Composition Du Poème Le Spleen Quand Le Ciel Est Bas

hommes assez aveugles ou assez impudents - la plus funeste démarche - mauvais citoyens - les ennemis de toute liberté Par ce vocabulaire, l’écrivain ne fait pas de concession. Pas la moindre excuse ne leur est accordée. • Quand il va présenter les conséquences d’un tel comportement, il continue à ne pas mécher ses mots. Ces persécutions vont priver la France de : «  Un grand nombre de citoyens Tant de sujets un million d’hommes industrieux »

intertextuelles (2eme tercet) a Baudelaire « benediction » les fleurs du mal : Baudelaire montre sa souffrance, car maudit par sa mère mais aidé par l’ange qu’il obtient sa « couronne mystique » + utilisation du pronom on fait : le fait de subir le poeme s’ouvre sur une image du divin : les deux premiers vers des deux premiers tercets reprennent un motif du celeste : « en barque » representation du passage de la vie à la mort, « trompette » « couronne » ref a jesus + « cloche » sons qui emane de l’église

lame; Et des amours desquelles nous parlons, Quand serons morts, n’en sera plus nouvelle. Pour c’aimez-moi cependant qu’êtes belle. Recueil: Continuation des Amours (1555) Commentaire: Marie Dupin, jeune paysanne de Bourgueil. Il lui envoie ici un poème de 14 décasyllabes pour accompagner un bouquet de fleurs. Une nouvelle fois, il associe à la beauté des fleurs l’hommage amoureux, mais aussi la conviction de la brièveté de la vie. Ce poème est constitué de trois phrases, une par quatrain

caractéristique du symbolisme sont aussi l'esthétique avec le symbole et la musique . Page 4 Les thèmes sont l'analogie universelle: les sons , les couleurs , les parfums se répondent et renvoient à une même idée primordiale que doit exprimer le poème. le Symbolisme soutient qu'une séparation s'est produite entre l'individu et la réalité car l'homme ne peut communiquer avec la nature , ni avec les autres hommes , ni même avec Dieu . Page 5 Le symbolisme

de langue ; appartenance à un mouvement littéraire, etc. On repère d’abord ; on interprète ensuite. ▲ Exemple : « Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle » (dans le poème « Spleen » de Charles Baudelaire. Repérage : comparaison du ciel avec un couvercle. Interprétation : cette comparaison matérialise le ciel, et créé une atmosphère angoissante dès le début du poème. c) Recherche des axes et du plan : (environ 20 minutes) Votre repérage linéaire doit vous conduire à définir des

Tardieu • Le veilleur du pont au change, de Desnos Lecture - Lire des poèmes de formes et de visées variées - Caractériser un poème - Pouvoir analyser un poème en acquérant quelques bases de versification Lecture de l’image - Une peinture romantique : Le radeau de la Méduse - Affiche sur le travail des enfants Ecriture - Ecrire un poème engagé - Ecrire un poème lyrique - Rédaction : intégrer une description dans un récit Oral - Mise en voix de poèmes Langue - Les compléments

son œil, ciel livide ou germe l’ouragan, La douceur qui fascine et le plaisir qui tue. Un éclair… puis la nuit ! – Fugitive beauté Dont le regard m’a soudainement fait renaître, Ne te verrai-je plus que dans l’éternité ? Ailleurs, bien loin d’ici ! trop tard ! jamais peut-être ! Car j’ignore où tu fuis, tu ne sais où je vais, Ô toi que j’eusse aimée, ô toi qui le savais ! 1. SITUATION, COMPOSITION, SIGNIFICATION

la boue ! dit-on des gens qu'on abomine, ou d'injures basses et intéressées. Sans souci de la honte qu'on lui inflige, du tort à jamais qu'on lui fait. Cette constante humiliation, qui la mériterait ? Cette atroce persévérance !Boue si méprisée, je t'aime. Je t'aime à raison du mépris où l'on te tient.De mon écrit, boue au sens propre, jaillis à la face de tes détracteurs2 !Tu es si belle, après l'orage qui te fonde, avec tes ailes bleues !Quand, plus que les lointains, le prochain devient sombre et

démons hurlants viennent danser ensemble ; Ces murs maudits par Dieu, par Satan profanés, Ce magique château dont l’enfer sait l’histoire, Et qui, désert le jour, quand tombe la nuit noire, Enflamme ses vitraux dans l’ombre illuminés ! Voyageur isolé, qui t’éloignes si vite, De ton chien inquiet la nuit accompagné, Après le jour brûlant, quand le repos t’invite, Où mènes-tu si tard ton cheval résigné ? 22 octobre 1825 5 Théodore de Banville, Trente-six ballades joyeuses (1861-1873) XXX - Ballade

2. Les yeux verts 90 3. 5. Les couleurs de la nature 91 3. 6. Les couleurs du spleen 91 3. 7. Les couleurs mystiques 92 4. PAYSAGE, POESIE ET PEINTURE.