Compiègne

des dizaines de milliers de contrôle, près de 2 000 Marseillais (…) se retrouveront dans les trains de la mort. » écrit ainsi M. Rajsfus. 1 500 immeubles sont détruits. Bilan humain de l'opération « Tiger » (estimations) : 1 642 transferts sur Compiègne le 24 janvier,782 Juifs déportés et exterminés à Sobibor, 600 « suspects » déportés à Sachsenhausen.(Source Cercle d'étude de la Shoah). La préfecture des Bouches-du-Rhône publie un communiqué le 24 janvier 1943 : « Pour des raisons d’ordre militaire

arrêtés par la police de sûreté allemande. Ils ont été dénoncés comme « ennemis de l’Allemagne », accusés d’écouter la BBC. Si l’un est relâché très vite, les autres sont enfermés dans le quartier militaire allemand, transférés à Orléans puis à Compiègne, et enfin déportés au camp de concentration de Mauthausen d’où deux d’entre eux ne reviendront pas. Très vite le voisinage accusera la famille Touseau d’être à l’origine de la dénonciation. Aussi le 16 août 1944, la famille est-elle arrêtée, et

surnom ne la quittera plus. Admirée par une horde de jeunes garçons fortunés ou titrés, sa jolie silhouette séduit Étienne Balsan, un homme du monde, riche gentilhomme. Il lui fait découvrir la vie de son château, le domaine de Royallieu près de Compiègne resté malheureusement célèbre pour son histoire pendant la Seconde Guerre mondiale. Pendant près d'un an, elle apprend les arcanes de la haute société, mais l’idylle ne dure que quelques mois : elle se rend compte qu’elle ne l’aime plus, elle s'ennuie

ne sera pas fait au domicile mais au premier centre de rassemblement par le commissaire de la voie publique ». Les nazis prévoient de faire arrêter par la police française 22 000 Juifs étrangers dans le Grand Paris, qui seront conduits à Drancy, Compiègne, Pithiviers et Beaune-la-Rolande. Pour cela, « le service de M. Tulard fera parvenir à la Direction de la police municipale les fiches des Juifs à arrêter (…) Les enfants de moins de quinze ou seize ans seront confiés à l'Union générale des Israélites

dangerosités psychosociales, C'est pour cela que le gouvernement ne veut pas légaliser cette drogue au sein des frontières françaises. Et pourtant le taux de consommation est très élevé. Par exemple dans les trois agglomérations , Beauvais , Creil , Compiègne , les affaires de stupéfiants enregistrées grimpent de 32,52% en seulement un an (entre 2007 et 2008). C'est une avalanche verte , dans les pays voisin par exemple deux milliards d'euros, c'est ce que rapporterait la l'exportation de cannabis

français est assimilé à l'intervention providentielle de Jeanne d'Arc (1429-1431). En 1429, l'armée de Charles VII conduite par Jeanne d'Arc délivre Orléans puis Reims; Charles VII est sacré roi de France à Reims. Mais Jeanne d'Arc est capturée à Compiègne en 1430, livrée aux Anglais, jugée, condamnée comme sorcière; elle sera brûlée à Rouen en 1431. Après sa mort, Charles VII continue la reconquête du royaume en s'appuyant sur une armée permanente payée par un nouvel impôt. Charles VII et le duc

représentation du pouvoir , cependant tous les palais ne sont pas des palais royal. Chaque roi carolingien a privilégié une ou plusieurs résidences , contribuant à la multiplication des palais au travers de la Francie: Pépin Le Bref a résidé à Compiègne , Quierzy... Le palais comporte 4 groupes de bâtiments: nord-est, la salle de réception ( l'aula regia) ainsi qu'une tour qui renferme le trésor et les archives à l'est , les bâtiments d'habitation du roi et de sa famille sud-est, un

de la Famille. Il est financé par le Conseil Général. C’est un établissement public hospitalier. Son personnel est donc sous le statut de la fonction publique hospitalière. Le CDEF est réparti sur trois sites : le CDEF de Beauvais, le CDEF de Compiègne, le CDEF de Senlis. Les principales missions du CDEF L’accueil d’urgence Ouvert toute l’année, 24h sur 24, 7 jours sur 7, il accueille en urgence dans le cadre de la protection de l’enfance des mineurs âgés de 3 à 18 ans, victimes de

armistice, par crainte de révoltes et de mutineries dans l’armée. Apres l’abdication de l’Empereur Guillaume II, la république est proclamée la 9 novembre, tandis que la révolution se propage dans le pays. L’armistice est signe à Rethondes, en forêt de Compiègne, le 11 novembre. L’Allemagne, qui n’a pas été envahie, risque de plonger dans le chaos de la défaite. Chez les vainqueurs, c’est l’explosion de joie. Mais, si la guerre est terminée, l’Europe en sort humainement et économiquement saignée à blanc

de Reims de 845 à 882 qui écrit « une vie de Saint Remi » ou Vita Remigii , l’évêque qui baptisa Clovis. Le lieu du sacre n’était pas immuable à cette époque, il dépendait de la conjoncture politique et plus encore de la résidence royale (Reims, Compiègne, Laon, Soissons ou Orléans) ; en fait, le prélat consécrateur était celui qui avait la juridiction métropolitaine sur la ville retenue. Seul trois rois de cette dynastie n’ont pas été sacré à Reims. Hincmar s’employèrent à réactiver la mémoire de