Comptabilité Publique Au Burkina

formation L’institut dispense actuellement des formations de haute qualité et très adaptées dans divers domaines. Ces domaines sont :           Finance comptabilité Gestion commerciale Banque Assurance Secrétariat de Direction Secrétariat bilingue (Français-Anglais) Licence en Finance comptabilité et Audit Comptable Licence en Marketing et Gestion Licence en Banque Licence en Secrétariat option Assistance Administrative Année Académique 2009 – 2010 Par SIA Toudala

organisations exerçant une activité économique (entreprises privées). Historiquement, le contrôle de gestion fait son apparition aux USA après la 2eme guerre mondiale sous la domination du cost management (la gestion des coûts) dans les administrations publiques à travers le Plan Marshall (Ancien secrétaire d’Etat au trésor) pour la reconstruction de l’Europe. En raison des succès enregistrés, cette technique serait empruntée par le secteur privé Américains notamment dans les entreprises comme FORD et General

évolution historique à travers laquelle elle se fixe des objectifs et mission la distinguant des autres entités. 1-GENESE DE LA DSX Les réformes du secteur financier depuis quelques années dans divers pays africains(Cameroun,Sénégal,Côte d’Ivoire,Congo,Burkina Faso,entres autres) ambitionnaient de restaurer à la fois les équilibres nécessaires à leur efficacité et la confiance des agents économiques envers les institutions financières.Les premiers bilans de ces réformes ne s’étant guère avérés favorables

de maraîchers ; indirects : 1 500 familles. 80% des producteurs sont des femmes. Principales activités - formation d’un formateur dans chacune des 10 Unions et démultiplication de la formation auprès de 300 producteurs cibles (vie associative, comptabilité simplifiée d’un collectif de paysans, marketing agricole, utilisation des informations du marché) ; - appui conseil sur 6 mois après la période de formation et transmission par les 300 producteurs formés de leurs connaissances à 1 500 autres.

du droit des affaires en Afrique constitue une question d’importance nationale et régionale, qui intéresse les autorités politiques, les techniciens du droit dont les magistrats et les professeurs de droit, les techniciens de l’économie et de la comptabilité, et surtout le monde des affaires et des entreprises. Cette marche vers un droit régional unifié, qui participe de la mondialisation, devrait entraîner des répercussions économiques bénéfiques à travers le décloisonnement des marchés. Ses répercussions

PLANIFICATION ET POLITIQUES LINGUISTIQUES DANS CERTAINS PAYS SÉLECTIONNÉS D’AFRIQUE DE L’OUEST Rakissouiligri Maitre-Assistant Chevalier Mathieu OUEDRAOGO à l’Université des Palmes de Ouagadougou académiques Addis du Burkina Abeba 2000 UNESCO institut international des Capacités pour le Renforcement en Afrique (IIRCA) ’ Faso Conception et impression: Mulualem Seyoum l’lnstihtt International de L’UNESCOpoW le Renforcement des Capacités en Afrique

BURKINA – FASO UNITE – PROGRES - JUSTICE GESTION COMMERCIALE 2ème Année THEME : REALISATION ET GESTION D’UNE UNITE DE TRANSFORMATION D’OIGNONS EN PRODUITS SECHES ENSEIGNANT : Mr Daouda ZONGO SOMMAIRE

traité et des Actes uniformes et d’intervenir en matière d’arbitrage. Il y’ a enfin l’Ecole Régionale Supérieure de la Magistrature qui assure la formation des magistrats des Etats membres. En Janvier 2007, 16 Etats sont parties à l’OHADA : le Bénin, le Burkina Faso, le Cameroun, la Centrafrique, les Comores, le Congo, la Côte d’Ivoire, le Gabon, la Guinée, la Guinée Bissau, la Guinée Equatoriale, le Mali, le Niger, le Sénégal, le Tchad, le Togo. Face à la défiance des opérateurs économiques, surtout ceux

GRAND SEMINAIRE DE KOUMI BURKINA FASO Mémoire en théologie (6e Année) Présenté par : Sous la direction de : MARÉ Désiré Ab. Jean Paulin KI Koumi, juin 2006 DEDICACE A mon père et à ma mère A mon Evêque Mgr Wenceslas COMPAORE A tous mes professeurs de grand séminaire A tous ceux qui, aux quatre coins du monde, n’ont pas de quoi se nourrir

CREDAF. Il a été animé par deux experts des pays membres du CREDAF. Monsieur Samba GUEYE, de la Direction Générale des Impôts et des Domaines (DGID) du Sénégal et de Monsieur Dominique GINET, de la Direction Générale des Finances et Impôts Publiques (DGFIP) de la France. Pour favoriser les débats et les échanges d’expérience, des réflexions en petits groupes de travail ont été organisées sur quatre (4) thèmes prédéfinis par un fil conducteur et des restitutions en séances plénières sur