Complexe militaro-industriel

acquis de façon frénétique du matériel de destruction où chacun a tenté de démontrer sa supériorité sur l’autre. Cependant, à l’usure, cette course aux armements, les progrès techniques étant continus, ce fut le poids trop important du complexe militaro-industriel sur l'économie de l'URSS qui mit fin à cette course. Pendant cette course, ces 2 pays ont créé un climat de terreur chez leurs ennemis. Chemin faisant, ils ont démontré qu’ils possédaient un arsenal nucléaire suffisant pour détruire quiconque

« dictature de la loi » et de lutter contre la mafia para-étatique et les fraudes fiscales des oligarques industriels et financiers, dont la mainmise sur l'économie russe devenait une préoccupation majeure de la population après une ère de laisser-faire et de complicité de Boris Eltsine dans la création de cette oligarchie. Plusieurs oligarques qui avaient accaparé les ressources et le patrimoine industriel en profitant des lacunes du droit des affaires en transition, ont été mis au pas ou poursuivis par

ces variables sur l’orientation du vote est en baisse. La chute du nombre de croyants et de pratiquants réduit l’électorat susceptible d’être sensible à la variante religieuse. Quant au clivage de classe, les mutations socio-économiques sont plus complexes et plus nombreuses : le nombre d’ouvriers a considérablement baissé (25% de la population actuellement). En réalité, il y aussi une mutation de ce vote, on assiste à un déclin de l’attractivité des mouvements de gauche pour le mouvement ouvrier.

brejnévien sur le plan économique. La réforme Lieberman de 1965 n'a duré que deux ans et la production industrielle est réalisée à 75 % par des entreprises de plus de 100.000 salariés et le secteur B n'en constitue que les 2/5. En 1982, Andropov puis Tchernenko en 1984 lancent la réforme Experiment pour tenter d'adopter une gestion plus autocentrée de l'entreprise, puis le programme scientifique «Complexe». En 1985, Gorbatchev instaure deux réformes d’orientation capitaliste : une gestion propre des

org/home.aspx?sid=56&categoryid=56&subcategoryid=57&newsid =11957 Ecole de Guerre Economique 18 Mars 2008 14 On peut aussi s’étonner de voir la SEC, une institution étatique, travailler en collaboration avec l’un des lobbies du complexe militaro-industriel américain pour dresser cette liste ! Et que ce même lobby compte un nombre important de conseillers ayant travaillé dans toutes les agences et institutions militaires du pays20. 20 http://www.centerforsecuritypolicy.org/Home.aspx

d’en faire une démocratie, ce qui permettrait de donner l’exemple aux pays voisins pour lutter contre différentes formes de régimes totalitaires et de dictature (comme l’Arabie Saoudite, par exemple). * On parle aussi d'arrières pensées militaro-industrielles. Le but était alors de déclencher une longue guerre, ce qui générerait des bénéfices pour l'industrie américaine installée au pouvoir par Georges Bush. 3. Les conséquences du conflit. a) Les conséquences politiques. * Cette

de discussion, moins de problèmes matériels. Chaque consultation réclame des soins attentifs et des efforts. Doit souvent répondre oui ou non aux affaires de l’Etat et aux questions locales. Il va tous les deux ans aux urnes. Système de partis complexe, sans eux le système ne fonctionne pas : proposent les candidats et recourent à tous les moyens pour les faire élire. Donnent à la vie politique des caractères nationaux. Démocrates et Républicains, maintenant conservateurs et libéraux ; pas idéologiques

californien mise sur les emplois verts, la réduction de la consommation de pétrole, le développement des énergies renouvelables et l’austérité budgétaire[49]. Structure de l’économie californienne[modifier] L’économie californienne est post-industrielle c’est-à-dire qu’elle est dominée par les services : le secteur primaire ne représente que 2,7 % des emplois et l’industrie 9,2 % (2007)[45]. En 2007, les principaux secteurs par le nombre d’emplois sont le gouvernement (15,9%), le commerce de détail

dynamique Dans les années 1980, les mauvais résultats faisaient parler du «déclin américain». Depuis, les entreprises ont procédé à des restructurations et à une modernisation radicale. Aujourd’hui les USA s’imposent à nouveau comme un géant industriel dans les secteurs traditionnels (automobile, chimie...) et de haute technologie (informatique, biotechnologies…). L’industrie américaine est aujourd'hui parfaitement ancrée dans la mondialisation, notamment grâce à ses conglomérats, comme Exxon

selon la loi, de même questionner sur cette dette (le seizième amendement) (13). Sans ces ’’tour de passe passe’’ monétaire, la première et la deuxième guerre mondiale ne se serait jamais jouées (14) ; les arnaqueurs de Wall Street et le complexe militaro industriel devraient fermé boutique, la presque quasi-totalité du monde vivrait en équilibre ou au moins sans conflit armé majeur. A présent, ces combines représentées internationalement par le FMI et la banque mondiale entre autre, servent à exporter