Compte Rendu Misanthrope

Compte rendue de l’expose sur le Classicisme. Le paradoxe du théâtre classique est que tout en étant lié a une époque révolue, il n’en constitue pas moins l’essentiel du Théâtre français. L’autre paradoxe est l’originalité de chaque auteur dans leur pièce de théâtre alors que les règles de construction sont très strict Règles du théâtre Classique Règles des 3 unités : unité de lieu, unité de temps (24 heures), unité d’action (une seule intrigue) Règle de la vraisemblance : l’action/intrigue

promotion et la valorisation de la recherche. Érudit offre des services d'édition numérique de documents scientifiques depuis 1998. Pour communiquer avec les responsables d'Érudit : erudit@umontreal.ca Compte rendu par André Renaud Voix et Images, vol. 5, n° 1, 1979, p. 193-195. Pour citer ce compte rendu, utiliser l'adresse suivante : URI: http://id.erudit.org/iderudit/200197ar DOI: 10.7202/200197ar Note : les règles d'écriture des références bibliographiques peuvent varier selon les différents

collaborating with JSTOR to digitize, preserve and extend access to Revue d'Histoire littéraire de la France. http://www.jstor.org This content downloaded on Mon, 17 Dec 2012 14:29:42 PM All use subject to JSTOR Terms and Conditions COMPTES RENDUS 125 au «Malade de 250 p. Robert Garapon,Le Dernier Molière. Des « Fourberies de Scapin » imaginaire». Paris, S.E.D.E.S. 1977. Un vol 11 x 17,5 la estimeoù, dès le xvnesiècle,certains Constatant médiocre tiennent derles de nièresproductions

actions et discours imprévisibles du personnage en regard des attentes prescrites par la société ainsi qu’à toute logique rationnelle. Dans La Place Royale (1637) de Corneille, le personnage principal, Alidor, fait la déclaration suivante : « Comptes-tu mon esprit entre les ordinaires ? » (v. 209). De cette manière, il revendique un certaine singularité, un caractère « extraordinaire ». Alidor aspire en effet à vivre selon ses propres lois. Si par définition, le personnage extravagant est atteint

par jalousie, par prudence également, et il préférera mettre en place des protectorats, une formule qui lui réussira particulièrement en Orient et sur le Danube. En politique intérieure en revanche, il est impitoyable. Il s’affichera comme un misanthrope, rendu méfiant et cynique par les années de pratique du pouvoir, et ses relations avec le Sénat des aristocrates ne cesseront de se durcir. Tibère place alors sa confiance en un seul homme : Séjan. Avide et fin tacticien, ce dernier isole Tibère et

mauvaise image de la dévotion et des croyants. Molière, entre-temps, écrira et fera représenter plusieurs autres pièces célèbres: Dom Juan ou le festin de pierre en 1665, qui sera vite interdite sous la pression de la cabale des dévots; puis Le Misanthrope ou l'Atrabilaire amoureux en juin 1666, puis plusieurs autres divertissements, pastorales et comédies (dont L'Avare en 1668). Ce n'est qu'en 1669, après trois placets adressés au Roi et une fois la pièce entièrement remaniée, que celle-ci fut autorisée

l’île. Homme de devoir, il était misanthrope et devint de plus en plus soupçonneux après la trahison de son favori, Séjan, qu'il avait laissé à Rome, préfet de la garde prétorienne: ce dernier avait assassiné Drusus, le fils de Tibère, pour s'emparer du pouvoir impérial. Mais il fut démasqué et exécuté. A partir de 26 ap. J.-C., Tibère vécut dans la solitude à Capri, rendu encore plus fou par cette découverte de la menace qui pesait sur lui, et il règle ses comptes et multiplie les exactions, les

est vidée de tout contenu proprement mystique et religieux. La morale seule compte et l'homme n'a que faire d'une révélation toujours incertaine: sa conscience personnelle doit êtrele seul guide de son existence morale. "Si Dieu n'existait pas, il faudrait l'inventer." N'est-il pas honteux que les fanatiques aient du zèle et que les sages n'en aient pas ?" "Si Dieu nous a fait à son image, nous le lui avons bien rendu." "Les superstitieux sont dans la société ce que les poltrons sont dans l'armée

- Fables: « Le savetier et le financier » - Fables: « Les deux amis » - Fables: « Les Obsèques de la Lionne » - Fables: « Le Fou qui vend la sagesse » - Pierre de Marbeuf, « À Philis » Molière: - L’Avare - Le Misanthrope, acte III, scène 4, vers 961 à 1000 - Le Misanthrope, résumé de l’action - Le Malade imaginaire, acte II, scène 2 - Les Femmes savantes, acte II, scène 6 - Les Femmes savantes, acte II, scène 7 - Les Femmes savantes, étude d’un personnage : Trissotin - Le Bourgeois

que la scène de l’aveu on prend pleinement conscience de la profondeur de la peine de M. de Clève [] mais aussi de la situation de Mme de Clève qui est déchirée entre vertu et passion → on se rend compte en lisant l’ensemble du roman et pas uniquement des extraits de la difficulté des choix de la princesse. · Mme de La fayette va rarement faire de description physique des personnages principaux mais