Comédie Fonction Divertissante

société, qui permet de mieux la comprendre et de mieux accuser ses défauts. Certaines pièces dévoilent les failles politiques et religieuses de la société. D'autres pièces mettent en lumière les "vices" des hommes en les divertissant" et Molière déclarait "le but de la comédie est de corriger les mœurs". Nous allons donc nous intérroger sur les rapports que le théâtre entretien avec le réel. Pour cela, dans un premier temps, nous remarquerons qu’il y a des exceptions et des limites, le théâtre

nécessaires concernant des événements antérieurs au début de la pièce et donner les premiers éléments de l'intrigue qui vont exciter la curiosité du spectateur. Les enjeux d’une scène de comédie sont de montrer les vices, les travers et les mœurs d’une personne ou d’une société de manière divertissante. Les enjeux particuliers de la situation présentée ici sont importants car c’est la scène d’exposition. Elle joue bien sont rôle car le spectateur est tenu en haleine: le maître va-t-il

manifeste l’art du portrait dans ce passage ? Quel est la fonction du portrait dressé par Cléanthis ? Quels sont les aspects et les fonctions du comique dans ce passage ? Etudiez en quoi le passage s’inscrit dans une comédie de mœurs. La question concerne l’objet d’étude du théâtre, texte et représentation, elle sollicite les connaissances sur les genres et registres propres au théâtre (ici une comédie – comédie de caractères ou comédie de mœurs, « castigat ridendo mores ») et la forme de ce

Dans la comédie, le rire n'est pas toujours le but unique ou n'est qu'un moyen d'agir sur les spectateurs ; Il vise la critique sociale : plaire et toucher, toucher pour dénoncer, porter à la conscience. C’est le cas de Molière dont tout le théâtre propose une satire psychologique et surtout sociale. Cette critique sociale peut parfois être une critique constructive, une critique visant non seulement à dénoncer mais encore à enseigner. Dans le Malade Imaginaire Molière l’auteur est un dramaturge

2) enjeux de ces relations : a) Inégalité entre maître et valet : Le valet est un personnage indispensable à la comédie (idée d'infériorité sociale) Le droit de propriété : le théâtre exhibe constamment le fait que le valet est la propriété de son maître. C'est avant tout grâce à l'argent que le maître peut se payer le valet. Les valets sont tellement "chosifié" par leurs maîtres qu'ils en deviennent des non-personnes > coups de bâton, sobriquets, "don" d'un valet. le valet prend la place

Quelles stratégies les auteurs développent-ils pour exprimer cette confrontation ? Ces trois textes traitent tous d’un thème commun, l’affrontement entre les différents personnages mis en scène à travers plusieurs genres qui sont la tragédie, la comédie, ou encore le mélange de ces deux genres. Cependant, les auteurs parviennent à nous délivrer un message, chacun à leur manière, par des procédés bien distincts que nous étudierons. Tout d’abord, la tirade de Racine respecte le code typique des tragédies

fascinés par la dramaturgie antique, puisent leur inspiration chez des auteurs de la Grèce antique. I. La comédie au XVIIe siecle A L'histoire littéraire de la comédie 1 La commedia dell'arte Bien que ce ne soit pas la première forme de comédie (on en trouve déjà durant l'antiquité grecque avec Plaute et Aristophane), la commedia dell'arte est la principale source d'inspiration de la comédie classique telle qu'on la connaît au XVIIe siècle. DÉFINITION La commedia dell'arte désigne un genre

à d’éventuels jeux de scènes) ou d’un jeu de mot (l. 16, Octave feint de prendre au pied de la lettre le verbe « tuer » que Coelio a utilisé dans le sens d’ « épuiser »). La première partie du dialogue se présente donc comme une joute oratoire divertissante grâce à laquelle chacun masque sa tension intérieure. La tirade d’Octave est avant tout remarquable par son éloquence : l’image saisissante du « danseur de corde » s’impose brillamment à l’imagination du spectateur grâce à une description

------------------------------------------------- La Comédie Introduction  La comédie (du grec « kômos », fête carnavalesque et religieuse en l’honneur de Dionysos) a longtemps désigné toutes pièces de théâtre, tragiques ou amusantes. C’est de là que provient le terme de « comédien » encore utilisé de nos jours .Aristote définit la comédie par opposition à la tragédie comme « L’imitation du ridicule des Hommes ». Ce n’est qu’à la Renaissance que le terme « comédie » prend la définition que nous lui connaissons

De tous temps et à toutes les époques, les écrivains donnaient un objectif terminal à leur art face aux grands problèmes de la vie et qui variait en fonction de leurs intentions ; certain optaient pour informer et avertir ; d’autre choisissaient de divertir et d’amuser ; enfin une dernière catégorie conjuguent les deux attitudes. Il semble bien que le sujet veuille inscrire chacun des auteurs cités (Rabelais, Ronsard, Montaigne) dans l’une ou l’autre de ces catégories en relation avec la vie, la