Autres changements apparus : Comportementaux : augmentation de la durée de la période de socialisation interspécifique, aptitude à suivre les signaux humains Morphologiques : dépigmentation, oreilles cloquées, queue raccourcie ou enroulée, apparition d’un stop, corps et volume du cerveau plus petits Physiologiques : diminution de l’activité de l’axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien

etc.        ­Comprendre les adaptations  des végétaux à différents  types  de  sols :  hydrophytes,  xérophytes,   plantes  halophiles, calcicoles, etc.            ­Définir la niche écologique    ­Expliquer  les  relations  d’indépendance,  de  compétition,  de   parasitisme,  de  prédation,  d’antagonisme, de coopération, de symbiose.    ­Décrire  un  exemple  de  régulation  de  populations  prédateurs­pries.  13            1. Influence des facteurs climatiques    ● sur les végétaux    ● sur les animaux 

certains flux de matière ; - elles permettent la vie en conditions hostiles ; - elles assurent une protection contre les parasites (et peuvent donc modifier des chaînes trophiques) ; - elles peuvent modifier le résultat d’une interaction comme la compétition ; - elles contribuent aux successions écologiques et ont notamment un rôle pionnier ; - elles constituent de nouvelles structures, de nouveaux métabolismes… - … avec éventuellement de nouvelles capacités écologiques (ex. mycorhizes et conquête du

................................................................................. 44 Relation entre sélection naturelle et les activités humaines .......................................................... 44 Sélection naturelle, coévolution et compétition ............................................................................. 44 La sélection artificielle ......................................................................................................................... 45 La sélection

support à plusieurs types de relation : « considérer un animal comme une personne plutôt que comme une chose, par exemple, n’autorise nullement à préjuger du rapport qui sera noué avec lui et qui peut relever aussi bien de la prédation que de la compétition ou de la protection ». Ainsi, l’auteur conclut « la relation ajoute une détermination additionnelle aux termes primaires que l’identification découpe » (p. 164). A- Les 4 schèmes établissant les différences et ressemblances entre soi et

ayant une hétérozygotie élevée, c’est-à-dire une plus grande diversité génétique, sont beaucoup moins sujets à la mortalité estivale puisque cela leur confère une plus grande résistance face aux stress environnementaux. Bien sûr, les relations interspécifiques influencent le recrutement dans une zone donnée. Les principaux prédateurs de la moule bleue sont les oiseaux (goélands, canards plongeurs, macreuses), les crustacés (crabe commun, crabe vert), les étoiles de mer, les poissons (tanche, plie rouge)

témoin du passé 627 628 630 632 634 636 638 640 641 6.3 Fiche 268 Fiche 269 Fiche 270 Fiche 271 Encart QCM pOpulatiOns et cOmmunautés Relations intraspécifiques Les relations interspécifiques positives Relations interspécifiques négatives : la compétition Relations interspécifiques négatives : prédation et parasitisme Dynamique des populations 643 644 646 648 650 652 653 6.4 Fiche 272 Fiche 273 Fiche 274 Fiche 275 Fiche 276 Encart QCM éthOlOgie Différentes