Comtat Venaissin

Paris signée le 30 mai 1814, reprend l’essentiel du protocole de Langres. Si elle réduisait la France à ses frontières de 1792, loin donc de l’Empire de 130 départements (mais elle conservait Mulhouse, Montbéliard, Chambéry, Annecy, Avignon et le comtat Venaissin), si elle lui ôtait toutes ses possessions, elle ne la soumettait à aucun paiement d’indemnités de guerre et elle lui conservait ses colonies, à l’exception de quelques îles dans les Antilles et de la partie espagnoles de l’île St Domingue.

vis-à-vis du pape Le pape est un chef temporel est dispose de ses propres Etats, les Etats pontificaux, en plus d’être le chef suprême de la chrétienté. En Italie le Saint Siège règne sur Rome, mais possède aussi une enclave en France : le comtat Venaissin – région d’Avignon. Dans un premier temps au moment ou s’instaure le système féodo-vassalique, la plupart des évêques et des dirigeants de monastères se sont comportés comme des seigneurs et ont oubliés leur mission religieuse. Fin 11ème arrive

Papauté a très vite fait les frais de la Révolution française, car s’il est un chef spirituel, il est aussi un chef d’états pontificaux, parfois enclavé à l’intérieur d’autres états. Ainsi, la papauté avait un état pontifical à côté d’Avignon, le Comtat-Venaissin, enclavé dans l’état français. Or, dès le début de la Révolution, dès 1789, les sujets du Pape en France ont commencé à s’agiter car ils veulent leur rattachement à la France, qu’ils vont obtenir. L’autorité du Pape a donc été contestée en

l'enseignement primaire en même temps qu'un document social et humain sur un petit village de Lozère. - - - - - - - - - . Claude Mettra Le grand printemps des gueux Atlas historique (Chron!que de l'an 1525) • Georges Bortoli Provence, Comtat Collection • R Vivre à Moscou Venaissin, Principauté A. Balland, 192 p., 15 F. Laffont 232 p 15 F de Monaco, Principauté La révolte de ,., . d'Orange, Comte de Nice cent mille paysans Par ~n journaliste 326 cartes en couleurs sous l'égide des de. 1O.R.T.F., qui a A.

victorieux de l’Empire se réunissent en Congrès à Vienne afin de traiter du sort des territoires repris. Par le traité de Paris, la France perdit les conquêtes napoléoniennes et se retrouva limitée aux frontières de 1792, elle garde donc la Savoie, le Comtat Venaissin, une partie de l’Alsace et la Saar. Cependant, suite au Cent Jours, au retour de Napoléon et à sa défaite à Waterloo, le second Traité de Paris, le 20 Novembre 1815, les mesures contre la France se durcissent, elle perd les régions acquises durant

(Christophe). COLOMB (Joseph). COLOMB, de Milan COLONNA (Guido de). Voir GUIDO DELLE COLONNE. Colophon. Colportage (littérature de). Colporteurs. COMESTOR. Voir : PIERRE COMESTOR. COMINES (Philippe de). COMPAING (Nicolas). Composition. Comtat-Venaissin. CONAT. CONDILLAC. Confréries. CONFUCIUS. Congo. Conquête du Grand Charlemagne. Constance. Constantinople. Contrefaçons. COOK. COORNHERT(DirkVolkertroon). Copenhague. COPERNIC. COPINGER. Copistes. Corbeil. Cordoue. Corée. Coria

Guyenne à la Savoie et du Quercy aux Pyrénées. C’était un Etat riche et puissant, l’un des plus considérables de l’Europe occidentale à cette époque. Il comprenait le haut Languedoc, l’Armagnac, l’Agenais, le Quercy, le Rouergue, le Gévaudan, le Comtat-Venaissin, le Vivarais et la Provence, soit une quinzaine de nos départements. Les comtes de Toulouse étaient de la lignée des Raymond. Raymond V avait régné jusqu’en 1194 et son fils, Raymond VI, lui avait succédé. Parmi leurs vassaux, les plus influents

Sud-Est, la Savoie et le comté de Nice qui font partie du royaume de Piémont-Sardaigne (Maison de Savoie) – ces territoires n’entrent dans la France contemporaine que sous Napoléon III en 1860, en contrepartie de l’unité italienne. 2° Avignon et le Comtat Venaissin qui sont propriété du Pape (jusqu’à l’annexion de ces territoires pendant la Révolution, par décret du 14 septembre 1791). 3° des petites « bricoles ». 2 C’est un territoire compact de près de 500 000 km tandis que la France de 1498 2 2

Guyenne à la Savoie et du Quercy aux Pyrénées. C’était un Etat riche et puissant, l’un des plus considérables de l’Europe occidentale à cette époque. Il comprenait le haut Languedoc, l’Armagnac, l’Agenais, le Quercy, le Rouergue, le Gévaudan, le Comtat-Venaissin, le Vivarais et la Provence, soit une quinzaine de nos départements. Les comtes de Toulouse étaient de la lignée des Raymond. Raymond V avait régné jusqu’en 1194 et son fils, Raymond VI, lui avait succédé. Parmi leurs vassaux, les plus influents

éventuelle des compagnies de mercenaires (habituellement employés par les rois de France mais désœuvrées lorsqu’on avait plus besoin d’eux ou tout simplement lorsque le trésor ne permettait plus de les payer) qui sévissaient et pillaient tout le Comtat Venaissin. On fermait ainsi à temps les portes de l’abbaye pour les empêcher d’y pénétrer. Les compagnies n’étaient pas bien équipées et ne pouvaient se permettre d’assiéger un bâtiment ceint de hauts murs bien défendus par quelques archers. Tous ces travaux