Complainte Du Fusillé

national français et il donc fait partis de notre histoire, de notre culture et de nos traditions. En effet comme nos le savons tous, chaque siècle a sa ou ses guerres. A la fin du XIXème il y a eu ce que l’on appelle la guerre franco-prussienne. «Les Fusillés » de Victor Hugo et « Les Corbeaux » de Arthur Rimbaud traite ce sujet de la guerre de 1870. Dans leurs poèmes, ils décrivent une France grise et triste que la guerre à laissées derrière elle. Il faut lire ces deux poèmes plusieurs fois pour

Regarde ma terre en pleure  Mais les choses ici prennent une telle ampleur  Les fils partent avant les pères, y a trop de mères en sueur  Quand les fusils de la bêtise chantent le même air en cœur  Le mangeur d'âme à chaque repas s'abreuve de nos rancœurs  Je l'entends toutes les nuits, las des fantômes qui la hantent, Las de leurs complaintes,tellement que des fois elle en tremble  Par le sang de la haine, constamment ensemencée,au pas cadencé, Quand ce dernier chasse le vent hors des plaines

celles qu’on appelle nationales, la loi ne mettant aucune différence entre elles. » In Nathan, Gulliver, Histoire. Cycle 3, 1997, p. 166. La Révolution de Juillet « Nous avons été pendant trois jours au milieu de la mitraille et des coups de fusil. Car on se battait partout. Le simple promeneur comme moi avait la chance d’attraper une balle ni plus ni moins que les héros improvisés qui marchaient à l’ennemi avec des morceaux de fer emmanchés dans les manches à balai. » Témoignage écrit du

Regarde ma terre en pleure Mais les choses ici prennent une telle ampleur Les fils partent avant les pères, y a trop de mères en sueur Quand les fusils de la bêtise chantent le même air en cœur Le mangeur d’âme à chaque repas s’abreuve de nos rancœurs Je l’entends toutes les nuits, las des fantômes qui la hantent, Las de leurs complaintes,tellement que des fois elle en tremble Par le sang de la haine, constamment ensemencée,au pas cadencé, Quand ce dernier chasse le vent hors des plaines

les rues, couvert de vêtements déteints faits comme ceux d'un homme, une maigreur prématurée et trop grand à ton âge, tu chantes pour manger, avec acharnement, sans abaisser tes yeux méchants vers les autres enfants jouant sur le pavé. Et ta complainte est si haute, si haute, que ta tête nue qui se lève en l'air à mesure que ta voix monte, semble vouloir partir de tes petites épaules. Petit homme, qui sait si elle ne s'en ira pas un jour, quand, après avoir crié longtemps dans les villes

rapprocher ce texte du poème « Barbara » de Prévert. Ce poème dénonce également de manière enfantine à l'aide d'un registre tragique  et émouvant l'horreur de la guerre comme demontrer dans les pages 4 et 5 HISTOIRE DU CHEVAL Braves gens écoutez ma complainte Écoutez l'histoire de ma vie C'est un orphelin qui vous parle Qui vous raconte ses petits ennuis Hue donc... Un jour un général Ou bien c'était une nuit Un général eu donc Deux chevaux tués sous lui. Ces deux chevaux c'étaient Hue donc... Que la

e[ Jules Laforgue - Complainte de l'oubli des morts ] Mesdames et Messieurs, Vous dont la mère est morte, C'est le bon fossoyeux Qui gratte à votre porte. Les morts C'est sous terre ; Ça n'en sort Guère. Vous fumez dans vos bocks, Vous soldez quelque idylle, Là-bas chante le coq, Pauvres morts hors des villes ! Grand-papa se penchait, Là, le doigt sur la tempe, Sœur faisait du crochet, Mère montait la lampe. Les morts C'est discretÇa dort Trop au frais. Vous avez bien dîné

Les élèves y adjoindront l’étude d’une œuvre choisie dans cette liste : « Le chant des partisans », de M. Druon, J. Kessel et Anna Marly. « Les dents serrées », de Pierre Emmanuel (Jean Amyot). « J’accuse », de Jean Cayrol. « Les fusillés de Chateaubriant », de René Guy Cadou. En éducation musicale : « Thrènes pour les victimes d’Hiroshima » de Penderecki. La chanson « le déserteur » de B. Vian. Peinture de Wabyanko et d’autres œuvres 19) UN CONCEPT DESIGN : LES

vertiges et note l’inexprimable Texte 3 - Louis Aragon : Poète surréaliste (1897/1982) : communiste - Poème en prose - Le roman inachevé « Strophes pour se souvenir » - 20e siècle : surréalisme - Il parle des résistants fusillés en 44, « L’affiche rouge ; morts pour la France » I. Historique, hommage a) Une mort - on voit une répétition de ni (rien à se reprocher) - Lyrisme v3 imparfait : souvenir - V5 pas peur de la mort - Strophe 2 description

voulait emmener par charité. S’il se fût agi d’un officier, on eût été obligé de lui parler, de vivre avec lui ; mais, avec un caporal, il n’y a pas à se gêner, et c’est un être sans conséquence, lorsque son escouade n’est pas là, baïonnette au bout du fusil, pour vous mener où vous n’avez pas envie d’aller.   « Votre parent a-t-il le mal de mer ? demanda miss Nevil d’un ton sec.   – Jamais, mademoiselle ; le cœur ferme comme un roc, sur mer comme sur terre.   – Eh bien, vous pouvez l’emmener, dit-elle