Compétition interspécifique

..................................................................... 99 III.4.2. Le foie et les muscles ...................................................................................................................... 100 IV. Variation interspécifique ................................................................................................................ 101 V. Comparaison de nos résultats avec ceux de la littérature ................................................................ 109

efficaces pour tirer parti de leur milieu et à surmonter les périls. Synthèse : sur la base de l’analogie avec la sélection artificielle, il forge l’hypothèse d’une sélection naturelle qui à travers la lutte pour l’existence (interindividuelle, interspécifique, et avec le milieu) effectuerait un tri des variations avantageuses transmissibles héréditairement (pour un contexte donné) assurant le triomphe vital des individus qui en sont porteurs. Ainsi l’évolution se produit par le triomphe de variations

ligands organiques (surtout sur les groupes -NH2 et -SH, et dans une moindre mesure sur le groupe -OH) ou minéraux, adsorption sur des oxydes métalliques, des argiles ou des matières organiques particulaires, bioaccumulation, présence de cations de compétition (Ca2+, Fe2+, Mg2+…), présence de sels (OH-, S2-, PO43-, CO32-…), échange entre les sédiments et l’eau (ATSDR, 1990 ; Dameron et Howe, 1998). La majorité du cuivre rejeté dans l’eau est sous forme particulaire (ATSDR, 1990 ; Dameron et Howe, 1998)

: il n’y a pas de différence fondamentale entre les espèces et l’étude d’une seule d’entre elles peut suffire découvrir les lois générales qui régissent le comportement animal et humain. Dès lors on ne s’intéresse donc pas aux comparaisons interspécifiques. La psychologie animale du courant béhavioriste voit ses principes fondamentaux naître en 1913 avec les travaux de John Watson (1878-1958), en réaction contre l’approche mentaliste de Darwin et Romanes. Le béhavioriste refuse ainsi de s’intéresser

femelle et plusieurs mâles adultes, ou bien un mâle et plusieurs femelles adultes, ou encore plusieurs mâles et femelles adultes, plus évidemment les individus non matures sexuellement. (Kleiman et al., 2003). Il existe également des associations interspécifiques dans lesquelles les différentes espèces peuvent joindre leurs différentes compétences notamment lors de recherche de nourriture. Ceci peut se produire tout au long de l’année ou alors n’avoir lieu que quelques mois dans une année. (Kleiman et

Working Papers, Environmental Economics Series 83, World Bank, Washington DC. 129 Pas forcément de chaque espèce parce que c’est quasiment impossible d’un point de vue sylvicole dès lors qu’on exploite une forêt primaire de maintenir l’équilibre interspécifique de départ. 130 L’ensemble de ces outils est appelé l’approche Kolo Ala et leur mise au point a été financée par plusieurs projets d’appui au Programme Environnement, qui ont investi environ 15 millions US$ dans cet effort au cours des 5 dernières

biotique de l’espèce, nombre moyen de descendants par accouplement, chances de survie jusqu’à maturité, potentiel de reproduction d’un individu, âge de maturité de l’espèce, immigration et émigration, résistance du milieu, capacité limite du milieu, compétition). Préparer différents graphiques de courbes de croissance de populations prédites par des modèles mathématiques (p. ex., sigmoïde, sinusoïdale, exponentielle) (voir Biologie : Évolution, diversité et environnement, p. 624 et Biologie générale, p

développement des échanges va, lui, très probablement se poursuivre. Combiné à la croissance du vignoble mondial et aux possibles augmentations de productivité, il induira une intensification de la concurrence. Déjà, deux modèles de production sont en compétition : l’un met en avant l’ancrage dans le terroir et tente de valoriser la variabilité des produits, l’autre place en priorité la garantie d’un niveau de qualité constant via la marque, et pour cela utilise largement la panoplie des techniques d’intervention

............................................................. 9 a. Régulation intraspécifique.................................................................................................................................... 9 b. Régulation interspécifique.................................................................................................................................. 10 2.2. Les modèles de fonctionnement des interactions trophiques...............................................

seconde pour son développement mais ne meurt pas nécessairement Symbiose Les populations tirent un bénéfice réciproque de l’interaction Compétition Les populations ont besoin d’un même substrat et se retrouvent donc en compétition. Le niveau initial des composantes, mais surtout leur taux de croissance respectif vont influencé le résultat de la compétition. Amensalisme Le composé produit par l’une des composantes a un effet inhibiteur sur les autres composantes Commensalisme Le composé