Comédie Fonction Divertissante

réaliste caractérisé par un souci de précision, d’authenticité et de crédibilité avec la recherche d'un effet artistique. Présent à toutes les époques sous des aspects divers comme dans les fabliaux (ex. la vie quotidienne dans Le vilain mire), les comédies (ex. la scène d'ouverture du Malade Imaginaire sur les pratiques médicales du XVIIe siècle), en poésie (ex. Une charogne dans Les Fleurs du mal de Baudelaire), le Réalisme a pris une place croissante dans les textes narratifs du XVIIIe et du XIXe

Le registre comique Le registre comique a pour but de faire rire, de divertir en représentant le travers et le ridicule des hommes. L'adhésion jouera de la complicité dans le cas du registre comique qui sort le lecteur de lui-même en le divertissant. La tonalité comique consiste à provoquer le rire à l’aide de divers procédés : jeux de mots, quiproquos, répétitions, associations burlesques, etc., avec des tonalités particulières comme l’humour. La tonalité comique déforme la réalité à travers des

celui qui eut le plus de mal à brider son inspiration dans ces règles théâtrales qui, sous le patronage d'Aristote, visaient à resserrer au maximum l'action, l'espace et le temps autour de l'exploration d'une crise. Formé par le public spontané de la comédie, dont le rire reste le meilleur garant d'efficacité, il eut à cœur de subordonner les règles au plaisir, fidèle en cela au précepte d'Horace : « il obtient tous les suffrages celui qui unit l'utile à l'agréable, et plaît et instruit en même temps

des traits de caractère particuliers, encore accentués dans les pièces. Molière a dit : « Je ne sais s'il n'est pas mieux de travailler à rectifier et à adoucir les passions des hommes que de vouloir les retrancher entièrement »[ La devise de la comédie apparaît dès les années 1620 en France: « Castigat ridendo mores » : elle corrige les mœurs par le rire. Se moquer d’un comportement extrême est un premier pas qui peut aider à rectifier nos propres comportements au quotidien. Ainsi, dans L’Avare

dans l’excès, bref tout le contraire de cette Grèce raisonnée et raisonnable. Très rapidement, elles s’étendent à toutes les cités un tant soit peu importantes. Avec cette extension, l’origine religieuse décline au profit d’une fonction politique. Il y a tout d’abord une fonction de politique externe : à travers les dionysies, la cité affirme son identité démocratique. Ainsi, les cités développent le theorikon8, une allocation destinée à financer les festivités et leur accès à tous9 ; bâtissent des amphithéâtres

au lecteur en une succession de détails, de choses qu’il ne connait pas forcément, ou qu’il pourrait avoir du mal à se figurer. On imagine fort bien qu’il serait particulièrement ardu de s’imaginer l’Enfer dans lequel évolue Dante dans La Divine Comédie, compte tenue de l’existence non avérée de ce lieu, si l’auteur ne prenait pas grand soin de narrer avec force détail un tel univers, dans son architecture, ses spéciosités, et même ses habitants. Ainsi, on peut par exemple clairement apercevoir

en conséquence, ils se vantent d’être plus capables de gouverner ». Elle ironise surtout sur leur prétendue supériorité qui ne vient que de leur force physique. Par contre, Hermocrate dans le texte A évoque la « décence » et la « gravité » des fonctions juridiques qui ne sauraient convenir à une femme et Rousseau invoque leur caractère futile et inconstant pour justifier leur infériorité. Tous les textes constatent en effet, le peu de « considération » dont jouissent les femmes et leur dépendance

son verbe sont inégalables) et le plus représentatif de cette période. Son œuvre peut être divisée en trois parties correspondant plus ou moins aux périodes de sa vie : jusque vers 1600, une première période heureuse où il écrit la plupart de ses comédies historiques et lyriques (Romeo and Juliet ; A Midsummer Night’s Dream ; Henry V), la deuxième jusque vers 1607 plutôt sombre et tragique qui se manifeste à travers ses tragédies les plus noires ( Hamlet ; Othello ; King Lear ; Macbeth) et la dernière

immédiatement évoqué : le vaincu disparaît de la scène mais pas de la fable. Vers 10, 11, 12, 13 et 14: Singulier de la situation. La Fontaine laisse place à un tableau qui rappelle d’autres tableaux antiques. Les Coqs sont simplement nommés par leur fonction. Ils sont distingués par l’issu de cette péripétie. Chiasme : signal d’alerte au XVIIème siècle. Vaincu : parenté latine. Littérature imprégnée par la littérature antique. « Georgio »VIRGILE. On retrouve dans cette œuvre les mots « amours »,

assurément pas là et l’on se rappelle la fonction que Molière assignait lui-même à la vis comica : « castigat mores ridendo » : il fustige les mœurs en riant. Le gérondif nous signale ici que le rire est un moyen et non une fin en soi. II Le pouvoir du comique Nous pouvons, en effet dire que le comique est doué d’un véritable pouvoir. A Le propre du théâtre est de donner à voir (étymologie grecque de théatron) Ainsi le théâtre donne à voir la comédie du monde du XVIIème siècle par exemple